
Le secrétaire général de la section régionale de la Fédération des Mines à Gafsa, Yahya Lakhal, est intervenu, lundi 16 décembre 2024, aux côtés de Wassim Ben Larbi sur les ondes d’Express FM, pour évoquer la situation actuelle au sein de la Compagnie des Phosphates de Gafsa (CPG) et les tensions sociales, marquées par des grèves et des négociations difficiles entre la direction et les représentants syndicaux.
Le responsable syndical a estimé que ces événements révèlent un malaise profond lié aux conditions de travail et aux droits des employés. Il a précisé que tout a commencé par une réunion entre la direction de la CPG et les représentants syndicaux le 11 décembre. Selon lui, cette rencontre a été un échec total, n’ayant pas répondu aux attentes des travailleurs. En conséquence, une série de grèves spontanées a éclaté dès le lendemain, traduisant le ras-le-bol des employés face à une gestion jugée insuffisante.
Face à cette situation, le syndicat a émis, le vendredi 13 décembre, un préavis de grève pour les 25 et 26 décembre, tout en appelant les autorités à intervenir pour trouver une issue favorable.
Les travailleurs dénoncent une accumulation de problèmes non résolus et mettent en avant plusieurs revendications prioritaires, telles que l’application du statut de base, les primes de productivité impayées, les salaires insuffisants, le manque d’équipements et l’absence de prêts sociaux.
Yahya Lakhal a également souligné qu’au-delà des revendications, le climat social est marqué par un sentiment de frustration croissante. Il a insisté sur le fait que le syndicat ne cherche pas à paralyser l’activité de l’entreprise, mais à défendre les droits des employés dans un cadre légal et pacifique. « Nous soutenons la productivité et voulons que l’entreprise prospère, mais nous ne pouvons pas accepter que nos droits soient bafoués », a-t-il déclaré.
La structure syndicale a appelé à l’ouverture d’une réunion de conciliation avant les grèves des 25 et 26 décembre, espérant un dialogue sérieux avec la direction et les autorités. « La grève est un moyen, pas une finalité », a rappelé Yahya Lakhal, insistant sur l’importance d’un règlement rapide des conflits.
S.H
L'UGTT a totalement pourri l'ensemble de la frange des fonctionnaires et assimilés.
Les responsables doivent payer le prix fort, et même, très fort
Si le pays est à genoux, c'est en partie à cause des ignares et des incultes à la tête de la plus grande manufacture de paresseux du pays.
Ca ne peut plus durer.
Le chantage doit changer de camp. Celui qui n'est pas content, qu'il soit dégagé avec les égards qui se doivent.
Allah yehlik l'ensemble des membres de la maudite troika et de la gangrène UGTT, ouwéhid, wéhid.
et en plus ils veulent des augmentations ...
Ils se pensent irremplacable alors qu ils sont responsables d une grosse parti du deficit du pays et de la baisse de la productivit2 face au maroc .
Ce sont des privilegiers , d avoir un travail bien pay2 dont ils font greves comme ils veulent sans aucun objectif de production annuel , qu ils degagent
La promotion de l'agriculture est le meilleur moyen de créer plus d'emplois dans cette région qui souffre d'un taux de chômage de plus de 26% et réduire les pressions sur la CPG. L'huile d'olives peut rapporter 5 fois plus, donc on peut améliorer le niveau de vie des agriculteurs et rendre le secteur plus attractif aux jeunes.
Par contre l'homme d'affaires qui a l'outrecuidance d'ouvrir un compte à l'étranger fêtera le nouvel an au gnouf ! Elle est belle la démocrature populaire de Kaïs Il Song'?'