
La présidence de la République a tenu, le 8 décembre 2021, une conférence de presse à l’occasion de la visite d’une délégation présidée par le chef de l’Etat palestinien, Mahmoud Abbas, en Tunisie.
La conférence de presse s'est faite en l’absence totale de journalistes. La présidence de la République s’était contentée de diffuser les discours de Kaïs Saïed et de son homologue palestinien surla page Facebook de la présidence. Cette décision a suscité plusieurs réactions et critiques.
Le soir même, Walid Hajjem, conseiller auprès de la présidence de la République, est intervenu sur la chaîne télévisée Attessia TV afin de justifier de telles mesures.
Il a affirmé qu’il s’agissait d’une question de choix et que la présence de journalistes devait résulter d’un accord au préalable entre les deux délégations.
Walid Hajjem a, également, considéré que les discours des deux présidents avaient répondu à toutes les questions pouvant être posées par les journalistes au sujet des relations bilatérales et de la question palestinienne.
S.G
Je suis surpris d'apprendre que la Présidence de la République n'a pas un site officiel, mais juste une page sur Facebook, malla fdhayeh!!!!! Tachlik de la présidence jusqu'au bout.
Mais revenons à notre coiffeur devin. Donc bientôt, Saïed et ses camarades vont interdire la presse, puisqu'elle ne sert à rien et tout ce que la populace a besoin de savoir sera livré par la présidence. Un contrôle total de l'information comme l'a fait tonton Staline allah yarhmou.
ROBOCOP (3)
Ecrit par A4 - Tunis, le 10 Octobre 2021
Tel un maudit pécheur
Je viens vous avouer
Mon passé de tricheur
Aux actes inavoués
Tel un vil repenti
A genoux je me mets
Je me fais tout petit
Pour me faire pardonner
Car le jour du destin
Désertant les urnes
J'ai brûlé mon bulletin
Restant taciturne
J'ai voulu faire le fou
Faire semblant d'ignorer
L'immense Manitou
L'unique à adorer
Moi, minable terrien
Comptant le temps en jour
Mais ne comprenant rien
Aux éloquents discours
Je m'émeus quand j'entends
Ces mots de vérité
Qui disent que le temps
N'est qu'une éternité
Dans une éternité
Ou même peut-être deux
Nous saurons, hébétés
Les décisions du Dieu
Nous saurons que c'est lui
Qui seul peut décréter
Quand entre lui et lui
Il peut se concerter
Quant à ceux qui veulent
Entamer un dialogue
Il ordonnera seul
D'ouvrir son monologue
Il leur dira, haletant
D'un air désabusé
Quand ça sera l'instant
De lancer les fusées
En attendant cette heure
J'ai un pèlerinage
A faire loin des voyeurs
Au temple de Carthage
Je dois me prosterner
Pour rentrer dans les rangs
Prier et entonner
Que "Rabb'ocop est grand" !
Mais ce n'est pas une raison de rejeter les journalistes et de les décrire comme étant les madias de la honte d'Ennahdha ; ce n'est pas toujours vrai ; les médias je pense ont compris que Ennahdha est une organisation *** et je crois qu'ils ne censurent plus cette vérité...mais ce n'est pas une raison ya Saied ; c'est une bonne fausse raison de début de Dictature.