
Semaine bien mouvementée. Elle serait même la plus mouvementée depuis le putsch. Ça va dans tous les sens et difficile de savoir comment hiérarchiser les événements, tant ils sont graves et importants. Paradoxalement, en dépit de la gravité, on se trouve en train d’expliquer des évidences qu’un étudiant en 1re année en droit ou en sciences politiques comprendrait aisément.
Ça a commencé avec la série d’arrestations de personnalités politiques, dont des avocats, des lobbyistes, des militants, des magistrats et le journaliste-directeur de la plus grande radio en Tunisie.
Dans un pays normalement constitué, le parquet publierait immédiatement un communiqué ou organiserait une conférence de presse pour expliquer ce qui se passe.
Chez nous, c’est le président qui fait le job à sa manière. Mardi 14 février, on a eu droit à trois monologues dans lesquels il a déclaré faire l’objet d’un projet visant son assassinat, ainsi qu’un complot contre l’État. C’était devant sa ministre du Commerce.
Soit. On va supposer que ce que dit le président est vrai. Pourquoi alors il n’a révélé aucun fait tangible et de preuve pour étayer ses dires ? Quelles sont les preuves dont il parle ? Pourquoi la concomitance des arrestations (le week-end) dans des affaires qui, clairement, n’ont rien à voir les unes avec les autres ? Pourquoi interroge-t-on le directeur de la radio, pourquoi est-il amené au parquet antiterroriste, dans un premier temps, puis au parquet financier ? Pourquoi, surtout, le silence du parquet ?
Il dit qu’il y a une personne qui a appelé publiquement à son assassinat et qui se trouve escortée par la police. Ok monsieur le président, on va essayer de vous croire, mais qui est cette personne ? Pourquoi est-elle encore en liberté ? Où est l’enregistrement de sa déclaration ?
La question la plus importante de toutes est la suivante : pourquoi c’est le parquet antiterroriste qui s’est chargé de l’affaire et non le parquet militaire ? On parle bien d’un projet d’assassinat du chef des forces armées, non ? Pour bien moins que cela, le parquet militaire a répondu présent et s’est chargé du dossier. Pourquoi est-il absent dans les affaires de la semaine dernière ?
Ce même mardi 14 février, le président est allé s’offrir un bain de foule au marché Bab El Fellah. Dans la vidéo de 11’19’’ diffusée par la présidence de la République, on voit Kaïs Saïed s’adonner à son sport préféré, serrer les paluches et accuser les spéculateurs et les corrompus d’être à la source de tous les maux du pays. On voit des foules qui ont laissé leur dignité de côté pour demander des aides et de l’assistanat. On voit une délatrice dont les propos ont été pris pour de l’argent comptant par le président. Rien d’extraordinaire. Sauf qu’on entend aussi un vendeur lui dire de « couper les gorges » et que les « grands l’ont fatigué » (8’34’’). Il s’agit là d’un appel au meurtre diffusé par la présidence de la République. N’importe quel étudiant en droit vous le dirait. Dans un pays démocratique, un tel passage déclencherait une procédure immédiate de destitution. Au mieux, la faute impliquerait la présentation immédiate de plates excuses du chef de l’État. Pas chez nous.
Plus tard dans la journée (à 21 heures), le président est allé discourir devant les hauts cadres sécuritaires au ministère de l’Intérieur et en l’absence du ministre. Là, il s’en est pris à ses adversaires politiques qui veulent l’assassiner, aux traîtres et aux nantis qui vont aux restaurants pour manger à coups de millions. En dressant une partie du peuple contre une autre, le président sème la zizanie. Ce n’est pas une première, on commence à s’habituer (quoique…).
Paradoxalement, jeudi 16, le président accuse ses adversaires politiques de faire naître la discorde et de chercher à casser la concorde civile. C’était devant sa cheffe du gouvernement, muette comme à son habitude. Durant son monologue, il s’en prend violemment aux différents pays qui ont exprimé leur préoccupation par rapport à la situation en Tunisie. Il demande carrément qu’on efface les dettes du pays, alors que son gouvernement est en train de quémander de nouveaux crédits ! N’importe quel étudiant en sciences politiques vous dirait que ça ne se fait pas !
Vendredi 17 février, Kaïs Saïed reçoit le ministre de l’Intérieur qu’il interroge sur l’avancement des enquêtes dans l’affaire de complot contre la sûreté de l’État. Il s’agit là d’une violation flagrante du droit et d’une ingérence dans des affaires dont seul le parquet a droit de regard. N’importe quel étudiant en droit vous le dirait. La présidence, comme pour nous narguer, n’a même pas eu la décence de censurer le passage.
Au cours de cette même rencontre, le président a déclaré que certains ont feint la folie pour éviter la reddition des comptes. Il parle là du magistrat Béchir Akremi, admis le jour-même à l’hôpital psychiatrique. Il s’agit là d’une violation flagrante de la présomption d’innocence, puisque le président utilise le verbe feindre et d’une violation du secret médical ! N’importe quel étudiant en droit vous le dirait.
Avec Kaïs Saïed, on en est à expliquer les évidences de la justice et les basiques du droit ! Et dire qu’il est enseignant de droit !
Samedi 18 février tard l’après-midi, la présidence publie un communiqué dans lequel elle fait savoir qu’Esther Lynch a été déclarée persona non grata et sommée de quitter le territoire. La secrétaire générale de la Confédération européenne des syndicats était l’invitée d’honneur de la centrale syndicale tunisienne UGTT et a participé à la grande manifestation organisée le matin à Sfax. Que reproche la présidence à Mme Lynch ? Elle a juste exprimé le soutiende 44 millions de travailleurs européens à la cause des syndicats tunisiens. Non à l’ingérence, se défend la présidence. Pourtant, cette même présidence n’a rien dit quand, il y a quelques jours, le journaliste thuriféraire palestinien Abdelbéri Atouane chantait les louanges de Kaïs Saïed et injuriait ses adversaires. De quel droit renvoie-t-il quelqu'un qu'on a invité chez soi ? La Tunisie n'est pas une ferme, encore moins la sienne ! Ici aussi, on revient aux basiques et aux évidences, la solidarité syndicale internationale existe depuis des décennies, indépendamment des pouvoirs en place et cela n'a rien à voir avec la souveraineté. En renvoyant l'invitée de l'UGTT, Kaïs Saïed ne fait que s'isoler et salir son image à l'international. Il offre de l'eau au moulin de ses critiques.
Les sorties publiques de Kaïs Saïed ont généré des tonnerres d’applaudissements un peu partout. Il suffit de voir l’accueil qui lui a été réservé à Bab El Fellah ou de lire les milliers de posts Facebook l’encensant. Sa popularité a grimpé pour s’établir à 65%, selon Emrhod. 52% des Tunisiens sont satisfaits de son rendement. Il n’y a pas à dire, le populisme paie.
Ce n’est pas nouveau, nous avons déjà vécu ça en 2011, notamment avec les islamistes et les CPR, parti de l’autre populiste Moncef Marzouki.
Il n’y a pas de différence entre Marzouki et Saïed, les deux ont fait du populisme la colonne vertébrale de leur politique. Les deux ont stigmatisé l’élite, les nantis et les opposants, les deux ont utilisé la justice militaire pour abattre des adversaires, les deux ont déclaré se ranger du côté des pauvres et des déshérités. Les deux ont poussé des centaines de milliers de personnes à insulter, harceler et lyncher les voix discordantes.
Comme en 2011, bis repetita, on se trouve à expliquer les abc de la politique et du droit et à lutter contre de véritables charognards, idiots et incultes, visiblement majoritaires. En 2011, on ciblait les "azlem", en 2023 on cible tous ceux qui critiquent Saïed.
Au Moyen-âge, aussi bien dans les contrées islamiques qu’en Europe, il y a eu des centaines de savants, de scientifiques et de poètes voués à l’échafaud par la plèbe de l’époque. Vous avez certainement entendu parler de Galilée, d’Averroès, d’Ibn el Moukafâa et de Razi. En 2023, en Tunisie, on en est là. L’élite est en prison et décriée au sommet de l’État et le rebut de la population chante sa joie.
Plus proche de nous, il vous est certainement arrivé de voir un film américain dépeignant le XIXe ou le XXe siècle où on récite ses droits à un suspect arrêté par la police. Si jamais la police ne respecte pas cette procédure, le juge libère immédiatement le suspect, serait-il assassin attrapé en flagrant délit. En Tunisie, on n’en est pas encore là. Le respect des procédures est considéré comme secondaire par le président de la République et les charognards crient : « coupez-leur la tête ! ».
Vous avez certainement vu un film ou lu un livre où l’on a jeté en prison ou condamné à mort des innocents, ce qui a donné toute sa valeur au principe de la présomption d’innocence ? Ce principe était méconnu par les charognards de 2011 et il l’est encore douze ans après.
Vous savez certainement qu’il y a des pauvres qui méritent leur pauvreté parce qu’ils sont fainéants et malhonnêtes et qu’il y a des riches qui méritent leur prospérité parce qu’ils sont entreprenants et endurants. En Tunisie de 2023, les pauvres sont tous présentés comme des victimes et les riches, tous comme des prédateurs.
Vous savez certainement que le monde et l’Histoire nous ont enseigné que la démocratie est le pire des systèmes à l’exclusion de tous les autres ? En Tunisie de 2023, la plèbe continue encore à l’invectiver.
C’est celle-là la Tunisie de Kaïs Saïed, l’élite est vilipendée par une plèbe idiote et fière de son inculture. L’Histoire se répète, Ibn Khaldoun en témoigne. Lui, il est parti vers l’Égypte. Notre élite actuelle est en train de partir vers l’Europe et le Golfe pour ne laisser ici que des charognards louangeurs et sans dignité.



>>En voici une deuxième, bien garnie, qui nous apporte son lot ombrageux, d'une nouvelle vague d'arrestations, des acteurs frondeurs, opposants aux décisions du président de la république, un manège contre productif, paralysant les actions du gouvernement.
Des activistes qui '?uvrent dans l'ombre, sans se soucier, de l'impact toxique qui peut impacter la crédibilité de leur pays dans le monde, et la réticence des bailleurs de fond qui envisagent s'installer et investir.
Et le dicton disait deux sans trois. (elle sera réservée aux souffleurs de braises) Pour éteindre l'incendie, qui a assez couvé sous les pieds des tunisiens !
Le comble de leurs actions que ces présumés patriotes, au secours de la nation, ne font que la tirer vers l'abime, en sont-ils conscients des préjudices destructeurs ?
Le plus hallucinant dans cette union contre-nature, autrefois, ils se lançaient des boulets d'invectives, miraculeusement, unis pour le pire, en prolongeant une bien longue décennie d'instabilité, de marasmes, dans lequel la Tunisie s'est dotée dune nouvelle constitution, bancale qui n'a résolu aucun progrès !
Les élus d'hier et ses opposants, mains dans les mains, prônant l'union sacrée avec des initiatives tous azimuts, à travers les différentes régions du pays.
Faire perdurer cette chamaille stérile, qui n'apporte que destructions, et malveillance, et même considérations à l'héritage, laissé par le père de la Nation,BOURGUIBA.
En finir avec ce blocage, qui n'a fait qu'envenimer la tension et la discorde.
Malheureusement, quelques médias de la place, s'adonnent à c'?ur-joie pour apporter l'eau au moulin, occultant toutes initiatives à rechercher une solution à amiable, pour un éventuel sauvetage de ce qui reste à sauver'?'!
"Notre élite est en train de partir vers l'Europe et le Golfe pour ne laisser ici que des charognards louangeurs et sans dignité."
Le mot élite reviens souvent dans les article de NB, et il est souvent oppose aux termes: charognard, moutons, populace. Le mot élite est dérive du verbe élire, donc pour faire partie de l'élire on doit être élu par la populace de charognards. Populace est un terme péjoratif: Larousse définit ce terme comme: 'Ensemble des couches populaires considérées avec mépris'.
Dans les études pour comprendre le succès de Trump, les analystes ont conclus que ceux qui votaient pour Trump sont des personnes autoritaires et qui aimaient les leaders autoritaires, les électeurs de Trump étaient angoisses donc ils preferaient les leaders qui attaquent et qui font des promesses de les protéger (contre les Mexicains et les musulmans dans le cas de Trump et contre les riches dans le cas de KS). Ce profil s'applique a la majorité des tunisiens.
L'Europe offre de bonnes opportunités pour les gens comme NB qui ne veulent plus vivre avec la populace de charognards, l'une des meilleures est:
"stages de longue durée offerts par la Banque de l'Union européenne et le gouvernement luxembourgeois aux ressortissants des pays partenaires, dont la Tunisie. Le stage aura lieu au siège de la BEI à Luxembourg."
C'est une belle opportunité pour les étudiants, recherche Google de: 'Traineeship Programme for Middle East and North Africa'.
Ne vous laissez pas tromper, car tout se passe encore de manière "modérée"...
mais pour réaliser leurs projets, les putschistes tueront même bientôt s'il le faut...
Les tests précédents avec les populations ont révélé une marge de man'?uvre absolue, car il n'y a pas de résistance notable à attendre.
Il s'agit d'une hégémonie dirigée par le RCD, la finance et le 3ascar (et non de K. Saiied!) , qui est maintenant dégénérée et orientée vers le profit et le butin...
Il n'y a aucune aide à espérer... sauf pour nous-mêmes..
Parce que TOUT est à la solde de ces pouilleux !
Pour "l'élite", elle était bien heureuse sous la dictature du général zaba avant que les campagnes s'en mêlent pour leur offrir la liberté sur un plateau
1/ Il ne jugera jamais les chefs d'Ennahdha pour terrorisme ni ne te montrera les preuves, seul critère pour des jugements sans appels (car voulu par lui, car son frère les aime bien) ; Abir Moussi elle elle le fera par exemple et...dans les REGLES DE L'ART.
2/ Kaies Saied est entrain de renforcer Ennahdha, devenu des "victimes" à nouveau en n'instrusant pas leurs graves dossier depuis le 25 juillet dernier, avec des PREUVES qui existaient en veux tu en voilà...il tire son "lapin" du chapeau en arrêtant par ci, par là (avant de les relâcher) quand il est en diffuculté et pour que des nigauds comme toi applaudissent "Ezaim".
3/Kaies Saied est plus dangereux que les frères musulmans ; il est d'inspiration Salafiste. Et quand il te montera son vrai visage (qu'il commence à montrer) tu diras quoi, hein Attends toi à ce qu'il active SON "article 5" très bientôt, après l'installation de SON parlement.
Voltaire à propos de l'optimisme :" C'est la rage de soutenir que tout est bien quand on est mal". Il nous faut une élite qui dise aux tunisiens ce qu'ils sont: un ramassis de bigots, de pseudo-intellectuels, de paresseux, de menteurs... Ce qui leur arrive n'est que justice historique.
-Y'a un "complot" dans le pays contre le peuple
-Les partis sont tous responsables ; attaquez les!
-C'est pas moi qui vous affame, c'est eux (eux?)
-"Attaquez les riches, c'est des spéculteurs, des voleurs".
La HAINE et la JALOUSIE distillée à très forte dose... C'est TRES DANGEREUX ce que fait le Malade!! Bientôt on va voir toutes les villas un peu cossues êtres attaquée par les hordes de Kaies Saied.
On est pas sorti de l'auberge : en 2011 Ennahdha disait "attaquez les, c'est des koffars" en 2023 Kaies Saied dit "Attaquez les, c'est eux qui vous volent ces riches".
Ce peuple bhim n'a que ce qu'il mérite.
Toutefois, je me trouve surpris par cette déviation, qui ne trouve lieu qu'à la fin d'une soirée arrosée, dont l'effet du cognac additionné au café, ne se fait sentir qu'au dernier quart de l'article.
Egaler la liberté inconditionnelle, qu'on a vécue sous la présidence de Moncef Marzouki, à l'actuel pouvoir dictatorial de Kaïs Saïed?
Ne pas perdre un seul mot, au sujet de la révolte populaire de 2011, qui ne fut domptée par la Troïka avec toute cette bravoure et avec tout ce succès désarmé, qu'en ayant réussi à régulariser les injustices accumulées durant les longues 55 années de dictature régionaliste. Une dictature avantageuse et privilégiée pour les uns et cruelle, jusqu'à la mortalité pour les autres?
Tant que les Tunisiens ne reconnaissent-ils pas leur trahison et leur ingratitude contre la protection divine de l'Islam en Tunisie, ils seront piétinés par le premier venu, d'où ils ne l'attendent même pas. Comme ce qu'ils vivent à présent de cauchemar, avec l'incognito retraité de l'Enseignement supérieur, des cafés de la Mnihla, Kaïs Saïed.
Kaïs Saïed est un Messager d'Allah le Tout Puissant. Il fut catapulté du néant jusqu'à la présidence de la République avec tout cet esprit apolitique, irresponsable et incalculable, pour qu'il ne fasse que payer leurs sabotages, leurs mensonges, leurs intrigues, leur sentiment d'impunité et leurs fausses désignations talmudiques de «islamistes», à tous ceux qui se sont attaqués à nos us et coutumes musulmans en Tunisie.
Allah yomhil wèlè yohmil.
Comparer Kaiis saed à M.M.Marzouki est vraiment une aberration!
Les autres présidents peuvent s'appeler n'importe quoi (momies, pédo**, analphabètes, traîtres...), mais jamais président d'une république ..!
La haine sans limite
ce qui se passe à Seringuetti en Afrique ce que font les charognards, les jaloux ont leur c'?ur pourri plein de mauvais sang, quelqu'un qui s'adresse à une femme qui fait de la poterie en lui disant qu'elle est meilleure que celle qui est dans les grandes salons est un jaloux, un autre qui n'aime pas ceux qui mangent dans des restaurants chics est un jaloux, celui qui n'aime pas le bien être des êtres humains et la prospérité d'autrui est super jaloux, que dire de celui qui déteste soi-même ! ! Que dieu protège la Tunisie.
ps : attribuer tous les maux qui rangent le pays au président actuel , et à lui seul , c'est malhonnête .
Nous avons bien bien bien compris que toi Nizar Bahloul tu déteste et tu deteste Marzouki Fhmenak.
yezzi bjah rabbi seyeb errajl.
Marzouki reste une personne respectable démocratique et un grand politiciens.
Et dis toi pourquoi le Malade n'abolit pas "l'état d'urgence"? C'est parceque cela sert ses propres intérêts gros bêta...Tu "réfléchis" avec tes pieds toi?
Et quand un mangeur de foin charognard idiot inculte met à nu vos mensonges vous utiliser la censure
Les gens honnêtes acceptent la vérité et acceptent leurs erreurs envers les lecteurs qui sont votre capital
Utiliser la censure et pourtant on entend que vous bataillez tous les jours pour la liberté d'expression
HALAL ALIKOM HARAM ALINA
Dommage, le dialogue est biaisé et s'éloigne de la réalité.
C'est pot de fer contre pot de terre !!
"Là où le droit devient injustice, la résistance devient un devoir" - c'est ce qu'aurait dit Bertolt Brecht, entre autres. C'est une citation qui englobe de nombreuses idées fondamentales.
Elle contient la conviction qu'il y a le droit, mais aussi l'injustice - le refus du relativisme ou peut-être du nihilisme. Les hommes peuvent faire le bien, mais aussi le mal. Et nous pouvons distinguer et reconnaître ce qui est juste et équitable de ce qui ne l'est pas. Mais dans cette citation, il y a aussi le fait que les citoyens ont un devoir. Ils ont un devoir envers le droit.
S'il cède à l'injustice, ils doivent alors résister, lutter pour le changement.
L'idée d'un droit à la résistance est contenue dans la loi fondamentale allemande. Mais on la retrouve également dans la Déclaration d'indépendance américaine, où le peuple se voit reconnaître le droit de remplacer un gouvernement qui ne respecte pas ses droits par un nouveau.
Le droit de résistance et de changement en cas d'injustice correspond à l'idée centrale de l'Etat moderne : c'est un Etat de citoyens pour les citoyens. Pourquoi les citoyens n'auraient-ils pas le droit de se débarrasser de cet Etat s'il ne leur plaît plus ?
by by tunisia,
Je suis comme vous dégouté de l'inculture et la bétise et la méchanceté d'une majorité du peuple tunisien.
Ils chantent de joie aujourd'hui de voir les lois violées, ils ne se rendent même pas compte que c'est leur propre lit qu'ils sont en train de faire...
Toute cette bêtise est à pleurer, non, nous ne méritions pas la démocratie.
1- le type du cpr devenu président avec 300 000 voix à la constituante et il est élu président par les membres de la constituante suite a un marché de partage des pouvoirs entre la troïka
2- KS président élu au suffrage universel avec 3 millions de voix et confirmé par le même nombre lors du dernier referenfum
De plus on voit plusieurs fois l'indication du mot putch du 35 juillet
Alors on sait qu'un putch est une action de prise du pouvoir par DES MILITAIRES contre un régime en place
Sans etre une lumiere de bonnaissance et '?tant simple citoyen mangeur de foin charognard louangeur et sans dignité je vois bien le travail de manipulation et d'incitation à la division et la haïne
Hélas le foin nous a vacciné pour ne pas absorber ces choses et nous utiliser comme des pions pour règlement df compte entre pouvoir et journalistes
Si elle n'a rien à faire avec son troupeau de oisifs indépendants, ils pourront camper là où ils veulent; on s'en fout tu vois.
Lorsque les arriérés de salaires de fonctionnaires seront une réalité il y aura une répression sanglante
Saed et son équipe s'y sont préparés
Il y a tant d'histoires comme ça. Tôt ou tard la chose va arriver en Tunisie.
Les pénuries vont se multiplier, les paiements des salaires et retraites ralentir encore...
ils pourront insulter autant qu'ils veulent es traites, les azlem, les speculateurs, ou tout ce qu'il peuvent inventer. Quand la vérité vous frappe à la figure, il n'y a aura pas d'autre choix.
n'accordez pas trop de confiance à vos intuitions gratuites, en effet elles vous trompent:)
Le Président de la République, Mr. Kais Said, sait ce qu'il fait et il fait ce qu'il faut faire...
Pour votre Information, la Tunisie n'a plus besoin de l'argent du FMI:)
'When one door is closed, don't you know that many more are open'?', Bob Marley
Que Dieu protège notre Président de la République, Mr. Kais Said, et protège notre Tunisie
Ti bon, bref, ma ghir ma nsa3abha : quand ces minables qui applaudissent Saied se reveilleront de leur torpeur, ils diront "ghaltouni"...encore et encore....
Laisse les vivre leur rêve éveillé. Ils vont tomber dans une dépression sans issue quand ils se rendront compte de "qui est" Kaies Saied vraiment.
https://www.youtube.com/watch?v=eBbMkj_Fyxo&t=1970s
Avoir des griefs sur la forme et le fond, ne justifie pas , Monsieur Bahloul, ces raccourcis dont vous devenez spécialiste.
Décidément, ce que je viens de lire confirme le ton léger de vos "articles".
Votre dernière phrase, Nizar Bahloul résume à elle seule toute votre chronique.
Hélas, je ne peux que partager votre indignation.
Je le vois autour de moi et je suis persuadé que chaque Tunisien l'a aussi ressenti et remarqué.
C'est sans doute cela pour cette raison que la cote de popularité du président s'élève désormais à 65%. Ne reste plus en Tunisie qu'une majorité d'afficionados de KS.
Il est à noter qu'il persiste malgré tout un petit pourcentage de citoyens qui ne quitteront sous aucun prétexte leur pays et qui sont néanmoins catastrophés de ce constat, qui luttent comme ils peuvent pour émanciper les esprits et qui crient leur détresse et tentent de tirer la sonnette d'alarme avant d'arriver au point de non-retour.
Ce Moez n'est pas du tout convainquant, il essaye de noyer le poisson...
Les français ont eu les sans culottes et nous, on a le droit aux sans cervelles. Il y a vraiment une révolution pour la médiocrité qui s'opère et peut être que la "révolution des affamés " dans le propre comme dans le figuré, est en train de se jouer devant nous.