
Interpellé sur la possibilité de transformer cette initiative en parti politique, Brahim Bouderbala a avancé que la Tunisie n’avait pas besoin de partis supplémentaires notant que ceux qui existent déjà devraient fusionner. Il a, dans ce sens, pointé du doigt l’aversion qu’ont certains citoyens envers les partis politiques.
« Le peuple, en majorité, cherche un moyen de sauver le pays et nous avons déjà une initiative légitime présidée par le chef de l’Etat. Elle est donc la plus crédible. Il y a eu une consultation, une commission pour l’élaboration d’une constitution, un référendum… La prochaine phase consiste à élire un parlement. Je pense, d’ailleurs, que le peuple, en majorité, aspire à avoir un parlement qui rompt avec le précédent et qui joue pleinement son rôle en tant que législateur et dans le contrôle du gouvernement », a-t-il avancé.
N.J

Pour rappel, il y a eu un certain M'barek qui, au début de la mandature du président s'était vainement accroché à ses baskets en le couvrant de louanges et ne jurant que par lui.
Comme il s'est fait joyeusement remballer tellement il était bête, il ne fait, depuis sa disgrâce, que gueuler, pester et râler à toute occasion contre le locataire de Carthage.
Comme tu ne brilles pas par intelligence, dis toi bien que le même sort risquerait de t'être réservé ou de te tomber sur la tête, ya Bouderbala et là, aux fronts du salut, du refus ou des tordus, toutes les places sont prises...