
Le membre du comité de défense de la présidente du PDL(Parti destourien libre), Nafaâ Laribi a indiqué, mercredi 17 juillet 2024, dans une déclaration accordée à Mosaïque Fm, que la chambre des mises en accusation près la Cour d'appel de Tunis a décidé de reporter l'examen de deux affaires portées contre Abir Moussi au 31 juillet, tout en refusant sa libération, après que la défense ait soumis une demande de libération obligatoire.
Il convient de noter que la première affaire a été renvoyée par la Cour de cassation. Il s'agit de l'affaire du bureau d'Ordre de la présidence de la République. Il a été décidé de refuser la libération d'Abir Moussi et de reporter l'examen de l'affaire à l'audience du 31 juillet en cours.
La deuxième affaire concerne une plainte déposée par l'Instance supérieure indépendante pour les élections pour des accusations liées à l'utilisation de réseaux et de systèmes d'information et de communication pour produire et diffuser de fausses nouvelles dans le but de nuire à la sécurité publique. Il a été décidé de la renvoyer devant la chambre criminelle.
S.H
Et après tout ce cirque, ils s'attendent à ce que l'on fasse confiance au système de justice. Franchement la Justice n'a pas été aussi soumise aux ordre de l'exécutif même au temps de Ben Ali.
Abir Moussi a probablement sous estimé le danger qui la guettait. Elle ne pensait pas que le type en place la jetterai aussi facilement en prison.
Toute transition pacifique du pouvoir en Tunisie est devenue impossible. Nous n'avons qu'a attendre que ca explose.