
Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, jeudi 6 juin 2024, le ministre des Affaires sociales, Kamel Maddouri, au palais de Carthage pour discuter d'un ensemble de sujets, dont le rôle de l'État dans le domaine social.
"Ce rôle est un devoir imposé par les revendications du peuple et par la Constitution. Il complète les politiques adoptées dans les autres secteurs. Ces secteurs sont nombreux et leur cohérence et complémentarité sont nécessaires pour atteindre l'objectif recherché, à savoir la justice, l'équité et l'éradication de toutes les causes de pauvreté et de misère", lit-on dans le communiqué publié par la présidence de la République à l'issue de cette rencontre
Parmi les sujets abordés figurait l'ajustement automatique des pensions des retraités dans les secteurs public et privé. Le président de la République a recommandé d'accélérer l'augmentation des salaires minimums garantis ainsi que l'augmentation des allocations destinées aux familles nécessiteuses. En outre, il a insisté sur l'augmentation du salaire minimum industriel garanti et des pensions d'invalidité versées par la Caisse nationale d'assurance maladie dans le cadre du régime d'assurance contre les accidents du travail et les maladies professionnelles.
Le président de la République a expliqué que ces augmentations devraient réduire les taux de pauvreté, mais qu'elles doivent être accompagnées d'autres mesures et d'augmentations périodiques pour réduire les disparités sociales et garantir une vie digne à chaque citoyen.
"Chaque citoyen a le droit au travail et à un salaire équitable, et l'État, comme le stipule la Constitution, doit assurer la prévention et les soins de santé, ainsi que la couverture sociale", indique le même communiqué.
Le président de la République a également appelé à une révision rapide de plusieurs textes législatifs, notamment ceux relatifs à la sécurité sociale, aux contrats à durée déterminée ou à la sous-traitance, "car ils constituent une forme déguisée d'esclavage".
S.H
La valeur du point pour le décompte de la retraite complémentaire est bloquée depuis 2014 .
Automatisme possible mais par quel texte de loi ...
Justement pour sauver l etat et les comptes publiques, il faut ne plus augmenter les fonctionnaires mais il y aura deja encore + de corruption
Mais, il faut noter que ces pensionnaires dont la majorité écrasante ne produisent que -- des gaz -- par effet naturel et par usure du machinisme-- les organes -- n'ont rien à voir avec production/productivité/ renfermement et rentabilité.
Au contraire , ce sont des êtres humains qui devraient vivre grâce à des cotisations payées à l'avance durant leurs années d'actitivité-- lorsque le dinar avait une bonne valeur, réputation et même orgueilleux .
Cependant , la majoration des salaires doit être liée automatiquement à la productivité pour limiter en partie l'inflation et assurer une bonne croissance .
Il existe alors une très grande différence entre majoration salariale qui devrait être bien étudiée au cas par cas ( par établissement et s'il le faut par agent employé) et l'augmentation du smig qui est liée à un seul facteur -- en grande partie résultat de ces salariés suivant leurs produits en qualité, quantité en minimum de temps ou débit et bien sûr en valeur ajoutée.
Donc, la locomotive d'une majoration systématique et "" obligatoire à mon sens '"" est le salarié....Tout dépend de son sérieux, sa compétence, sa résilience, sa volonté et.......Ceci pourrait générer de façon indirecte une meilleure qualité-- de gaz -- des pensionnaires
Un peuple qui crève de faim et qui ne mange plus de viande depuis le départ de Ben Ali après une révolution de la faim exemplaire dans le monde et qui a même remporté un prix Nobel sioniste.
Il m'arrive parfois de me rendre à carrefour lorsqu'on fils me rend visite de Londres. Je bénéficie alors de l'avantage d'avoir une progéniture qui gagne sa vie en devises fortes et dont la carte de crédit Lloyds est farouche face aux caissières qui affichent des yeux de merlan frit au vu de mon chariot rempli de victuailles et qui dévoilent soudainement leurs charmes sous forme de soutien gorges noirs proéminents achetés à la friperie de Bab Al Khadra
Même si mon compte BIAT est aussi vide que vos cerveaux et mon portefeuille plat comme une limande, je me retrouve soudainement pris en charge par mon rejeton qui remplit mon réfrigérateur de produits alimentaires variés dont des boites de conserves bariolées et douteuses de fabrication Sfaxienne.
Le moment le plus agréable est de voir des badauds se rassembler autour de mon chariot bien garni contrairement a vos crânes chauves de portefaix de Moza du Qatar.
La scène est quelque peu gênante car je réalise que la révolution de la liberté et de la dignité de Siheme Ben Sedrine la gueuse dont la tête évoque une madeleine rassie, a transformé la Tunisie en Biafra.
Mais de là à s'endetter afin de faire une hécatombe en ovins suivie d'une fiesta ou le Tunisien moyen et sa femme obèse se transforment en ogres, c'est un pas de plus vers l'indécence.
Il est temps pour les Tunisiens de mener une vie vétuste et simple comme certains peuples d'Asie qui travaillent sans broncher et dont les économies ne seront jamais à la merci des européens qui désertent des hôtels poussiéreux et vides grâce a une autre gueuse nommée Amal Karboul qui a fait fuir les touristes a jamais d'un pays qui n'inspire plus confiance.
JOHN WAYNE