
Le mouvement Ennahdha a rendu public un communiqué ce jeudi 17 mars 2022, à la suite de la réunion de son bureau exécutif pour débattre de la situation nationale et internationale, dans un contexte de crise aigue des finances publiques et une situation sociale tendue à cause des hausses des prix et du manque des produits de base.
Ennahdha fait porter au pouvoir en place la responsabilité de l’échec dans la mobilisation des ressources financières prévues dans le budget de 2022 et les difficultés rencontrées dans les négociations avec le FMI. Le mouvement pointe, dans ce contexte, l’absence de transparence et de vision, "en essayant d’orienter le peuple vers la consultation électronique ratée au lieu de lui dire la vérité quant au déficit des finances publiques accentué par les répercussions de la guerre en Ukraine".
Le mouvement affirme l’importance de la lutte contre la corruption et la spéculation, dénonçant "les campagnes anarchiques ne distinguant pas les circuits légaux et illégaux". Il met, également, en garde contre la situation économique des entreprises, assurant que "l’Etat ne les a pas aidées à surmonter l’impact de la pandémie du Covid-19".
D’autre part, le mouvement de Rached Ghannouchi a mis en garde contre les politiques du gouvernement négligeant les revendications des travailleurs en bloquant les portes des négociations à travers la circulaire 20.
Ennahdha insiste sur l’importance de l’approche participative dans l’élaboration des alternatives économique, tout en réitérant son appel à libérer l’ancien bâtonnier Abderrazek Kilani.
S.H
Disparaissez bande de crétins.
Un code pénal méconnu de ROBOCOP!
Comme d'habitude.
Kais Saied à été pusillanime.
Il aurait dû les coffrer l'un après l'autre, ce qui nous aurait épargné leur beuglement.
Car, en vérité, ces criminels croient encore qu'on peut instaurer un dialogue avec eux.
Mais de quel dialogue peut-il être question ?
Ce serait pactiser avec le crime que de leur accorder un seul instant le bénéfice de les croire motivés par l'intérêt général.
Enfin, messieurs, mesdames les comploteurs, qui pourrait tenir avec vous concernant l'intérêt du pays ?
Seuls vos obligés, ceux que vous avez achetés, corrompus et mouillés dans vos combines vous seraient favorables.
Ils n'ont guère de choix. Les dossiers mis en lieu sûr sont là pour les tenir.
Alors, mis à part vos suiveurs, de moins en moins nombreux, ne vous fait confiance.
Vous avez trahis, y compris vos troupes d'inconditionnels et vous ne faites plus recette.
Alors, aboyez.

