Evoquant l’arrestation de l’ancien bâtonnier des avocats, Abdelrazzak Kilani, l’actuel bâtonnier de l'Ordre national des avocats de Tunisie (Onat), Brahim Bouderbala, a affirmé son opposition à la poursuite de civils devant les tribunaux militaires. « Nous nous attendions à une révision de la loi permettant cela. Néanmoins, les élus n’y ont pas pensé ou avaient choisi de ne rien faire ! », a-t-il ajouté.
Intervenant le 8 mars 2022 au micro de la radio IFM durant l’émission "90 minutes", animée par Khouloud Mabrouk, Brahim Bouderbala a estimé que Abderrazak Kilani avait été arrêté suite à une déclaration et un comportement s’inscrivant dans le cadre d’agissements purement politiques. « L’avocat doit se conformer à la loi. Il aurait dû s’adresser aux autorités compétentes pour demander la permission de visiter son client », a-t-il ajouté.
Concernant la levée de l’assignation à résidence du député, avocat et figure du mouvement Ennahdha, Noureddine Bhiri, Brahim Bouderbala a assuré que l’ordre soutenait le procès équitable et d’une justice équitable. « Je me réjouis de cette annonce… Maître Bhiri a un comité de défense composé de plusieurs avocats compétents », a-t-il dit.
Le président de l’ONAT a appelé les forces patriotiques à se joindre à la lutte contre la corruption et à la correction de la trajectoire. Il a, aussi, déploré l’usage de la langue anglaise dans l’écriture de slogans sur des pancartes. Il a considéré qu’il s’agissait d’un appel à une ingérence étrangère.
S.G
Y compris les islamistes et leurs suppôts, lesquels ne pipaient mot lorsque les libertés étaient foulées au pied par leurs "héros".
Je n'en crois pas un mot, pour reprendre le verbiage des petites mains, des propos de ces derniers.
Ces voltiges faciles, et les dires qui n'engagent que ceux qui les croient, sont pure propagande et calculs venant de gens sans vertu.
Que des islamistes nous parlent matin et soir de droit, de liberté, est en soi une arnaque.
Bhiri, ce comploteur qui a perverti la justice, est devenu victime. Et trouve des soutiens.
C'est scandaleux, moralement.
Politiquement, c'est plus que grave, c'est contre le Droit, la justice, la démocratie.
Et, Dieu sait qu'ils en ont plein la bouche ces fossoyeurs des libertés, amis de la terreur, quand ils ne l'ont pas tout bonnement organisée.
Une mouvance sur quoi pèsent des incriminations, des mises en cause d'assassinats documentés et qui trouve des fanatiques pour l'épauler dans ses menées de faussaire, cela relève du forfait.
Ameuter le monde, en appeler à des forces étrangères, traiter tout ce qui ne pactise avec eux de fasciste, ces gens n'ont de respect pour rien ni personne, et croient être la légitimité.
Ce sont les tribunaux qui devront les poursuivre.
C'est cela qui motive leur opposition aux actions de Kais Saied.
Il leur faut savoir, eux et leurs suiveurs, que nous n'acceptons pas de retour l'avant 25/7.
Pas de pardon, non plus. Car, pour pardonner, il y faut une condition nécessaire et aussi bien suffisante, que les crimes soient reconnus par leurs auteurs, et que la justice aient statué.
Nous ne vous lacheront pas.
I don't believe this Putschist not a word!
Non credo a questo golpisto non una parola!
L'histoire jugera vos actes, mais je peux vous dire dès maintenant que ce n'est pas très glorieux...
