
Le président du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi, s'est rendu, le 8 mars 2022, au domicile du député et membre de son parti, Noureddine Bhiri, afin d'accueilir ce dernier après la levée de son assignation à résidence.
Des photos et des vidéos, publiées par la page Facebook de Noureddine Bhiri et plusieurs autres figures islamistes dont Maher Medhioub, Sami Triki et Samir Dilou, montrent Noureddine Bhiri levant le signe de la victoire aux côtés de Rached Ghannouchi.
Une ambulance l'avait ramené de son lieu de détention, à savoir l'hôpital Habib Bougatfa de Bizerte, à son domicile après que le ministère de l'Intérieur a annoncé la levée de son assignation à résidence. Rached Ghannouchi s'est empressé d'enlacer son camarade et de le raccompagner de l'ambulance qui l'avait ramené de son lieu de détention jusqu'à l'intérieur de son domicile.
Par la suite, alors qu'il était au côté de Noureddine Bhiri, Rached Ghannouchi a déclaré : « La Tunisie a besoin de tous ces enfants. Ceux sont des symboles de patriotisme et de sacrifice. Aujourd'hui, Noureddine a été libéré. Demain, ça sera au tour de Abderrazak Kilani. Nous remercions le Seigneur ».
Rached Ghannouchi a, également, souligné l'importance du dialogue et a appelé à renier l'esprit de vengeance.
Rappelons que l'assignation à résidence avait été entamée à la date du 31 décembre 2021 à un lieu non-communiqué. Par la suite, et en raison de la détérioration de l'état de santé du concerné, Noureddine Bhiri avait été placé sous surveillance policière au sein du service de réanimation de cet hôpital à partir du 2 janvier 2022. Il avait entamé, au lendemain de cette date, une grève de la faim.
S.G


Il continue à rester un homme obèse
Préparez vous, la bande de facho islamistes est de retour (épisode 2).
Ces héros me confirment l'immuabilité de mon observation sociopolitique en Tunisie. Lorsque je parle toujours de mensonges, de lynchage sauvage et d'intrigues contre le parti d'Ennahdha, ce n'est ni du bluff, ni du baratin à la manière des autres.
Le peuple tunisien et la grande majorité des journalistes tunisiens, ne ressemblent en rien du tout à la lâcheté du peuple et des journalistes égyptiens. Il est trop facile de détecter le juste du faux parmi eux.
Allahou Akbar.
Prévaricateurs, illégalistes, à la tête d'une organisation ayant décidé de tout mettre sous coupe réglée, et elle y a réussi grâce à la lâcheté de beaucoup.
Maintenant qu'elle est mise hors-jeu, elle exhibe trophées et midinettes pour reprendre des couleurs.
Bhiri héros ?
Ghannouchi héros ?
Du gibier de potence. Même, c'est vrai, si le pays a quitté l'esprit de revanche et surseoit aux exécutions.
Ennahdha reste revancharde.
Haineuse, et complotiste.
Comploteuse et traîtresse.
Ceci pour les considérations moralistes, terrain de jeu favori des émules de la terreur.
Politiquement, Ennahdha n'a jamais beaucoup pesé sans les suppôts et ralliés.
La référence religieuse a du plomb dans l'aile, et le bedeau se fait réticent aux appels venus de ce camp.
Je crois même que désormais, ce courant n'aura pour supporters que les paumés, parce que ses suiveurs ont compris ce qu'il y a de péril à demeurer à ses côtés.
D'autres alliances, d'autres agapes les attendent et d'autres meneurs et leurs promesses s'avèrent plus rentables.
Et, comme lzs girouettes sont partie du paysage comme les moulins à vent ornent les plaines des Provinces Unies ou le royaume d'orange, alors les recompositions ne manqueront point jusqu'à la décomposition.
Comme de bien entendu, dirait la chansonnette.
L'étoile des marchands du Temple a perdu de son éclat, et en ce printemps, les fleurs se ramasseront sur pied.
Les parfums de Jadis ne seront plus de saison, et l'on aura d'autres emblèmes, parce que nos héros ne seront pas bardés des certitudes oiseuses des discoureurs, leurs sophistes ayant été démasqués, ils seront à l'image du citoyen ordinaire, parleront la langue du présent, et avec eux nous aurons congédié les bonimenteurs et leurs promesses toujours renvoyées à l'après-trépas.
Car, pour nous autres, vivre cela suffit comme promesse.
Alors, ne nous parlez plus jamais de héros.
Vos livres ne sont pas nôtres.
Nous ne lisons pas dans la même langue, et n'avons pas en commun un seul livre.
Rangez vos sermons, prêtres de malheur, et gardez-vous de nous croire de vos semblables.
Ils oublièrent qu'avec le temps, "él 3ajla dour", tout simplement.
Ces pingouins sont tellement bêtes, méchants et surtout affamés, qu'ils n'avaient même pas eu l'idée de faire un état de rapprochement avec le sort des trabelssiya !!!!!!!!!
Ces brouettistes sont b7éyime tout comme leurs fans, composés majoritairement de haineux, de jaloux, de frustrés, de complexés et surtout de 7ssoudiya.
Cette dernière qualité leur a taraudé les méninges !!!
éllotof ya Rabbi. Ils n'en dorment pas la nuit.

