
Le bâtonnier de l’Ordre national des avocats de Tunisie (ONAT) Brahim Bouderbala, a affirmé aujourd’hui qu’une lecture de faits intervenus va être établie à partir d’aujourd’hui, à savoir les conséquences relatives à l’application de l’article 80 de la constitution.
Sur les ondes de la radio nationale, le 26 juillet 2021, le bâtonnier a considéré que les décisions du président de la République vont accentuer davantage la crise politique dans le pays et ne vont nullement aboutir à un dialogue constructif ou à la paix.
Brahim Bouderbala a aussi indiqué que le ministère public est une partie intégrante du pouvoir judiciaire et ne peut en aucun cas s’apparenter au pouvoir exécutif en précisant que le Conseil supérieur de la magistrature décidera de la régularité de cette décision.
Le bâtonnier de l’Ordre national des avocats de Tunisie a déclaré qu’un dialogue sera entamé de suite avec le Quartet du dialogue national en intégrant toutes les entités concernées en insistant sur l’importance de la rationalité en tout état de cause.
J.B
Mais c'est vrai que vos intérêt sont garantis qu'avec les mafieux et les criminels qui gouvernement depuis 2011.
Dans le Désordre vous Trouvez vos Ordres'?'
Il se distingue des autres magistrats par sa position, sa disposition au sein de la justice, et selon les situations et les pays, il reçoit des instructions du gouvernement.
La capacité, la qualité de ceux qui l'incarnent fait la différence. Sans toutefois en faire un appareil indépendant, puisqu'il est toujours et demeure un appareil d'Etat.
Des procureurs habiles, fins juristes, peuvent gagner en autonomie.
L'inverse est toujours ainsi. Tout procureur est la voix du pouvoir en place.
Le juge dit la loi par sa bouche, écrivait Montesquieu.
Le procureur dit la loi de son gouvernement.
Aussi, il ferait mieux de se faire petit autant qu'il l'a été avant. '?a vaux mieux pour lui et pour tous.