
Le membre de la campagne explicative du président de la République, Kaïs Saïed, Ahmed Chafter, a estimé que le monde changeait et que ceci devait conduire à un changement au niveau des partis politiques. « Les partis ne doivent plus définir les politiques du pays. Les élire pour gouverner ne veut pas dire les inclure dans tous les choix », a-t-il ajouté.
Invité le 13 avril 2022 par Samah Meftah sur les ondes de la radio Jawhara FM, Ahmed Chaftar a affirmé que les partis ayant connu un succès avaient accès à énormément d’argent. Il a expliqué que les membres de la campagne explicative cherchaient à modifier le rôle des partis politiques. Il a affirmé que ces structures s’étaient transformées en associations lucratives et en mafias. Il a insinué que tout individu riche ou possédant de l’argent s’était enrichi grâce à des moyens illégaux ou immoraux. « Il y a une injection d’argent sale dans les partis politiques. Il s’agit d’une forme d’investissement ! », s’est-il exclamé.
Ahmed Chaftar a affirmé que le chef de l’Etat ne cherchait pas à nommer les membres de la campagne explicative au sein des postes clés de l’Etat. Il a estimé que les nominations post-25 juillet étaient négligeables et que plusieurs personnes n’avaient pas fait partie de la campagne explicative et étaient de simples sympathisants. « Nous apportons un projet politique. Il ne s’agit pas d’un butin ! Il ne s’agit que de cinq ou six gouverneurs et près de dix délégués », a-ti-l ajouté.
Le membre de la campagne explicative a estimé que les partis politiques exploitaient le pays et le pouvoir. Il a expliqué qu’il n’appelait pas à l’annulation des partis politiques. Ces structures, selon lui, avancent à petit pas vers l’extinction. Il a considéré que les partis politiques avaient boycotté la consultation nationale, car celle-ci diminuait leur rôle et leur emprise sur les Tunisiens. « Il y a des lignes rouges à ne pas franchir telles que la trahison et l’appel à l’ingérence étrangère ! », a-t-il dit.
Il a considéré que le mouvement Echaâb n’était pas un parti soutenant le président de la République. Il a expliqué que ce parti avait tenté d’intégrer le mouvement de changement entamé par les mesures du 25 juillet, mais tout en gardant les avantages de l’ancien système.
Par ailleurs, il a assuré qu’il n’y avait pas de structures encadrant les membres de la campagne explicative et que ces derniers n’avaient pas été mandatés par le président de la République. « Toute personne est libre de militer et de participer au niveau de sa localité… Nous sommes des bénévoles… Nous opérons sous la forme de groupes de réflexion », a-t-il ajouté.
S.G

Ils volent sur le nuage, avant de tomber comme de la grêle.
Allah yostir Tounes.
Il n'y a que leur business personnel et toutes formes de trafics d'influence qui les intéressent.
Il en est de même pour tous ceux qui occupèrent la basse-cour nationale du Bardo.
A quelques exceptions près, et encore, ce sont tous des charognards sans foi ni loi !!
La "faim" justifie les moyens.
Mais où va-t-on avec ce Bhimcop ?
à la vraie "Faillite" de la Tunisie
à 1 guerre civile à cause d'1 coosanguiné de Adrem!!!!
Vous avez voté à 72% pour ce bhimcop, alors dégustez en silence les Inc....
Et ce n'est que le début d'1 descente infernale dans les abimes de la médiocrité.
REALITE SOCIETAIRE: lorsqu'on parle au tunisien d'un parti politique, c'est exactement comme si on lui parle d'un diable, ou d'une organisation mafieuse.
PERSPECTIVE: l'avenir de la Tunisie est dans les mains de son peuple, ce dernier est maintenant déterminé à prendre les choses en main. Les chefs de partis doivent changer de métier.

