Le Conseil national de l’ordre des pharmaciens a donné, dans un communiqué rendu public lundi 11 juillet 2016, sa position sur l'affaire de l'utilisation des stents cardiaques périmés par des cliniques privées.
Le conseil a vivement critiqué les accusations portées contre des pharmaciens par des cliniques privées. « La responsabilité des dépassements enregistrés incombe aux techniciens et non pharmaciens », précise le communiqué. Le conseil a appelé, à ce propos, à la révision de la formule actuelle des contrats conclus entre les pharmaciens et les cliniques privées.
Ainsi le conseil, affirme qu’il a adressé depuis 2013 des correspondances aux parties concernées afin de les inciter à mettre en place une loi spécifique réglementant la tenue, le contrôle et la gestion du matériel médical et des produits pharmaceutiques non médicamenteux.
I.L.
Affaire des stents périmés : Les pharmaciens critiquent les accusations portées à leur encontre
Le Conseil national de l’ordre des pharmaciens a donné, dans un communiqué rendu public lundi 11 juillet 2016, sa position sur l'affaire de l'utilisation des stents cardiaques périmés par des cliniques privées.
Le conseil a vivement critiqué les accusations portées contre des pharmaciens par des cliniques privées. « La responsabilité des dépassements enregistrés incombe aux techniciens et non pharmaciens », précise le communiqué. Le conseil a appelé, à ce propos, à la révision de la formule actuelle des contrats conclus entre les pharmaciens et les cliniques privées.
Ainsi le conseil, affirme qu’il a adressé depuis 2013 des correspondances aux parties concernées afin de les inciter à mettre en place une loi spécifique réglementant la tenue, le contrôle et la gestion du matériel médical et des produits pharmaceutiques non médicamenteux.
De quelle loi ils parlent?
Il y a un manque flagrant de Pharmaciens dans les officines qui marchent le plus souvent avec les préparateurs formés sur le tas, un manque flagrant de Pharmaciens dans les Pharmacies centrales des Hôpitaux ; un manque flagrant de Pharmaciens à plein temps dans les cliniques privées et enfin en ville il y a un manque fragrant d'officines ouvertes la nuit, dimanches et jours fériers, il faut aller les chercher à la loupe surtout quand c'est urgent.
Monsieur le Ministre de la Santé,la profession pharmaceutiques dans son ensemble demande une réforme profonde pour pallier aux différents manquement: une bonne gestion du produit pharmaceutique dont tout le monde est gagnant, sa disponibilité et la garantie de sa qualité. Avec l'organisation actuelle, la profession ne pourra jamais suivre l'évolution et la mutation rapide de ce métier ailleurs dans le monde, au moment de la tout mondialisation.
J'ai un ami qui est chirurgien orthopédiste et qui exerce en France à l'hôpital public. Je lui ai demandé s'il vérifie la date de validité des prothèses qu'il pose. Il m'a répondu que non, il n'a pas le temps, c'est le fait de la pharmacie de l'hôpital même q'il sait qu'en cas de problème il endosse une partie de la responsabilité.
Il ne vérifie que la taille de la prothèse.
Comme l'ont si bien dit Un Tunisien désespéré| 11-07-2016 20:08,
Hayet| 11-07-2016 20:32
et Givago| 12-07-2016 09:26, tout le monde se défile.
Assumer ses responsabilité est une valeur que très peu de tunisiens ont.
C'est est toujours là même rengaine ce n'est pas mois c'est l'autre,la responsabilitée c'est un mot tabou chez nous et tous le monde fuit la véritété, moi j'ai un stents depuis 2011 et actuellement je ne vis plus,à qui la faute?sous d'autres sieux tous ce beau monde aurait à répondre devant le juge.
On se demande qui amène en Tunisie des valises entières de produits cosmétiques au noir pour les vendre?
La faute à qui? Ni les pharmaciens, ni les médecins, ni les cliniques...les autorités qui sont au courant de tout et qui ferment les yeux sur ces trafics.
Il s'agit d'épiciers de médicaments qui ne tiennet meme pas leurs épiceries.
J'imagine qu'ils parlent des techniciens de pharmacies.
En Tunise, nous avons toujours appris qu'il n'y a personne qui assume sa responsabilité. C'est toujours la faute de l'autre... Les fautes à répétions n'incombent ni aux médecins, ni aux pharmaciens, ni aux techniciens. C'est peut-être la faute des femmes de ménage. Oui, mais pas celles des cliniques, ni celles des pharmacies, ni ni, etc. Bientôt, on n'en parle plus.