
La Dynamique féministe indépendante et des organisations de la société civile partenaires organisent, vendredi 7 octobre 2022, à midi, un sit-in devant le siège central de l'Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie).
Ce mouvement de protestation, ayant pour slogan « Nous sommes des citoyennes à part entière, nous n'accepterons pas d'être de simples parrains », vient dénoncer les discriminations, les violences et l'atteinte à la condition féminine et aux droits des femmes à participer à la vie politique et aux affaires publiques consacrée par la nouvelle loi électorale.
De nombreuses associations ont déjà dénoncé l’évincement des femmes du processus électoral avec la non-imposition de la parité dans la nouvelle loi électorale. Elles ont réclamé la révision de la loi électorale afin de garantir la parité homme/femme dans toutes les prochaines étapes électorales.
Elles ont souligné leur attachement aux acquis juridiques et législatifs garantissant les droits de la femme et notamment ceux annoncés dans le décret N°35-2011 réglementant les élections de la constituante et la Loi organique n° 2017-7 du 14 février 2017, modifiant et complétant la loi organique n° 2014-16 du 26 mai 2014 relative aux élections et aux référendums, qui évoque la parité verticale et horizontale entre homme et femme pour les candidatures aux élections.
Pour les associations féministes, l’adoption du principe de parité entre les deux genres a été décisive pour imposer la femme dans le milieu politique dans une société patriarcale, concrétisant l’égalité et l’équité des chances entre les deux sexes. L’abandon de ce principe à cause du scrutin uninominal, sans la mise en place de garanties permettant aux femmes une participation large et effective représente une grave violation des dispositions de l'article 51 de la nouvelle constitution, toujours selon eux.
Les manifestantes estiment que les femmes seront exclues et ne pourront pas candidater. Elles affirment d'ailleurs que l'actuelle loi renforcera la participation des personnes à hauts rangs, ayant de l’argent et des relations et renforcera le clientélisme. Ce qui produira, au final, une scène politique qui n'est pas très différente de celle produite par les élections législatives de 2019, sinon pire.
Elles s’étonnent aussi que la parité ait été adoptée uniquement pour les parrainages, démontrant que la femme ne sera présente que pour faire bonne figure.
M.B.Z
1) être un homme ou une femme intègre et patriote et servir réellement son pays et ses intérêts.
2) un casier judiciaire vierge
3) réellement compétent (e) avec un niveau bac+2 minimum.
4) aucun ancien mandat (les anciens clodos vous êtes hors jeu)
5) Interdiction totale de fréquenter des chancelleries étrangères ainsi que leurs personnels...
6) Aucun 2 ème mandat n'est possible.
7) En cas de conflit d'intérêts, la révocation est immédiate.
8) Pas d'immunité
9) une pétition de 10000 personnes suffit pour révoquer un député .
10) pas de passeports diplomatiques sauf en cas de mission temporaire à l'étranger ,une mission validée par les autorités. Les passeports doivent être remis immédiatement aux autorités dès le retour de la mission.
Sinon ses femmes peuvent continuer à aboyer.... elles ne représentent jamais les femmes tunisiennes.
Tawa, comme ils voient que Kaies Saied ne cache plus, petit à petit, les sales "projets" pour notre pays, l'alarme retenti dans leur tête, et ils commencent à se reveiller.
Winha l'Association Tunisienne des Femmes Democrates?

