
Depuis ce matin, de nombreux citoyens tunisiens ont reçu un SMS envoyé, ce lundi 28 avril 2025, par l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), expliquant ce que signifie le retrait de confiance à un membre d’un conseil élu. Le message est accompagné d’un lien dirigeant vers une note explicative publiée par l’instance. Officiellement, l’opération s’inscrit dans une démarche de sensibilisation civique.
Cependant, cette communication massive intervient dans un contexte politique particulièrement tendu. Elle coïncide en effet avec le dépôt d’une proposition de loi controversée — récemment retirée — concernant la Cour constitutionnelle. Cinq députés ont d’ailleurs refusé de retirer leurs signatures du projet, marquant ainsi leur désaccord avec la ligne dominante.
Par ailleurs, plusieurs députés ont participé à la manifestation organisée vendredi dernier à Tunis en soutien à Ahmed Souab et afin de défendre les libertés menacées dans le pays. Une présence remarquée, perçue par certains observateurs comme un acte de défiance envers les autorités.
Dans ce climat de crispation, une question se pose : l’Isie, qui se dit neutre, participe-t-elle, volontairement ou non, à une opération de communication politique visant à rappeler aux élus les risques d’indiscipline ? Ce SMS, au-delà de son apparente neutralité, vise-t-il à préparer le terrain à des procédures de retrait de mandat contre des parlementaires récalcitrants ?
S.H
Un seul message restant et bientôt le dernier : " PAR ISIE LA SORTIE VERS LA REDDITION SALEE DES KOMPTES ! "
SALIM
IL FAUT REVOQUER CES 10 'députés'
a posté le 24-04-2025 à 17:06
Ces 10 'députés' ONT GLISSé TEXTO (copier coller) l'article 88 de la constitution ABROGée de 2014 (régime parlementaire), qui évoque les modalités de la 'REVOCATION' du PRESIDENT , dans 'leurs' 'proposition' (article 65 de leur 'proposition').
Je ne sais pas si on doit considererer ça, UNE IGNORANCE (constitutionelle), ou une non reconnaissance DE LA CONSTITUTION.
COMMENT CES 'députés' ONT PU GLISSER UN ARTICLE DE LA CONSTITUTION DE 2014, qui parle de la 'révocation' du PRESIDENT , ALORS QUE LA REVOCATION DU PRESIDENT N'EXISTE PAS DANS LA CONSTITUTION DE 2022 EN VIGUEUR (REGIME PRESIDENTIEL) , QUI NE COMPREND QUE LA DEMISSION OU L'EMPECHEMENT MAJEUR, et JAMAIS LA REVOCATION. COMMENT ces 'députés' REFLECHISSENT ILS ?.
ET SUR L'ARTICLE DE BN :Le conseil local d'El Omrane supérieur sollicite l'autorisation d'une manifestation de soutien à Kaïs Saïed BN 22/04/2025 | 17:03
SALIM
NI L'ARP NI LA COUR CONSTITUTIONNELLE NE POURRAIT INQUIETER LE PRESIDENT ET VOICI POURQUOI.
a posté le 22-04-2025 à 18:54
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6-Il y a une minorité de députés qui PECHENT DANS LES EAUX TROUBLES (ceux qui ont parrainné MAGHZAOUI, ZNAIDI, entre autres).Mais ils seraient revoqués.
Elle a donc le pouvoir de bloquer un gouvernement ou chef d'état qui ne respecterait pas le Droit...


