
« Thinking outside the box » ou tout simplement « out of the box » n’est pas un concept nouveau. Il existe depuis les années soixante dans le monde des affaires et du marketing. Il continue d’ailleurs à être un concept très apprécié au sein des entreprises aujourd’hui. Mieux encore, le concept « out of the box » s’est disséminé et répandu dans d’autres secteurs d’activités où la concurrence est rude et où il faut multiplier d’intelligence et d’ingéniosité pour se faire une place au soleil.
La politique est l’un de ces secteurs qui ont réussi à adapter ce concept mercantile à sa démarche et à ses stratégies qui visent à toucher le plus grand nombre de citoyens. Mais pas partout toutefois. Ceci n’est vrai que dans les pays où la politique s’exerce dans un environnement démocratique et se plie aux exigences de la pluralité, de la concurrence et de l’alternance.
En Tunisie, on a commencé dés l’apparition des premiers signes de l’essoufflement de la transition démocratique à parler de la nécessité de sortir des sentiers battus, réfléchir autrement, appréhender les problèmes d’une manière différente, chercher des solutions innovantes, s’ouvrir des perspectives inconnues pour aller vers des horizons nouveaux. Ce discours était très séduisant et a vite été adopté par les ténors de la classe politique tunisienne qui a montré encore une fois que même sclérosée, elle garde intacts ses dons d’opportunisme.
Du coup, ce discours pourtant attractif, commençait à sonner faux de la bouche de grands militants certes, mais qui n’ont jamais réussi autre chose que résister à la tyrannie et montré une incapacité flagrante à se renouveler. Les Tunisiens, surtout les jeunes, ces véritables acteurs de la révolution, ont vite fait de tourner le dos à ce discours, pas parce qu’ils n’y croient pas, mais parce qu’ils ne croient plus ses locuteurs.
Quelques jeunes ont pourtant essayé de braver les obstacles et apporter un souffle nouveau, une vision nouvelle et une autre manière de vivre. Une nouvelle musique a vu le jour, de nouvelles expressions artistiques ont éclos, les murs de la ville ont pris de la couleur et les manifestations sont devenues de véritables spectacles d’animation. Mais ces jeunes ont été malheureusement snobés, jalousés et combattus par une société conservatrice et faussement religieuse, un establishment archaïque et rétrograde ainsi qu’un pouvoir de plus en plus autoritaire et tyrannique. Ils ont fini par abdiquer. Certains sont partis pour des cieux où être libre n’est pas un comportement séditieux. Les autres sont guettés par l’implacable décret 54 quand ils ne sont pas déjà en prison.
Le projet de Loi de finances pour l’année prochaine remis il y a quelques jours par le gouvernement au parlement pour adoption, est un exemple de conformisme, de refus de l’innovation et de recherche de nouvelles solutions à des problèmes anciens et structurels de l’économie nationale. Au niveau de son plan adopté et de sa structure générale, ce projet de Loi de finances, s’il devait passer devant un jury et non pas devant un parlement de connivence, aurait été refusé pour plagiat sur les lois de finances des années précédentes. La logique qui semble animer cette Loi de finances est pourquoi aller chercher de nouveaux moyens d’augmenter les ressources de l’État quand on peut encore saigner ceux qui sont sous la main ? Effectivement, les mesures consignées dans cette Loi de finances consistent à rafler encore plus dans les poches des salariés et à racler davantage dans les caisses des entreprises qui ont choisi d’exercer leurs activités d’une manière transparente et légale. Au passage on aurait pompé toute la liquidité du pays à travers les banques. Quand bien même cela ne suffit pas, il y aura toujours des députés « sadiqoun » pour voter une loi à la carte permettant de mettre la main sur le trésor de la Banque centrale.
En bref, alors que le monde prospecte les limites de l’intelligence, artificielle ou pas, nous campons sur nos idées désuètes et continuons à manger allègrement notre pain rassis.


de plus, la poste suisse va supprimer 7 bureaux /10.
chez vous, pléthore de fonctionnaires, qui font semblant de travailler, à qui on verse un semblant de salaire.
GROW UP !!
Rien ne vaut un belle carte ou lettre manuscrite ...
Un e-mail ... ? => aucun charme à le recevoir ...
Les émoticônes ? ... bof ...
Une carte ou une lettre, vous pouvez ladécorer à votre guise ; la parfumer, y joindre fleurs et feuilles séchées au papier-buvard ... ya hasra ...
Un e-mail ?
C'est artificiel.
...
Et, de plus, n'oubliez jamais que la Poste fut - un certain temps - l'un des principaux employeurs du pays.
...
C'est ça. Supprimez tout.
=> Et après il y en a qui se demandent pourquoi y a t-il autant de chômage de nos jours ...
...
La réponse est là : => N'informatisez et n'automatisez pas tout.
...
Vous voulez du rendement ?
=> IL suffit de bien traiter et de rémunérer correctement les employés.
Les taux d'Intérêt trop élevé sont responsables d'au moins 30% du coût des dettes (publique et privées).
Le Maroc qui a les mêmes conditions économiques que la Tunisie (climat, importation de l'énergie, partenaires économiques, ...) a un taux d'intérêt directeur de 2,75% , la BCT maintien un taux de 8%. Une différence 5,25% sur 10 ans augment le coût de la dette de 30%. Donc la BCT a impose des coûts supplémentaires d'au moins 20 milliards de dinars aux contribuables durant la dernière décennie.
Des taux trop élevés décourage l'investissement.
Une R'?SILIENCE aux malfaisants !
Le pays s'en sortira IN CHAA ALLAH, les défaillants seront couverts d'opprobres et de mépris, comme ces collaborateurs aux crânes rasés.
Comme en 14 ! ! !
Réponse amère : ils sont trop nembreux (par rapport aux riches)
Règles ancestrales
=> Peut-être que si les proches de la coiffeuse de ce faible de Zaba (qui a laissé faire) n'auraient pas faits main-basse sur les réserves des deniers de l'Etat, nous n'en serions pas là, à chercher comment renflouer ces caisses, victimes d'énormes vols.
...
Et puis, après tout, notre Nation est bien "en voie de développement".
=> IL est donc normal que nous ayons un besoin accru en liquidités.
...
"...à parler de la nécessité de sortir des sentiers battus, réfléchir autrement, appréhender les problèmes d'une manière différente, ..."
... vous dites ... ?
=> Que le citoyen commence tout d'abord à faire lui-même preuve de civisme.
Parler de "démocragie" sans avoir le "civisme" est chose impossible.
ILs vont de paire.
...
Si vous n'y voyer objection, j'aimerais bien vous poser une simple question, monsieur Sofiène :
=> Sincèrement, en vous promenant dehors et en regardant attentivement tout autour de vous, trouvez-vous que le civisme citoyen est présent ?
=> C'est pourtant la clé de tout peuple qui se respecte.
Tunisie parceque toute simplement sont D origine d Ben Ghaza Libyen et pour cette raison cette femme est très vivante et honnête dans le savoir faire elle avait hérité de son Tribue de Ben Ghazi car les Egyptiens témoignent que les femmes de Ben Ghazi sont les plus charmantes de la région leurs traditions et leurs relations sont celles recommandés par la religieux Islamique la fidélité avec leurs maris par le excellence c est honte de pratiquer la ségrégation envers cette famille Tunisienne D origine Libyenne mais hélas les Libyens non jamais détester les Tunisiens ils sont les bienvenus là bas les mieux préféré dans les emplois.
... à la "coiffeuse" aux mains molles et moites ... ?
De deux ; soit vous la couvrez, soit vous ne la connaissez pas.
J'opte pour la première solution.
=> Le respect, cela ce mérite.
Ce n'est point un dû.
Une personne ne respectant pas les autres et / ou, ne se respectant pas soi-même, ne sera jamais respectée.
...
Selon vous, pourquoi tout ces chefs d'accusations ... ?
Pourquoi fuit-elle ... si elle a la conscience tranquille ... ?
...
Vous auriez bien noté que j'ai bien mis "coiffeuse" entre guillemets ...
=> Vous savez bien pourquoi ... n'est-ce pas ... ?
C est un massacre en bonne et due forme un crime contre notre Nation
Notre jeunesse des années 70 et 80 fut une jeunesse magnifique extrêmement prometteuse
A part ceux qui se sont fait une place en Europe et en Amérique du Nord cette jeunesse a été sacrifiée a partir des années 90 et ce de manière particulièrement cynique lâche et criminelle
Ce crime contre la Nation a continué après le vrai faux 14 janvier
Mais aujourd'hui en 2025 la continuité de ce massacre ignoble revient al annihilation de la Tunisie au cours de la prochaine génération
Toutes les données psychosociales le démontrent sans équivoque
Ces données sont d ailleurs en général soigneusement dissimulées a l opinion publique
Pour paraphraser La Tour du Pin : un pays sans jeunesse heureuse est condamné a mourir de froid
Et nous tous nés avant 1985 sommes responsables de ce massacre lâche et suicidaire
Mais en meme tps , a qui la faute ?
Quand certain pays manifestent , se mettent greve , gilet jaune ...notre population se contente de dire hamdoullah tant que j ai du pain et un toit .
Le pire c est l ugtt , les seules qui manifestent alors que c est cette caste qui a la garanti de l emploi et l emploi de 500 000 collègues entre ben ali et maintenant.
Donc cette caste et ce syndicat ne sait pas battu pour la tunisie mais pour l interet propre , un ogre gloutant qui a mangé toutes les ressources de l etat jusqu a detruire celui qui le nourrissait.
Meme les agences de notations ont validité la passivité de ce peuple .
Mabrouk a tout les politiques et mabrouk aux moutons incultes .
Les gens éveillés sont partis cherchent a ne pas tout declarer ou poussent leurs enfants a partir .
Les traitres sont peut etre au pouvoir depuis la chute de ben ali une famille de voleur qui a laisser les centaines de milliers de voleur prendre sa place
Mais encore, si on pouvait transformer en vents, tous les racontars de ces conteurs, en les dirigeant vers des éoliennes, la Tunisie parviendrait instantanément à son indépendance énergétique, pour l'éternité.
Continuez à dormir et continuez à dire amine à tous ceux qui alimentent votre inculture et votre ignorance.
Pauvres de vous.
Aux générations futures de se débrouiller
Et quant à notre jeunesse et bien ce seront soit de futurs affidés a la nouvelle nomenklatura soit des nuisibles a éliminer