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Tunisie - Khalil Zaouia quitte le plateau de Nessma en protestation… Rafik Abdessalem s'incruste (vidéo)

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Le ministre des Affaires sociales Khalil Zaouia a quitté, vendredi soir 26 juillet 2013, le plateau de Nessma Tv en protestation contre les propos du porte-parole du Parti des travailleurs, Jilani Hammami qui disait qu’ils ne veulent pas que les meurtriers Mohamed Brahmi assistent à ses funérailles.
M. Zaouia a considéré ses paroles comme étant des accusations directes au gouvernement pour la responsabilité dans le meurtre du défunt Brahmi, sachant que la famille avait expressément demandé que les officiels ne participent pas (les membres du gouvernement et de la Présidence, les députés de la Troïka).
«Ces propos sont irrationnels et irresponsables. Je considère que ce sont des accusations directes au gouvernement. Ce sont des provocations et vous devrez en assumer la responsabilité !», s’est indigné M. Zaouia.
M. Hammami a rétorqué, pour sa part, qu’il assume ce qu’il a déclaré et qu’il n’a pas peur, ajoutant : «Si tu peux faire quelque chose vas-y».
«Le gouvernement est responsable de ce qui s’est passé politiquement et moralement, car il a incité à la violence et à la haine», a-t-il souligné, précisant «on est sûre qu’il y aura d’autres meurtres».
On note que pendant tout ce temps, l’ancien ministre des Affaires étrangères, Rafik Abdessalem, était présent sur le plateau et n’a réagit qu’en déclarant : «on n’est pas des meurtriers !». Il paraissait même, à certain moment, amusé par l’échange verbal entre les deux.
M. Zaouia a considéré ses paroles comme étant des accusations directes au gouvernement pour la responsabilité dans le meurtre du défunt Brahmi, sachant que la famille avait expressément demandé que les officiels ne participent pas (les membres du gouvernement et de la Présidence, les députés de la Troïka).
«Ces propos sont irrationnels et irresponsables. Je considère que ce sont des accusations directes au gouvernement. Ce sont des provocations et vous devrez en assumer la responsabilité !», s’est indigné M. Zaouia.
M. Hammami a rétorqué, pour sa part, qu’il assume ce qu’il a déclaré et qu’il n’a pas peur, ajoutant : «Si tu peux faire quelque chose vas-y».
«Le gouvernement est responsable de ce qui s’est passé politiquement et moralement, car il a incité à la violence et à la haine», a-t-il souligné, précisant «on est sûre qu’il y aura d’autres meurtres».
On note que pendant tout ce temps, l’ancien ministre des Affaires étrangères, Rafik Abdessalem, était présent sur le plateau et n’a réagit qu’en déclarant : «on n’est pas des meurtriers !». Il paraissait même, à certain moment, amusé par l’échange verbal entre les deux.
I.N
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