
« L’UGTT est restée une haute montagne qui n'a pas été ébranlée par des vents violents et qui reste bâtie sur des valeurs et des constantes », a affirmé, mercredi 5 octobre 2022, le secrétaire général de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, lors d’un discours prononcé à l’ouverture du congrès régional de l’Union régionale de travail de La Manouba.
Selon Taboubi, l’organisation représente la profondeur de la démocratie en Tunisie. « Nous ne sommes pas une organisation professionnelle comme ils veulent nous cataloguer, nous sommes plus que cela ! », a-t-il martelé.
Il a, dans ce sens, souligné « le rôle historique de la centrale syndicale dans l’instauration de la démocratie dans notre pays et qui s’est reflété dans sa position suite aux événements du 25 juillet 2021 ».
« Notre position était claire depuis le 26 juillet 2021. Nous avons bien spécifié que nous n'étions pas avec les personnes et que nous ne signons des chèques en blanc à personne. Nous défendons des principes de base et nous sommes avec le peuple », a martelé M. Taboubi.
Le syndicaliste a profité de l’occasion pour mettre en avant « les diverses tentatives des gouvernements qui se sont succédé pour affaiblir l’organisation syndicale », en rappelant dans ce cadre les campagnes de diabolisation et de diffamation subies. Et de soutenir que le syndicat est visé de l’intérieur et aussi de l’extérieur à cause de ses positions.
I.N
P.S.:
Pour ce qui est de la situation du pays, à chacun ses cachotteries ! Et concernant son avenir, à chacun son blablabla !
Assez moqués du peuple tunisien pour parvenir à mener la vie de château à la barbe des tunisiens .
Il n'y a plus escrocs que nahdha que ces incultes et incompétents dénués de formation culturelle et professionnelle
Ces lâches : la société civile , les intellos et les journalistes le regardent faire sans broncher et le peuple reste inerte comme à son habitude attendant que le salut lui tombe du ciel
Si j'avais été à la place des autorités, beaucoup trop complaisantes à votre égard, j'aurais fait tout simplement comme Bourguiba, c'est à dire mis en taule tous les dirigeants du syndicat au moindre frémissement et traduit ce beau monde devant la cour de sûreté de l'état.
Ni plus, ni moins.
Mais depuis Bourguiba aucun dirigeant n'a évalué votre inutilité et frein au développement du pays.
Si on vient de découvrir des liasses de billets de banque dans les coffres d'un syndicat dernièrement, qu'est-ce que ça doit être chez vous, sans doute, au bas mot, l'équivalent de la réserve fédérale des '?tats-Unis...