
Le président de la République, Kaïs Saïed a reçu, lundi 8 mai 2023, le président du Conseil supérieur provisoire de la magistrature (CSM), Moncef Kchaou.
Selon un communiqué de la présidence, la réunion a notamment porté sur le rôle assigné aux juges « à ce stade de l'histoire de la Tunisie dans la lutte contre la corruption et la poursuite des corrompus ».
Le chef de l’Etat a ainsi souligné que « les procédures ont été mises en place afin de garantir des procès équitables et non pas pour consacrer l’impunité ». Kaïs Saïed a indiqué qu’il était inacceptable que plusieurs affaires restent pendantes durant des années sans verdict définitif. Il a de ce fait critiqué la lenteur du temps judiciaire, notamment les expertises qui mettent des années à être préparées. Surviennent après les recours contre ces expertises et la procédure reprend depuis le début pendant encore des années : « les droits se perdent et ceux qui ont nui au peuple et à la nation échappent à la reddition des comptes », précise le communiqué.
En définitive, le président a assuré que rien ne peut se faire sans une justice indépendante, efficace et équitable pour tous.
I.L


Et puis ce meme dictateur intervient et donne des ordres et des directive a ceux ci pour condamber et mettre au frigo des innocents et viens nous baratiner qu'il agit au nom du peuple MDR
L'accès aux droits, la capacité à organiser et réaliser sa défense ne peut entrer dans les faits que s'il y a en amont les moyens permettant à ceux qui en ont besoin l'assistance utile et la puissance d'agir à la hauteur des nécessités.
Donc, la mise en place d'une assistance judiciaire pour les démunis, des conseils probes et engagés à les défendre contre une rétribution sur les deniers publics afin que soit disposée une relative egalite de dignité et de traitement des citoyens.
Nous voyons trop souvent, des gens user et abuser des ruses, procédures dilatoires, moyens coûteux mais permettant de se protéger, et même de se jouer des lois. Surtout des gens qui croient en une juste juste.
Ainsi, celui qui a de l'argent peut s'assurer les services des conseils les plus avisés, les avocats réputés et qui ont des accointances, et parvient grâce à tout cela à gagner ou à rendre la sentence plus douce.
Au regard de cela et d'autres usages, criminaliser le chèque sans provision est une sottise, même si nous avons le plus grand respect pour les biens et que l'argent est roi.
Le fichage, les négligences, viennent pénaliser les petits, ceux n'ayant pas les relations idoines pour contourner cette surveillance attentat pire aux libertés.
Cette femme nous offre un exemple de ce qui attend tout quidam au moindre écart.
Pour le reste, elle est réputée libre et égale de tout citoyen.
Son corps est son bien propre, elle a loisir d'en jouir et de le "façonner" au goût du jour, puisqu'il est une marchandise comme une autre dans l'esprit du temps.
S'il y a à flétrir quelque chose, ce serait la marchandisation générale, y compris du corps humain.
Les esprits sont esclaves depuis belle lurette.
Qui est tenté de le regretter, lui revient la responsabilité de combattre ce mal au prix d'un combat permanent pour soi... Et pour la société.
LIBERTE aux prisonnier.e.s politiques et d opinions !



