
Les informations sur l’accord entre la Tunisie et l'Europe dans ce domaine ne nous parviennent qu’à travers les médias étrangers, comme si nous étions des sujets ignares qui ne méritaient pas d'ouvrir le débat public sur notre sort.
Nous ne comprenons pas ce qu’est la vision économique du président de la République.
Nous ne voyons aucune efficacité aux idées idéalistes qu'il a avancées au sujet des entreprises communautaires et autres.
Nous ne comprenons pas le motif de son rejet de l’accord Open Sky alors qu’il s'agit d'une expérience réussie qui peut développer l'économie et l'investissement.
Nous ne voyons pas de ‘système de compensations aux plus méritants’, mais plutôt des subventions levées en pratique.
Nous ne voyons ni démantèlement de l’économie de rente ni libéralisation de l'économie.
Nous ne voyons ni réforme du secteur public, ni restructuration des entreprises qui épuisent les ressources de l'État.
Nous ne voyons pas de réforme au port de Radès, l'un des obstacles majeurs qui freinent le développement des investissements tunisiens à l'étranger.
Nous ne voyons pas de révision du Code des changes
Nous ne voyons pas d’intérêt pour la situation environnementale, plutôt une incapacité même à mettre en œuvre l'interdiction des sacs en plastique.
Nous voyons des gouvernorats sans gouverneurs et des ambassades sans ambassadeurs.
Nous voyons le deuxième plus grand gouvernorat du pays ; Sfax, sans gouverneur, livré à lui-même face à tous ses problèmes ; le flux migratoire provenant des frontières du plus grand voisin, principalement.
Nous voyons des opposants pacifiques accusés de complot et déférés en vertu de la loi antiterroriste.
Nous assistons des restrictions au plus important acquis de la révolution de la dignité ; la liberté d'expression, en vertu d’un décret anticonstitutionnel.
Nous voyons une cheffe de gouvernement qui ne parle même pas en dialecte tunisien, que nous connaissons à peine, que nous ne voyons que silencieuse courbant la tête devant le maître qui a rassemblé tous les pouvoirs.
On nous disait quand nous étions à l’école que ‘la politique est l'art de convaincre’. Y a-t-il de la politique dans le pays ?
La Tunisie, n'est-elle pas un bateau dérouté sans capitaine ?
Ce pays, qui regorge de compétences, ne mérite-t-il pas un gouvernement plus efficace et plus compétent ?
Il est temps qu’on réponde de ses actes. (…) ».
N.J

Ils vont tous devenir fous si ce n'est pas déjà le cas !!
Une fois de plus, la médiocrité revient à la charge.
Cette fois-ci, la Raja nous étale ses comptes d'apothicaires pour impressionner la galerie orpheline des ignares, du cheikh et de ses hommes de main, embastillés depuis un petit moment et inch'Allah pour très très longtemps.
Une chose est certaine pour tous ces prétentieux errants : ils ne mourront certainement pas, étouffés par leur modestie.
éttfouh
10/09/2019 | 10:06 écrit par M.B.Z (TEXTO)
'L'universitaire Raja Ben Slama a annoncé, ce mardi 10 septembre 2019, son soutien au candidat de Tahya Tounes à la présidentielle, Youssef Chahed.'
Certains montraient fièrement les CV de leurs ministres pour un résultat qu'on connait tous.
Si vous en avez marre agissez pour que ça change !!
Et la suite du récitatif ne fait que renforcer le constat.
Pourtant, si l'on en croit notre universitaire, le pays regorge de "compétences", une sublime notion qui ne veut rien dire.
Où c'est un appel du pied en faveur de sa candidature, ce qui compte tenu du bilan par elle montré, la qualifie pour sortir le pays du "rien".
En réalité, il s'agit du énième réquisitoire sans la moindre proposition.
Parce qu'en pratique lorsqu'on affiche son titre d'universitaire, on doit tenir un discours dont la forme comme le contenu sont en cohérence avec l'autorité dont on réfère.
Un bilan nuancé, s'appuyant sur les faits, et au moins une synthèse conclusive.
Ici, nous avons affaire à un registre politicien légitime, certes, sous condition de se dire tel et revendiqué.
La Tunisie regorge de compétences mais il lui manque la partition et celui qui les mets au diapason pour la bonne marche du pays, voilà le sens inaccessible aux étourdis qui adorent dans la cacophonie du pouvoir le vacarme du chaos.
Madame Ben Slama met ce pouvoir devant ses responsabilités qu'il a du mal à assumer.
Des gens de ton espèce qui fabriquent l'ennemi tant ils sont sûrs de tenir le vrai dans cette affaire, le réel étant dessiné par leurs soins.
Ce n'est pas une analyse, encore moins une thèse dûment présentée, mais tout juste une présentation faussée par le parti-pris, l'ignorance du contexte, l'absence de prise en compte des parties en présence et les actes des uns et des autres.
Comme elle instruit un procès qui conforte les petites "thèses" conformes au goût du jour chez les suffisants, cela réjouit les cons et les autorisent à traiter autrui de "étourdi".
Alors, connard, je te dis merde.
'? toi, et tous ceux qui comme toi croient en savoir des choses.
Plus haut que tu prétends te hausser, tu seras toujours trop bas pour te mesurer à moi.
Il te reste beaucoup de chemin, petite.
Merci d'avoir recadré, la mauvaise graine, une meute dopportunistes, l'étau se resserre, ils se tortillent, pour trouver une issue, sous prétexte de privation de liberté d'expression, la preuve, ces journaux d'opposition, aucun n'est à l'ombre.
Des malfaisants, qui ont perdus toutes logiques, ils se manifestent pour une éventuelle amnistie.
Merci de leurs avoir dit les quatres vérités, ils s'en lasseront tôt ou tard.
Bien à vous.
"petite", je crois savoir que
@ Zarzoumia est un garçon cf. le titre de votre propre retour. A moins que l'assigner à une quelconque féminité fantasmée ne soit, dans votre esprit, réducteur et humiliant.
Vous êtes trop fort, et faisant nombre vous multipliez votre croire en cela.
Je ne suis pas supporter de Kais Saied, mais de lire répétitivement cette hargne venue de gens qui n'avaient pas cette rectitude et ce courage face au pire me renforce dans ma volonté de vous toiser.
Tant de fausse vertu, de prétention à incarner le juste la démocratie plein la bouche me fait penser à de l'opportunisme.
Jusqu'aux soutiens des islamistes qui font chorus dans cet assemblage et y ajoutent ce qu'il convient d'appeler une nausée.
Cessez de voys prendre pour la mesure de tout.
Et avancez des arguments basés sur les faits, cela pourrait favoriser le débat.
Vous défendez les agents des islamistes, ceux qui appelaient à former un gouvernement provisoire.
'?a a de la gueule.
Mais, ça fait pschitt.
Vous ne me trouverez jamais en compagnie des terroristes, leurs inspirateurs, les voleurs, les pires ennemis de ma culture ayant fait de l'islam une honte.
Pas davantage avec ceux qui prennent les femmes pour objet de leurs folies, fantasmes ou perversions.
Ce sont des arguments factuels.
Il ne suffit pas de se déclarer démocrate, on s'expose à devoir le montrer dans les actes.
Toute cette camarilla de vertueux n'impressionne que les couards, ou ceux sans colonne vertébrale.
Petit lecteur.
En tout état de cause, ce n'est certes pas grâce aux tunisiens que j'ai vécu, étudié et travaillé, mais dans l'exil que j'ai nourri mon expérience tout en demeurant fidèle à mes origines glanant chez les autres ce qui est de nature à me grandir.
Donc, pas de nostalgie, pas de ranc'?ur, et pas davantage ce qui est le pire, le renoncement à ce qui m'a été transmis.
Je respecte tout le monde, toutes les cultures, mais refuse de plier face aux diktats des suffisants.
Comme vous, en quelque sorte qui voulez suggérer une sur te de vacuité née de votre seule imaginaire.
Je ne parle au nom de qui que ce soit, pas le fidèle ou la groupie d'aucun, mais je délibère à partir des faits.
J'ai mes préférences, mes options politiques.
L'une d'elles, consiste respecter les femmes.
Donc, si vous en êtes, Gardez-vous de me manquer de respect.
Et puis, de quelle autorité vous vous prévalez pour me faire la leçon ?
Je n'ai pas de débat avec vous, et prends la liberté d'exprimer mon point de vue.
Je tente de le faire avec des arguments.
Cela vous déplaît ?
Il vous revient de proposer les vôtres.
Sinon, foutez-moi la paix.
Je ne vous ai pas interpellée.
Zarzoumia étant un signifiant, en barbe, pour désigner un animal mâle ou femelle.
Si vous êtes les deux, je dois vous reconnaître ce talent que je n'ai pas.