| 16-03-2017 10:35
Lorsque Ibrahim (3aleyhi essalam) avait demandé des garanties à Dieu pour sa progéniture, disant: "wa min dhourriyati"
Dieu lui répondit: "Lé yénélou 3ahdiya Adhalimoune".
Un père soldat, un gamin bête jusqu'à aller combattre pour la sécurité de l'état hébreux et avec l'argent de ces derniers,. Tout cela, en croyant combattre pour le rayonnement de l'Islam. Ce monsieur ainsi que ses semblables sont la négation même de l'Islam car ils n'ont pas de jugeotes. Il aurait mieux fait d'obéir à son père.
Même chose pour le fils Ayari, un cyber-collabo, fils d'un grand colonel mort dans une embuscade.
À regarder les exemples qui fusent dans les officiers de l'armée tunisienne, la devise "tel père tel fils" devient complètement fausse.
Allah Yihdi. Le jour où ils prendront conscience de l'énormité de leurs actes (ne serait-ce qu'en termes de religion) ils en pleureront le restant de leurs jours.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya,
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Dieu lui répondit: "Lé yénélou 3ahdiya Adhalimoune".
Un père soldat, un gamin bête jusqu'à aller combattre pour la sécurité de l'état hébreux et avec l'argent de ces derniers,. Tout cela, en croyant combattre pour le rayonnement de l'Islam. Ce monsieur ainsi que ses semblables sont la négation même de l'Islam car ils n'ont pas de jugeotes. Il aurait mieux fait d'obéir à son père.
Même chose pour le fils Ayari, un cyber-collabo, fils d'un grand colonel mort dans une embuscade.
À regarder les exemples qui fusent dans les officiers de l'armée tunisienne, la devise "tel père tel fils" devient complètement fausse.
Allah Yihdi. Le jour où ils prendront conscience de l'énormité de leurs actes (ne serait-ce qu'en termes de religion) ils en pleureront le restant de leurs jours.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya,
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
