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Pénurie de carburant : La ministre de l'Industrie explique
10/10/2022 | 10:43
1 min
Pénurie de carburant : La ministre de l'Industrie explique


La ministre de l'Industrie, de l'Énergie et des Mines, Neila Nouira Gongi, est revenue, lundi 10 octobre 2022, sur les perturbations d’approvisionnement en carburant imputant la problématique à la frénésie des consommateurs et aux dérèglements sur le marché international. 
 
 
Intervenant sur Mosaïque FM, elle a affirmé que le problème était « mondial » évoquant, également, des difficultés de réapprovisionnement et de logistique. « En dépit de la situation des finances publiques, l’approvisionnement n’a pas été interrompu mais il y a eu des perturbations vers la fin de la semaine dernière, sur le Grand Tunis et dans le nord du pays, en particulier », a-t-elle déclaré notant que plus de 5.300 m3 de carburant ont été injectés dans la nuit de samedi à dimanche pour le Grand Tunis. 
 
 
Elle a ajouté qu’il y avait eu un décalage entre le rythme de l’approvisionnement des stations de service et la demande des consommateurs. « Entre 10 et 15 heures dimanche, les 550 m3 injectés dans les stations Agil ont été consommés », a-t-elle avancé laissant entendre que la frénésie des citoyens était derrière la rupture des stocks de carburant. 
 
Se voulant, toutefois, rassurante, la ministre a déclaré : « Nous avons trois navires chargés de carburant qui arrivent en Tunisie. Le premier devrait arriver aujourd’hui, le deuxième le 17 du mois courant et le troisième le 28 », a-t-elle précisé notant que chaque navire dispose d’une cargaison de 30.000 tonnes de carburant. 
 
 

N.J. 

 

10/10/2022 | 10:43
1 min
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Commentaires
Ditrapani
Le carburant
a posté le 15-12-2022 à 17:52
Les ministères Leurs réservoir de l'état sont bien remplis sur le dos des citoyens tunisien nous avons un gouvernement d'incapables
Abel Chater
Qu'on imagine même le centième (1/%) de ce que les Tunisiens vivent à présent avec le coup d'Etat de Kaïs Saïed, se passer pendant les onze années, où le parti d'Ennahdha collait aux fenêtres du pouvoir chez Béji Caïd Essebsi ou même, lors deux premières années chez Kaïs Saïed !!!
a posté le 12-10-2022 à 14:51
Malgré toute cette longue période macabre, de misère et de faillite de l'Etat putschiste de Kaïs Saïed, je constate un comportement louchement irresponsable, jusqu'à maladivement incompréhensible, du côté de ceux qui ont menti le long des onze (11) merveilleuses années de liberté et d'aisance post-révolutions du 14 janvier 2011, les ayant transformées en leur propre «décennie noire». Ils osent encore s'amuser sur les cadavres des Tunisiens par leur humour sépulcral.
« Mèn kènè fi Niimèh wèlèm yèchkor, kharajè minhè wèlèm yèchoôr » ou (celui qui trahit la Faveur d'Allah, finit par s'en sortir sans la ressentir).
La Tunisie et les Tunisiens ont vécu les meilleures onze (11) années «2011-2021», de toute leur histoire millénaire. Onze années de liberté et d'aisance, durant l'unique transition démocratique après l'unique réussite de leur Révolution du 14 janvier 2011, dont nous pleurent jusqu'à aujourd'hui, tous les déchus des dictateurs en Tunisie, comme partout chez les dictateurs arabes ennemis de la démocratie et des Révolutions dans les pays arabes. Onze longues années qu'ils crient et qu'ils hurlent sans cesse et sans trêve, par leur habituelle «Nawèha» autour de leur propre «décennie noire».
Maintenant que la magie se retourne contre les magiciens. Que tout manque depuis le sucre jusqu'à l'essence. Que les journalistes et les blogueurs sont emprisonnés. Que le parlement ARP est fermé par des tanks militaires. Que l'ISIE est devenue «ZIZI». Que le chef du gouvernement se transforme en «Secrétaire de direction». Que la République tunisienne se transforme en «Jamahiriya libyenne». Qu'il n'y a plus ni d'Etat, ni d'argent, ni de plans, ni de peuple et ni de dirigeants, d'aucuns de ces hyènes et de ces chacals ennemis de la Révolution tunisienne et de sa transition démocratique en Tunisie, hormis la Zalèma moussi, n'ose encore mentir contre le parti d'Ennahdha. Ils n'évoquent plus ni leur passé charbonneux, ni leur présent désastreux, ni leur futur obscur et sombre. Tu ne les entends dire, que:«attendons, attendons et encore mille fois attendons»!!!
Les corbeaux de malheur, qui nous croassaient leur «décennie noire» depuis la réussite de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011, se transforment maintenant, en des «affamés heureux, compréhensifs et tolérants».
Allah yomhil wèlè yohmil.
Abel Chater
« Mèn kènè fi Niimèh wèlèm yèchkor, kharajè minhè wèlèm yèchoôr » ou (celui qui trahit la Faveur d'Allah, finit par s'en sortir sans la ressentir).
a posté le 11-10-2022 à 21:34
La Tunisie et les Tunisiens ont vécu les meilleures onze (11) années «2011-2021», de toute leur histoire millénaire. Onze années de liberté et d'aisance, durant l'unique transition démocratique après l'unique réussite de leur Révolution du 14 janvier 2011, dont nous pleurent jusqu'à aujourd'hui, tous les déchus des dictateurs en Tunisie, comme partout chez les dictateurs arabes ennemis de la démocratie et des Révolutions dans les pays arabes. Onze longues années qu'ils crient et qu'ils hurlent sans cesse et sans trêve, par leur habituelle «Nawèha» autour de leur propre «décennie noire».
Maintenant que la magie se retourne contre les magiciens. Que tout manque depuis le sucre jusqu'à l'essence. Que les journalistes et les blogueurs sont emprisonnés. Que le parlement ARP est fermé par des tanks militaires. Que l'ISIE est devenue «ZIZI». Que le chef du gouvernement se transforme en «Secrétaire de direction». Que la République tunisienne se transforme en «Jamahiriya libyenne». Qu'il n'y a plus ni d'Etat, ni d'argent, ni de plans, ni de peuple et ni de dirigeants, d'aucuns de ces hyènes et de ces chacals ennemis de la Révolution tunisienne et de sa transition démocratique en Tunisie, hormis la Zalèma moussi, n'ose encore mentir contre le parti d'Ennahdha. Ils n'évoquent plus ni leur passé charbonneux, ni leur présent désastreux, ni leur futur obscur et sombre. Tu ne les entends dire, que:«attendons, attendons et encore mille fois attendons»!!!
Les corbeaux de malheur, qui nous croassaient leur «décennie noire» depuis la réussite de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011, se transforment maintenant, en des «affamés heureux, compréhensifs et tolérants».
Allah yomhil wèlè yohmil.
Agatacriztiz
Se préparer à la pagaille
a posté le 10-10-2022 à 12:56
Comme le problème de l'approvisionnement de divers carburants devient récurrent, on imagine aisément les conséquences que ces désagréments, quelles que soient leurs causes, peuvent avoir dans la production d'électricité à partir de nos centrales thermiques.
On devrait se poser sérieusement la question si on venait à manquer des combustibles nécessaires à produire de l'électricité à partir de ces mêmes centrales.
Or, à titre de prévention, et ces jours-ci, une panne générale d'électricité à été sérieusement envisagée en Autriche.
L'armée et les communes se sont mobilisées et une grande chaîne de supermarchés a même préparé son personnel à d'éventuels désordres et pillages.
Comment gérer une population non préparée, qui se retrouverait rapidement à court de vivres ?
En effet, si il y a un black-out, les supermarchés, supérettes et épiciers vont faire en sorte de vendre tous les aliments périssables notamment ceux qui sont dans des frigos ou des armoires réfrigérées.
Sans électricité, il n'y a en effet pas de caisses non plus ni de système de refroidissement, donc, au lieu que les produits ne s'abîment, on sera obligés de les distribuer.
Si la population est préparée, informée, et sait quoi faire sans avoir à piétiner les autres, on peut éviter la panique.
Il faut également assurer la continuité des services de police, notamment de la circulation (car il n'y a plus de feux de signalisation ni d'éclairage), de lutte contre l'incendie, des hôpitaux et des centres de premiers secours qui n'ont pas de générateurs d'appoint en cas de pannes.
Alors au lieu de discutailler à droite et à gauche de foutaises en cherchant à nous expliquer pourquoi le pays manque de carburants, de sucre, d'huile à frire ou je ne sais pas quoi autre, notre armée, la garde nationale et la police devraient prendre graine de ce que font leurs homologues autrichiens et faire une vaste "opération blanche" dans une grande ville du pays pour définir le type de décisions à prendre au profit de l'ensemble de la population pour qu'elle puisse s'organiser face aux conséquences d'un black out qui pourrait durer.
Parce qu'à ce rythme de "couacs" d'approvisionnements en tous genres et d'explications aussi oiseuses les unes que les autres, je n'ose pas imaginer les tonnes de conneries que nous devront entendre en cas de bordel généralisé dû aux pannes ou pénuries générales et de longue durée.
Carthage Libre
Les "explicateurs" de Kaies Saied (moudawinines)...une propagande à la Goebels Nazie.
a posté le 10-10-2022 à 12:00
Un Etat dictatorial, pour "endormir" les gens, te sors une armée "d'explicateurs" ; ça va de la ministre, aux "doctour" sur youtube, aux dajala sur les plateaux télé et dans les radios ; des gens qui profitent de l'argent public, pour louer les gloires de leur Président-Dictateur, qui n'ont AUCUN soucis avec le mensonge.

Mais, zut alors, certains ex-lavés du cerveau depuis que Kaies Saied est président commencent à se reveiller de leur torpeur comme ceux qui avaient voté Ennahdha et ont compris que c'est un Dajel, qui ne sait même pas communiquer et laisse ça aux "explicateurs" chevronnés pour mieux faire passer la "pillule" mensonge.

Mais ça ne durera pas, t'inkiet.