
Des publications ont circulé sur Facebook affirmant que le Congrès américain aurait émis un communiqué rejetant les résultats des élections en Tunisie. Le post en question mentionne : « Après le refus de l'Union européenne des résultats des élections, le Congrès américain publie un communiqué reconnaissant la fraude électorale en Tunisie et appelle à ne pas reconnaître les résultats. ».
Ces affirmations ont suscité de nombreuses réactions en ligne, alimentant la confusion et renforçant l'idée que des puissances étrangères contestent la légitimité des élections tunisiennes.
Nous avons procédé à plusieurs vérifications pour évaluer la véracité de ces affirmations. Nous avons consulté les communiqués officiels et les déclarations du site de l'Union européenne et nous n’avons trouvé aucune mention d’un refus des résultats des élections en Tunisie. En outre, le bureau de presse de l’Union européenne, contacté directement, a également démenti cette allégation.
Nous avons recherché sur le site officiel du Congrès américain et n’avons trouvé aucune déclaration ou communiqué officiel affirmant que le Congrès aurait rejeté les résultats des élections tunisiennes.
La confusion semble provenir d'une déclaration personnelle du sénateur Chris Murphy, membre du Congrès américain, qui a effectivement publié une critique de l’élection présidentielle tunisienne. Il a dénoncé la manière dont le président Kaïs Saïed aurait, selon lui, affaibli la démocratie en Tunisie et a exprimé ses préoccupations concernant la faible participation électorale.
Toutefois, il est crucial de souligner que cette déclaration représente l’opinion personnelle de Chris Murphy en tant que sénateur, et non une position officielle du Congrès américain.
Aisni, le Congrès américain n'a publié aucun communiqué rejetant les résultats des élections en Tunisie. La déclaration en question provient exclusivement du sénateur Chris Murphy, et ne reflète pas la position officielle des États-Unis ni celle de ses institutions.
*Cet article a été réalisé dans le cadre de la coalition de vérification des élections, dirigée par le Réseau arabe de vérification des informations (AFCN) d'ARIJ et le Réseau africain de vérification des fact-checkers (Africa Check).
R.A.


Il doit certainement s'agir du sénateur corrompu, entre autres, par le traitre Masmoudi, la roue de secours sponsorisé par les frérots, qui nous envoya un drôle de drone bipède, femelle d'à peine quelques centimètres de hauteur, perturber l'atmosphère, déjà électrique du paysage "politique", sans cesse pollué par le débarquement de nouveaux venus, issus de nulle part !!
Sujet déjà connu à l'avance et à cent pour cent inintéressant.
Sans doute que des millions de Tunisiens aujourd'hui remettent en question ce qui se passa en ce pauvre pays le 14 Janvier 2011.
Pour ces millions, l'idée du retour d'un régime autoritaire comme ceux de Bourguiba et de Ben Ali n'est pas une si mauvaise idée.
Il faut dire que les temps ont changé.
Nous sommes à une époque où le drapeau Tunisien est remplacé par celui Turque sur des départements vitaux au fonctionnement du pays ; où des Présidents comme Marzouki ont menacé de poursuites les citoyens qui médiraient quand a son altesse l'émir du Qatar et son épouse Moza ; et où des mises en scènes ubuesques faisaient découvrir des cavernes d'Ali Baba au Palais de Sidi Bou Said avec des liasses de billets en devise Turque comme si Ben Ali avait pris l'habitude de manger des kebab à Istanbul les weekends.
Sans compter des militants comme Siheme BS s'empressant de vouloir changer les couleurs du drapeau Tunisien et l'hymne National qui s'inspira des vers d'Aboul Kacem Chabbi.
Aboul Kacem Chabbi, ce pauvre poète détesté des islamistes parce qu'il respectait les femmes et mort a la fleur de l'âge après avoir passé des années a suffoquer d'une maladie que les médecins ne surent jamais nommer.
Ce soir encore je dévore avec passion et en sirotant mon Johny Walker de couleur rouille, les récits qui relatent les man'?uvres politiques de Bourguiba et ma période favorite est celle qui s'étend des entretiens de Rambouillet jusqu'à la bataille de Bizerte.
Ah si vous saviez ce que je sais !
Je sais par exemple que nous vivons dans un monde cruel et impitoyable dans lequel l'on ne peut faire confiance en personne.
Votre folie fut de confier vos destins et avenirs en des pays comme les Etats Unis ou le Qatar ; où en des individus comme Nicolas Sarkozy ; Où même en ces Tunisiens de l'Europe qui souvent appartiennent à ces organisations de l'ombre qui formattent les esprits afin de renverser les régimes ou même détruire les pays Arabes.
Lorsque Bourguiba se rendit au château de Rambouillet afin de rencontrer le General De Gaulle en compagnie de Behi Ladgham, il découvrit que sur le toit de ce monument historique, le Président Français avait exigé que l'on accroche un drapeau Tunisien. Celui même que Siheme BS veut dessacrer.
Un grand contraste avec les Tunisiens qui récemment ont hissé le drapeau d'Erdogan sur les bâtisses en ruine des chemins de fer Tunisiens.
Quant aux Etats Unis que des pauvres bougres comme l'islamiste Masmoudi venèrent car ils rêvent d'une démocratie islamiste, ce même pays a refusé de condamner les massacres de Bizerte a un moment ou la crise de Berlin faisait de la France un pays indispensable et ou John Kennedy craignait un précédent qui menacerait les bases américaines dans le monde.
Pour Kennedy, la réponse de l'armée Française était nécessaire à une période ou cette base pouvait être annexée à tout moment par Moscou.
Les fantaisies des Américains m'ont toujours laissé perplexe.
Et pour comparer l'incomparable, l'autre Masmoudi est celui qui a préparé avec soins les entretiens de Rambouillet en présence du General De Gaulle, de M. Debré, et de Maurice Couve De Murville.
Rien à voir vraiment avec les lettres de Masmoudi l'islamiste exigeant de Barack Hussein Obama son soutien afin de renverser Ben Ali et d'établir une démocratie islamiste en Tunisie.
Ce soir je dédie cet article a tous les jeunes étudiants Tunisiens qui ont quitté précipitamment l'?cole spéciale militaire de Saint-Cyr en France pour se rendre en Tunisie et tomber sous les balles de l'occupant Français à Bizerte.
Je dédie aussi cet article a Aboul Kacem Chabbi, l'homme qui a osé dire au monde Arabe que sa poésie devait cesser de voir la femme comme un être alléchant sexuellement mais plutôt comme une personne gracieuse, belle, et raffinée.
Que le sacrifice de ces vrais héros et militants ne soit pas vain et que ceux qui ont entaché leur mémoire en mutilant la souveraineté Tunisienne depuis le 14 Janvier 2011 soient un jour punis du plus sévère châtiment.
JOHN WAYNE