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Mohamed Naïm Haj Mansour et Sahbi Amri transférés à la prison d’El Mornaguia
19/09/2018 | 18:45
1 min
Mohamed Naïm Haj Mansour et Sahbi Amri transférés à la prison d’El Mornaguia

Le juge d’instruction au bureau 19 a émis un mandat de dépôt, en ce mercredi 19 septembre 2018, à l’encontre de Mohamed Naïm Haj Mansour, directeur du journal Athawra News, et a décidé de le transférer à la prison d’El Mornaguia, apprend Business News de source judiciaire. La même source ajoute que Haj Mansour est accusé de formation d’association de malfaiteurs.

 

Notons que le directeur du journal a été placé en garde à vue hier à cause de la publication de statuts Facebook jugés "diffamatoires" sur sa page personnelle. Le chroniqueur au journal Al Massa Sahbi Amri a été, également, arrêté dans le cadre de la même affaire. 
 
 
Mise à jour :

Le chroniqueur au journal Al Massa Sahbi Amri a été, également, transféré à la prison d’El Mornaguia suite à un mandat de dépôt émis à son encontre par le juge d’instruction au bureau 19. Il est accusé de formation d’association de malfaiteurs et d’attribution de faits infondés à un fonctionnaire de l’Etat.
 
 
 
 
M.G
19/09/2018 | 18:45
1 min
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Commentaires (8)

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Mourad
| 20-09-2018 13:07
Et dire que tout compte fait la Tunisie est passée de la dictature de Ben Ali à celle des islamistes encore plus infecte puisque réunissant incompétence totale,archaïsme,nullité absolue à tous les niveaux... Cela me rappelle la réponse du président Allemand quand on lui a posé la question concernant la Tunisie; Il avait alors eu une réponse cinglante : Des individus qui ont passé 15 à 20 ans en prison, leur place est dans un hôpital et non pas à la gourvenance d'un pays! Tout compte fait il a visé très juste ! Comme quoi si certains pays réussissent et sont à la pointe ( Comme le pays germanique ) c'est pas du tout lié au hasard. Chapeau ' au président de l'Allemagne ...

felfel
| 20-09-2018 11:27
celui qui fait propage des diffamations contre autruis, ou qui fait circuler de fosses informations (sur les reseaux sociaux), pour destabiliser le pays, merite un sejour a EL Mornaguia. Quand on voit que les nakbaouistes khaouanjia qui visitent ce site sont choques, on sait que c'est une bonne chose pour le pays et pour la liberte de la presse.

Bacchus
| 20-09-2018 08:54
"Attribution de faits infondés à un fonctionnaire de l'Etat". N'est-il pas protégé par la loi de lutte contre la corruption?

Citoyen 1956
| 20-09-2018 08:44
ADN a raison, d'autant plus que votre allemand est bourré de fautes d'orthographe.
Si c'est pour impressionner vous faites fausse route, personnellement je suis en mesure d'enseigner l'allemand aux allemands. Sur BN on parle français , s'agissant d'un jounal tunisien l'utilisation de quelques proverbes tunisiens par des forumiens est compréhensible et parfois sympa.

ADN
| 20-09-2018 08:11
Arretez avec votre allemand, ici 99% de lecteurs ne vous comprennent pas à moin que vous voulez donner des cours d´allemand gratuits à travers BusenessNews.
Wenn Sie Deutsch ueben moechten, suchen Sie einen anderen Forum. Aufhoeren mit dem Scheiss!

Microbio
| 19-09-2018 21:46
Sie sind vielleicht good Herr Chater, Sie schreiben "Que se passe-t-il en Tunisie contre la liberté de la parole et qui mène ce sabotage contre la liberté des Tunisiens?"

Qui sabote la Tunisie c´est elle meme et sans doute les dirigeants de l'ancien régime. N'avez-vous pas réalisé que depuis 2011, nous n'avions qu'une démocratie apparente avec la seule différence que nous avons volontairement laissé le sort de la révolution aux anciens bouchers. Et cela à tous les niveaux ..

L'ancien RCD est mort, vivez le NOUVEAU RCD!

Ommar ELHAJ .. ELHAJ OMMAR

Dommage, notre pays a beaucoup de travail, pour obtenir ou mieux arracher sa liberté et son indépendance, devant lui !

Moto: Alles nur für die Galerie !

Bonne Soirée!

Toto
| 19-09-2018 21:39
On dirait que vous jubilez avec votre titre !!!
Ya Walla ah7oual !!! Rabbi yihdikoum

Abel Chater
| 19-09-2018 21:10
Arrêter et enfermer des journalistes pour ce qu'ils écrivent, bien que les journaux ferment pour déficit budgétaire. On n'a pas vu cela, même sous le régime dictatorial de Ben Ali.
Tous les acquis démocratiques de la liberté de la parole et de la liberté d'expression dont on a jouis au début de la Révolution du 14 janvier 2011 sous la présidence de Moncef Marzouki, s'évaporent dans le néant sous la présidence de Béji Caïd Essebsi. Les statistiques sont alarmantes et la dictature revient sous d'autres adjectivations.
Les journalistes qui se taisent suivant la devise:»tant que ce n'est pas moi», doivent se rendre compte qu'ils sont eux aussi dévorés, le jour où ils laissent le lion dévorer leurs collègues les taureaux blancs.
Un jour des plus tristes pour la démocratie tunisienne. Jamais je n'ai vu quelqu'un d'emprisonné pour ce qu'il a dit ou pour ce qu'il a écrit, de partout dans les démocraties de ce monde.
Que se passe-t-il en Tunisie contre la liberté de la parole et qui mène ce sabotage contre la liberté des Tunisiens?