
L’Union nationale de la femme tunisienne, a annoncé, dans un communiqué publié mardi 24 mai 2022, participer au dialogue national du président de la République, Kaïs Saïed.
L’UNFT a toutefois souligné vouloir que cette participation soit réelle, effective et qu’elle exprime les préoccupations de la femme tunisienne en toute indépendance et impartialité et au nom de l'intérêt national.
Elle a, en outre, souligné que le dialogue national est le meilleur moyen de sortir le pays de la crise politique, économique, sociale et culturelle qu’il traverse depuis la « décennie noire ».
Le président de la République, Kaïs Saïed, a officialisé, vendredi 20 mai 2022, la création de la commission nationale consultative pour une nouvelle République. Le décret présidentiel publié à l’occasion n’a pas manqué de faire réagir la scène politique. Plusieurs personnalités ont critiqué les noms assignés, notamment la désignation du bâtonnier, Brahim Bouderbala, à la tête comité consultatif des affaires économiques et sociales.
Selon le décret présidentiel paru dans le Jort de vendredi, la commission est répartie en trois structures : un comité consultatif des affaires économiques et sociales composé de représentants de l’UGTT, de l’Utica, de l’Utap, de l’UNFT et de la LTDH, un comité consultatif des affaires juridiques composé des doyens des facultés de droit, des sciences juridiques et politiques et présidé par le membre le plus âgé et un comité du dialogue national composé des membres des deux comités précédents et présidé par le président coordinateur de la commission nationale consultative, le doyen Sadok Belaïd.
Elle aura pour mission de présenter – à la demande du président de la République – un projet de constitution pour une nouvelle République dans le respect des principes et objectifs de l’article 22 du décret 117, et des résultats de la consultation nationale, initiée par le locataire de Carthage.
M.B.Z
Concernant l'UNFT, qui dit défendre les droits des femmes, j'aimerais qu'elle nous montre en quoi elle le fait? Par exemple, quand le président a décerné un prix à une fillette voilée, ce que la religion ne demande pas, et qu'il n'a pas pris ses distances avec ceux qui lui ont glissé cette peau de banane; il est apparu clairement que ce monsieur a les mêmes positions que les islamistes sur cette question. Où était l'UN FT alors? Où est-elle dans les autres combats concernant les droits des femmes? Si cette organisation croit pouvoir changer les choses dans le cadre d'un comité consultatif, elle se trompe lourdement, et c'est grave pour l'avenir du pays.
C'est parce que la femme tunisienne ne cherche toujours, qu'à s'imposer par le quota ou par les pleurnicheries et les larmes de crocodiles. Non pas par la compétence, par l'intelligence et par l'endurance.
L'égalité de la femme avec l'homme, nous disent-elles, tout en trahissant la patrie tunisienne, la vendant au plus fort par les armes à feu. Non pas par le patriotisme, par l'équité, par la liberté et par la démocratie.
Allah yostir Tounes.
Mais bien sûr il faut faire très attention à la contamination par le monkeypox!
Contrairement à Taboubi et ses semblables de béni non non, la Femme tunisienne vient de faire preuve de patriotisme et de respect aux Institutions de l'Etat.
Rien à dire, c'est la Femme tunisienne, c'est la fierté de la Tunisie.
Femmes alibis !!!
Merdocrates du dimanche !!
Parité femmes hommes, dans la misère !!!
C'est la soumission version tunisienne des femmes ?!!!
Qu'elles parlent en leurs noms propres !!!
Mais pas en mon nom !!!