Mais où sont les portraits des vrais militants du syndicalisme tunisien, qui étaient dressés tout le temps dans ton dos
Pourtant, tu en usais systématiquement les vertus, dès qu'il s'agissait d'endormir la plèbe.
Chnouwa, za3ma, ça ne va payer pas avec l'auditoire du 1er mai.
Tu as dû certainement t'aligner sur l'étroitesse de leur niveau intellectuel.
Mais où sont les portraits des vrais militants du syndicalisme tunisien, qui étaient tout le temps fixés au support faisant face à son dos
Apparemment, tu t'es contenté du sempiternel joker habituel, le "kéfié" palestinien.
Tu sais ya Taboubi, les Tunisiens "se fichent" éperdument de ton déguisement.
Innove, trouve autre chose. Un tablier de charcutier, par exemple.
Ya taboubi, pour tout l'or du monde, je n'aimerais pas être à ta place dans les mois qui viennent. Abessi avait plus ou moins rapidement percuté à l'époque.
On peut s'avancer à dire qu'il était visionnaire. Il a su transmettre son titre à temps, pour se faire oublier. Il lui fallait quelqu'un d'affamé (mè yihmiddéche Rabi), de hargneux et de pas très rusé.
Tout porte à croire qu'il ne pouvait pas faire de meilleurs choix.
S'il avait utilisé ce type de stratégie au jeu de l'EuroMillions, il aurait certainement touché, à plusieurs reprises, le jackpot.

Vous avez massacrez l l'hôpital universitaire de sfax , vous devez être poursuivi par la Justice , c dommage.

Les tentions sociales c'est dans votre petite cervelle, certe il y'a des difficultés économiques, mais le peuple tiens bon avec son Président et prêt à attendre les jours meilleurs qui n'arriveront jamais avec cet UGTT et ses politiciens voleurs depuis onze années, Ehchou a la roohkom, vous avez gratté le fond de la casserole qui n'appartient pas à vous, et ce fameux bureau de l'UGTT , formation de voleurs et bandits, les Tunisiens ne sont pas dupes, mais la fête et finit vous dit , que chacun rentre chez lui et basta , et votre initiative vous pouvez la boire après l'avoir bien trempé dans l'eau

UN PAYS, UN PEUPLE EN PANADE...!
Aujourd'hui, 1er mai fête du travail !
Malheureusement, dans notre pays, ce jour de fête n'a plus cette ferveur populaire et prolétarienne d'antan.
La notion " travail " n'a plus sa place dans l'esprit du citoyen-travailleur dans la mesure où toute l'activité et la dynamique prolétarienne sont reléguées aux oubliettes.
Tout le pays est dangereusement en RADE.
Le tissu socioéconomique est carrément en faillite et cette situation ne cesse de se dégrader.
Le chômage est à deux chiffres depuis des années.
Quant aux finances de l'état, c'est là où on le bas blesse.
Les caisses sont presque vides.
Les ressources en devises s'amenuisent chaque mois
Les exportations sont réduites à quelques produits où la concurrence fait rage.
Les investisseurs étrangers ignorent notre pays et notre tissu industriel n'a que le nom sur certaines pages-internet.
Quant aux touristes, ils nous fuient comme la peste....
Tel est un état des lieux catastrophique et pitoyable d'un pays en faillite non déclaré.
En un mot, les experts internationaux prédisent sans retenue un effondrement total de l'économie tunisienne dans quelques mois, ...
Le comble, c'est que le pouvoir en place s'obstine dans son inertie et dans ses errements .
La Tunisie, est devenue la risée du monde et son isolement se confirme chaque jour.
Et, L'UGTT, cet acteur historique de notre vie socioéconomique n'est plus que l'ombre de lui-même.
Quant Saied, élu président par défaut, est totalement dépourvu et d'expériences et de compétences, croit naïvement sauver le pays de son merdier.
Malheureusement, sa façon de gérer les affaires de l'état par decrets et sa politique du total-refus a enfoncé le pays dans l'inconnu et dans l'incompréhension.
Désormais, sa légitimité est sujette à caution surtout des acquis de la révolution, il ne reste plus grand chose. L'espace politique n'existe plus et la prison ne cesse de se remplir dine l'élite détournée et aux abois.
Quant à la populace, elle est complètement résignée !!!
Certes, il n'est pas trop tard de colmater les brèches et sauver la face face à un défi colossale mais l'ouverture sur l'extérieur et l'aide exogène demeurent indispensables et déterminantes pour espérer suaver le soldat Saied.
Il faut un vrai PROJET SOCI'?TAL, courageux, fiable et clair pour espérer changer le cours d'une histoire trop tordue pour le moment.
Saied doit changer de verbes et de discours car il ne peut pas user du même langage destiné à une populace lourdement désabusée et une opinion internationale très sensibles au respect des droits de l'homme.
IL FAUT COMPRENDRE SUE LE DISCOURS DE SAIED INDISCUTABLEMENT INAUDIBLE.
C'est ce que je crois.

L'Ugtt est trop riche pour une organisation illettré. De plus, pourquoi elle n'aide pas les écoles, les lycées, et les hôpitaux, ou les activités bénignes sont interdites pour les illettrés communistes?!

Depuis 1889, l'appellation "Fête du Travail", aux relents pétainistes à partir de 1941, a été abandonnée.

A partir de cette année-là, on lui a préféré celle de "Journée internationale de lutte pour les droits des travailleurs" ou, plus simplement, "Journée internationale des travailleurs"

Unique entorse à cette appellation : en 1941, le maréchal Pétain, en France donc, impose pour le 1er Mai le nom de "Fête du Travail", ce qui fait référence à son triptyque "Travail-Famille-Patrie" qu'il a substitué au républicain "Liberté-Egalité-Fraternité.

Avec la chute du régime pétainiste lors de la fin de la Seconde guerre mondiale, "Journée internationale des travailleurs" a repris ses droits.