
Le chef du comité d’organisation du pèlerinage juif en Tunisie, Perez Trabelsi, a indiqué, dans une déclaration à l’agence Reuters que le comité a annulé la célébration des festivités annuelles accompagnant le pèlerinage de la Ghriba en raison de la guerre à Gaza.
« Comment célébrer alors que des gens meurent tous les jours ? », a lancé Perez Trabelsi. Il a ajouté que le pèlerinage annuel sera réduit à des rituels limités à l’intérieur de la synagogue et s’attend à ce qu’un très petit nombre de personnes viennent de France en raison de la situation tendue au Moyen-Orient.
Rappelons que le Comité de la Grande synagogue de la Ghriba a annoncé dans un communiqué publié vendredi 19 avril 2024, que le pèlerinage ne sera pas accompagné cette année de festivités et se limitera aux rituels religieux tenus à l'intérieur de la synagogue.
Le Comité a salué les efforts déployés par les autorités pour garantir les meilleures conditions à la tenue du pèlerinage, soulignant que « la Tunisie et Djerba resteront des terres de tolérance, de coexistence et de paix ».
S.H
Israël devrait interdire aux musulmans l'accés à El aqsa .
Que diront les imbéciles de services.
La réalité fait mal, et l'être humain a tendance à vouloir l'accommoder avec haine et rancune envers celui qui la diffuse.
Tenez par exemple ce jeune homme de ma connaissance habitant à la cité olympique et qui convola en injustes noces avec une gonze de la cité Enasr dont il s'amouracha lors d'une réunion chez des connaissances mutuelles. L'homme en question alla même jusqu'à contracter de nombreux prêts à la BNA afin d'organiser sa nouvelle vie qui comprenait un mariage dans un hôtel 3 étoiles de la capitale ou le tout Tunis vint s'abreuver d'un mauvais vin.
Qu'elle ne fut pas la déception de ce jeune homme lorsque sa dulcinée, qui avait adopté un comportement insolite lors de sa lune de miel en Turquie, passa aux aveux. Elle lui avoua qu'elle n'était pas la fille vertueuse dont elle en avait l'air et que ses voyages précédents à Dubaï avaient pour but de servir d'objet a des hommes d'affaires ayant l'âge de son Père et dont la perversité n'avait d'égal qu'en leur bestialité. Son alibi principal fut que l'auteur de ses jours, en l'occurrence un Père a la retraite d'une usine gérée par un Sfaxien d'une avarice sordide, avait grande difficulté à s'acquitter d'une facture de la STEG dont les arriérés lui donnaient des insomnies.
Mais pis que ça, la jeune mariée avoua à son âme s'?ur désemparée que sa vertu fut réparée dans la période immédiate qui précéda leurs noces, des mains et du bistouri habile d'un chirurgien véreux de la capitale. Le jeune homme en état de dépression aigue, ressentit une haine intense envers certains de ses amis d'enfance qui vraisemblablement avait eu vent du passé brulant de sa futur épouse sans ne jamais l'en informer.
La révolution Tunisienne a des similarités avec la tragédie ci-dessus. Les Tunisiens sont passés de l'euphorie de la révolution ou ils étaient caressés dans le sens du poil par des sionistes malodorants venus les encourager, à un état de dépression et de désillusion, exacerbé par les écrits d'un flic de Ben Ali vivant de casse croutes au thon rance et de Boga Cidre.
La vérité fait mal et seul le temps peut guérir l'homme de sa douleur.
JOHN WAYNE



