
Les impayés des clients envers la Société tunisienne de l'électricité et du gaz (Steg) s’élèvent à 3.199 millions de dinars pour les quatre premiers mois de 2023 (+8,92% par rapport à fin 2022). C’est ce qu’a indiqué Mounir Ghabri, chargé des relations clients à la société à la Tap.
Ces impayés représentent 44% du chiffre d’affaires de la société, qui a atteint 7.275 millions de dinars. Le secteur public (ministères, entreprises, administrations, collectivités locales et municipalités) accapare 44% de ces impayés avec 1.397 millions de dinars : 707 millions de dinars pour les entreprises publiques, 499 millions de dinars pour les ministères et administrations et 192 millions de dinars pour les collectivités locales. Le reste des impayés concerne le secteur privé.
M. Ghabri a précisé que les impayés des clients résidentiels ont atteint 1.417 millions de dinars, en hausse de 7%. Et de soutenir que cette hausse est expliquée en partie par le fait qu’il y a une partie de cette clientèle qui refuse de payer volontairement ses factures et de régulariser sa situation, bien que la société est prête à étudier leurs demandes de facilité de payement. Autre raison, la hausse de la valeur des factures distribuées de 3,6% par rapport fin 2022, et qui n'a rien à voir avec une hausse des tarifications de l’électricité et de gaz.
Le responsable a également affirmé que « l'effort de recouvrement des impayés du secteur public était en deçà des espérances et des attentes, à cause de la faible réactivité des diverses institutions publiques et collectivités locales à cet effet ».
Mounir Ghabri a précisé dans ce cadre que des séances de travail ont abouti à la signature de procès-verbaux d'accord pour le règlement des impayés du secteur public envers la société, mais la réactivité et le recouvrement ont été relatifs et variés d'un ministère ou établissement public à un autre. Il a révélé que presque tous les ministères ont des impayés envers la Steg.
I.N
Plein le cul de payer pour les autres. On n'a pas à payer la gestion chaotique des factures des ministères, entreprises, administrations, collectivités locales et municipalités, qui trainent depuis la chaotique gouvernance de la maudite troika, ainsi que celle des mauvais payeurs, consanguins issus de l'exode rural, pour la plupart.
Plein le cul !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Après, vous vous étonnez qu'un sale gamin mal éduqué se reçoive une rafale de baffes de la part nos services d'ordre.
Il n'y a plus d'ordre établi ni de logique depuis votre saloperie de khobz ou mè et ZABA lè.
Aller, HOP, coupez l'eau et l'électricité aux mauvais payeurs.
Ce sont eux qui sont là à accentuer la chute de la NATION dans les abysses et ce sont les premiers jamais contents, qui passent leur misérable vie à râler contre tout.
Halte à l'anarchie dont l'Etat est complice.
Aucun matériel n'est disponible pour les remplacer, en attendant les factures se bases sur des relevés fantômes sans aucun recours pour le citoyen.