
Des étudiants de la faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de Tunis, menés par l’Union général des étudiants tunisiens (UGET) ont tenu une grève, le lundi 30 septembre 2024, pour protester contre l’amendement de la loi électorale et les violations des droits et libertés constatées après le 25 juillet 2021.
Les étudiants de la faculté, où le président de la République, Kaïs Saïed enseignait le Droit constitutionnel, ont ainsi observé la grève dénonçant les atteintes répétées par le régime contre l'Etat de droit.
Les grévistes ont aussi abordé le décret-loi n° 2022-11 du 12 février 2022, portant sur la création du Conseil supérieur provisoire de la magistrature, le décret-loi n° 2022-35 du 1er juin 2022 concernant la révocation des magistrats par le président de la République, l'assaut contre la Maison de l'avocat, le non-respect des décisions du tribunal administratif et d'autres violations.
Les étudiants ont également organisé des cercles de discussions autour de ces violations.
H.K
Allez passer votre service militaire et apprenez-y la discipline pure et dure.
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Cessez vos gamineries et apprenez "à devenir adulte et responsable", pas comme ces lavettes de l'UGTT ... !
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C'est vous qui aurez la Nation en mains, demain.
Apprenez à bosser dur et sans se plaindre !
Le pain, ça se gagne.
Rien n'est gratuit.
A ceux qui l'ignorent encore, ils doivent savoir que les avocats et les juges, doivent souvent chercher des heures et des heures dans les livres, pour trouver un cas d'anciens jugements similaires à leur dossier, afin de convaincre par des antécédents juridiques de haut niveau. Maintenant dans le cas actuel de la Tunisie, à quoi leur servent-elles donc les études, du moment qu'ils pourraient argumenter par cette gigantesque banalisation de la loi, de la Constitution, jusqu'au non respect d'un serment tenu la main droite sur le livre saint le Coran, devant les représentants du peuple au parlement ARP et devant les caméras qui transmettent la cérémonie à tout le peuple tunisien et au restant de notre globe terrestre. Il m'arrive à moi-même, de me demander au sujet du non-sens de l'assermentation des ministres et des hauts responsables de l'Etat tunisien par le président Kaïs Saïed, puisqu'il n'a pas respecté ni tenu lui-même à ses propres assermentations présidentielles, devant le parlement ARP de 2019.
Il faut vraiment trouver une solution patriotique pour sauver la Tunisie et les Tunisiens, de ce sable mouvent où ils se trouvent à présent, sans la moindre lueur d'espoir d'échapper à une deuxième révolution, de loin pire que celle du 14 janvier 2011.
Allah yostir Tounes.
go ask him.
what a big shame !!