Finalement, le laxisme et/ou l'incompétence qu'on reproche à Elyes Gharbi ne sont que des prétextes fallacieux; La vérité est ailleurs. . .
Affaire à suivre. . .
Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a publié ce samedi 17 juin 2017 un communiqué dans lequel il a sévèrement dénoncé la décision gouvernementale de limogeage du PDG de la Télévision nationale, Elyes Gharbi.
Une décision comparée à celles que prenait « l’ancien président de la République, Zine El Abidine Ben Ali, lorsqu’il limogeait des responsables au gré de son humeur ».
Le communiqué a appelé la Haute Autorité indépendante de la communication audiovisuelle (HAICA), dont « le pouvoir régulateur a été court-circuité par le gouvernement », à ouvrir la porte des candidatures pour pourvoir au poste de PDG de la Télévision nationale. Dans la même lignée, le SNJT a récusé la décision « douteuse » du gouvernement qui est le signe qu’il s’agit d’une tentative de « mainmise sur les médias publics ». Une démarche qui est inadéquation avec « la liberté de communication et le processus démocratique », selon le communiqué.
Le SNJT a aussi affirmé que le retard pris dans la diffusion du Journal télévisé a été prémédité ajoutant que la décision de limoger le PDG de la Télévision nationale contrevient au décret 116 relatif à la liberté de la communication audiovisuelle.
K.H
Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a publié ce samedi 17 juin 2017 un communiqué dans lequel il a sévèrement dénoncé la décision gouvernementale de limogeage du PDG de la Télévision nationale, Elyes Gharbi.
Une décision comparée à celles que prenait « l’ancien président de la République, Zine El Abidine Ben Ali, lorsqu’il limogeait des responsables au gré de son humeur ».
Le communiqué a appelé la Haute Autorité indépendante de la communication audiovisuelle (HAICA), dont « le pouvoir régulateur a été court-circuité par le gouvernement », à ouvrir la porte des candidatures pour pourvoir au poste de PDG de la Télévision nationale. Dans la même lignée, le SNJT a récusé la décision « douteuse » du gouvernement qui est le signe qu’il s’agit d’une tentative de « mainmise sur les médias publics ». Une démarche qui est inadéquation avec « la liberté de communication et le processus démocratique », selon le communiqué.
Le SNJT a aussi affirmé que le retard pris dans la diffusion du Journal télévisé a été prémédité ajoutant que la décision de limoger le PDG de la Télévision nationale contrevient au décret 116 relatif à la liberté de la communication audiovisuelle.
K.H