
Le journal français « Le Monde » a consacré son édito de ce lundi 4 juillet 2022, au projet du président tunisien Kaïs Saïed.
Après avoir publié hier l’interview du président de la commission consultative, Sadok Belaïd, qui alertait sur les « dangers » du projet du chef de l’Etat, l’édito titré « En Tunisie, la dérive de Kaïs Saïed » est venu alerter sur les dangers du « passage en force d’un projet de constitution n’ayant fait l’objet d’aucune concertation ».
L’édito évoque un projet de constitution qui consacre « un présidentialisme caricatural, à l’exact opposé de l’inspiration parlementaire du régime issu de la révolution de 2011 qui avait vu la chute du dictateur Zine El-Abidine Ben Ali ».
Il cite la construction de la démocratie par la base, au cœur du projet de Kaïs Saïed « qui ancre la légitimité du pouvoir à l’échelon local, tout en vidant de sa substance l’Assemblée nationale au profit d’une présidence omnipotente, réminiscence de la figure du « raïs » familière dans la région » .
Le Monde estime que si Kaïs Saïed persévère dans son « aventure personnelle tout est à craindre en Tunisie dans les prochaines semaines. Une opposition laminée au lendemain de son coup de force du 25 juillet 2021 ne manquerait pas de se réveiller. Et, alors que le pays est au bord de la banqueroute financière, le risque de colère sociale ajouterait à la crispation ambiante. Avis de tempête en Tunisie ».
M.B.Z

Si vous n'êtes pas au courant la psychose en Europe, beaucoup de gens dorment très très mal.
Faire peut ça fait partie de cette modite et morbide guerre
Malla Go...r !
On en parlera de la France dans un avenir très proche.
1- l'élection des parlementaires portée sur les individus et non sur les listes étant un choix plus démocratique et plus ciblé et ne bloque pas dans tous les cas les partis politiques de présenter leur candidature sous forme de listes dont le citoyen en choisira celui à qui il souhaite déléguer sa voix.
2- le retrait de la délégation accordée à un membre du parlement est aussi bien accueilli mais juste faudrait il la réglementer ( retrait après ûne période minimale d'exercice soit après un an ou à moitié parcours du mandat )
3- pour le point ci haut , si on prend la solution médiane soit un renouvellement de confiance à mi-chemin pour la chambre des députés ce qui fera un alignement sur les pratiques démocratiques ( USA, parlement européen,'?') alors on va se mettre d'accord qu'un mandat de deux années et demi pour un député est nécessaire pour juger de sa performance.
4- Alors pour le cas d'un président élu au suffrage universel et qui doit totaliser en moyenne 20 à 30 voix plus qu'un député , n'est il pas logique de lui donner un mandat de 5 années pour juger sa compétence surtout que ces un élu de tout le peuple'?'
Alors , je crois que le fait de donner la chance entière à un président pour opérer ( sous l'?il bien veillant du peuple et des partis politiques en tous cas et indépendamment de toute autre institution) de façon à donner plus de chance a la mise en '?uvre des programmes objet de son mandat?!!
Peux tu me répondre !
Yaatik Doudaa!!!
Les signes et les actions avérés ne démentent pas nos propos.
Il suffit de citer certains indicateurs et indices qui versent dans cette logique suicidaire du maître.
Absence de contre-pouvoir, répression de toutes formes d'opposition, non respect des droits de l'homme des individus,...
Tous les acteurs politiques, élus, associations, société civile,... doivent se mettre à carreaux en obéissant aux ordres de gré ou de force.
Les Tunisiens tombent des nus, s'étonnent de la tournure que prend la situation générale dans le pays.
Ils se rendent enfin compte qu'ils ont élu naïvement un président méconnu politiquement, qui s'est avéré un assoiffé de pouvoir.
En effet, il n'a pas hésité à concentrer tous les pouvoirs entre ses mains de façon absolue qu'aucune loi ou institutions ne les limitent.
Nouveau maître absolu, avènement historique depuis l'indépendance, cet architecte usurpateur, anti-constitutionnel ne lésine pas sur les moyens à sa disposition pour pisser à volonté sur une populace désabusée et passive (pour le moment !!!).
Le caractère arbitraire de ce pouvoir illégitime se traduit réellement, sur le terrain, à une cadence inouïe par le non respect de l'état de droit notamment, la violation de la constitution en vigueur, l'établissement des lois d'exception,...
Par sa logique erronée, le nouveau dictateur, troisième du nom, n'hésite pas à pisser sans limite sur la populace par son arrogance, son narcissisme et son orgueil.
Le président en exercice, élu démocratiquement par erreur voire par défaut, a compris que l'occasion est en or lui permettant de s'éterniser sur le trône à Carthage.
Il croit dur comme fer que même les astres lui sont favorables dans la mesure où il ne cesse d'avancer triomphalement sur nos acquis démocratiques.
Jusque qu'à ce jour, sa dynamique victorieuse s'explique par de nombreuses décisions autoritaires caractérisées par une gouvernance de fait, une absence totale de séparation des pouvoirs, l'arbitraire, la suspension de l'état de droit, la manipulation et/où le gèle et la suppression des acquis et choix démocratie produits d'une révolution populaire.
Sans oublier l'usage, le contrôle systématique et la censure, l'illegalisation des partis politiques et la marginalisation des composantes de la société civile, la répression des opposants,...
De ce qui précède, on peut conclure Qu'en continuant sa folie du va tout, ce nouveau dictateur en puissance, malade, esseulé, seul contre tous, ne recule devant rien. Au contraire, plus il avance plus il croit en son oeuvre destructrice d'un pays au bord de explosion et de la guerre civile.
Cautionner ce projet de nouvelle constitution, vulgaire produit lourdement bourré, affecté de pesticides et pollué par de virus ravageurs, le peuple tunisien signe naïvement sa mort démocratique.
Son émancipation humaine, totale et définitive sera renvoyée au calendre grec et tout espoir d'un avenir meilleur sera anéanti.
Croire à ce ce genre de fou-faiseur-de roi s'est creuser sa tombe.
C'est ce que je crois.
Ca devrait devenir une règle.
Quand la racaille islamiste et ses suppôts de la maudite troika, pillaient goulûment les caisses de l'état tout en disloquant notre économie et nos institutions, pas un mot fusait dans les pages de ces propagateurs de nouvelles toxiques !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
" s'occupe " tous les jours des politiques exerçant en France. Quant à l'Europe, malgré les difficultés actuelles, elle demeure un paradis où il fait bon vivre. Pour rappel, tous les pays du monde sont critiqués dans la presse internationale, en bien ou en mal. La cause tunisienne intéresse de nombreux lecteurs.
On voit bien que la démocratie n'a pas intégré votre esprit qui est bien dépourvu d'esprit critique.
Au mon Dieu, notre voisin, premier investisseur, a un journal privé qui écris son inquiétude sur la Tunisie, inquiétude partagé partout sur terre et en Tunisie meme.. mais non c'est grave lol
gardez la tète dans le sable, vous êtes un sous citoyens et oui la dictature pour vous est surement utile. Merci de ne pas mettre tout les tunisiens à votre niveau svp.
"maintenant nous voulons gérer notre pays comme bon il nous semble" -> Ah attention, faute grave! Dans un régime autoritaire tu vas gérer ta grand mère (et encore!)
Les simples d'esprit, les politologues, les hésitants et les soucieux ne peuvent pas comprendre la méthode Said. Le peuple tunisien l'a comprise dès 2019 puisqu'il a propulsé Said au Palais de Carthage avec 73% des voix. Et l'aventure continue.


