Et pour ne rien dire des émissions plagiat, importées et copiées, qui sont absolument étrangères à la culture tunisienne.
Je me laisse volontier instruire!
Le juge Hammadi Rahmani a publié un statut, dans la soirée, d’hier, lundi 14 octobre 2019, appelant « à la fermeture de la chaîne El Hiwar Ettounsi, et au jugement de ses responsables à la suite de l’exécution de plans criminels et de complots avérés afin de protéger la liberté des médias ». « Sinon, le prix sera cher payé » a-t-il écrit.
Hammadi Rahmani a indiqué dans son post que la chaîne englobe dans son discours et sa ligne éditoriale « la pire des violences verbales », et « favorise un climat propice à la tension sociale et à la violence politique, pouvant aboutir, éventuellement, à des crimes ».
« Ceux qui dénoncent la violence n’ont aucun prétexte pour ignorer des journalistes qui représentent la violence incarnée, le crime incarné et la haine incarnée, orientés pas seulement contre une personne ou une classe bien déterminée, mais d’une manière abusive, gratuite, criminelle, préméditée et étudiée vers des millions de Tunisiens […]. Pourquoi s’attachent-ils au discours de la discorde et pourquoi sommes-nous gênés à le condamner et l’éradiquer complètement avant qu’il ne barre la route à notre liberté, notre démocratie et notre paix sociale et politique », ajoute le magistrat.
Notons que la chaîne El Hiwar est aujourd'hui victime d'une véritable campagne de lynchage sur les réseaux. Certains de ses journalistes sont dénigrés sur la toile et font même l'objet de menaces de mort. Le 13 octobre, jour du deuxième tour de l'élection présidentielle, deux journalistes et un caméraman d'El Hiwar ont été agressés par des sympatisants du vainqueur Kaïs Saïed lors de la couverture de leurs festivités à l'avenue Habib Bourguiba.
S.H
Le juge Hammadi Rahmani a publié un statut, dans la soirée, d’hier, lundi 14 octobre 2019, appelant « à la fermeture de la chaîne El Hiwar Ettounsi, et au jugement de ses responsables à la suite de l’exécution de plans criminels et de complots avérés afin de protéger la liberté des médias ». « Sinon, le prix sera cher payé » a-t-il écrit.
Hammadi Rahmani a indiqué dans son post que la chaîne englobe dans son discours et sa ligne éditoriale « la pire des violences verbales », et « favorise un climat propice à la tension sociale et à la violence politique, pouvant aboutir, éventuellement, à des crimes ».
« Ceux qui dénoncent la violence n’ont aucun prétexte pour ignorer des journalistes qui représentent la violence incarnée, le crime incarné et la haine incarnée, orientés pas seulement contre une personne ou une classe bien déterminée, mais d’une manière abusive, gratuite, criminelle, préméditée et étudiée vers des millions de Tunisiens […]. Pourquoi s’attachent-ils au discours de la discorde et pourquoi sommes-nous gênés à le condamner et l’éradiquer complètement avant qu’il ne barre la route à notre liberté, notre démocratie et notre paix sociale et politique », ajoute le magistrat.
Notons que la chaîne El Hiwar est aujourd'hui victime d'une véritable campagne de lynchage sur les réseaux. Certains de ses journalistes sont dénigrés sur la toile et font même l'objet de menaces de mort. Le 13 octobre, jour du deuxième tour de l'élection présidentielle, deux journalistes et un caméraman d'El Hiwar ont été agressés par des sympatisants du vainqueur Kaïs Saïed lors de la couverture de leurs festivités à l'avenue Habib Bourguiba.
S.H