
La fédération de l’Enseignement de base a rendu public un communiqué, mercredi 25 août 2021, appelant ses affiliés dans les différentes sections à s’organiser pour réussir le boycott de la rentrée scolaire.
La décision du boycott a été prise si les revendications exigées à l’issue de la commission administrative ne seraient pas satisfaites.
Ainsi, la Fédération œuvre pour la reprise des négociations avec l’autorité de tutelle, notamment, à propos de l’activations des accords du 8 mai 2018, 4 mars 2019 ainsi que celui du 1 er mars 2021, outre la criminalisation de l’agression des enseignants, l’ouverture d’un dialogue pour la réforme du système éducatifs, l’amélioration des conditions du travail…
D’autre part, les syndicalistes refusent la décision du ministère de l’Education concernant la rentrée sans le système de groupes et avant l’annonce de la commission scientifique d’une décision à propos de la vaccination des élèves.
S.H
Grèves justifiée ou pas mais toujours payé (le laxisme de l'état)
Période jaloul pas d'examens tout le monde passe (la honte pour le ministère)
Période hamdi aucun jours d'école (la douleur pour les parents)
En dix ans et depuis 2011 aucun instit n'a cumulée nombre d'heures qu'il a effectivement effectué en 2010
Je propose qu'ils restent à leurs demeures
Mr le Président trouveras bien des coopérants qui ferons l'affaire même des Russes ou ukrainien vu que beaucoup de nos bacheliers font leurs études supérieures chez eux.
Sincères condoléances à tout ceux qui ont fait leur études au temps des poux
et qui sont probablement à l'âge de la retraite qui savent au moins ce qui une ç.
Est- ce que la violence "tout court" n'est pas un crime>?
Pourquoi ne pas voter des lois pour la criminalisation de la violence contre x, une autre pour Y et ainsi de suite jusqu'à nommer les 12 millions de tunisiens?
C'est juste un prétexte pour que les enseignants perçoivent leurs salaires sans s'acquitter de leurs devoirs. Ils veulent l'impunité pour les crimes qu'ils commettent contre la jeunesse tunisienne.
Après la Révolution du 14 janvier 2011, L'UGTT organise pas moins de mille mouvements de protestation chaque année. Ce nombre a été déjà atteint, pour le seul premier semestre de cette année 2021.
Par la suite, lorsque L'UGTT a compris la situation post 25 juillet dernier, suivant son expérience avec Ben Ali, elle a vite retourné sa veste du côté du président Kaïs Saïed, afin d'être épargnée de cette poursuite contre les corrompus et contre les destructeurs de l'économie tunisienne.
Si le président Kaïs Saïed et ses conseillers, ne mettent-ils pas fin à cet abus de pouvoir de L'UGTT, qui est l'auteur principale de tous les maux de la Tunisie postrévolution, il n'y aura de réussite ni pour eux, ni pour la Tunisie, ni pour le peuple tunisien. Ils ne doivent pas tomber dans la ruse des renards de L'UGTT, qui retirent à présent leurs têtes de serpents dans des carapaces de tortues, jusqu'à ce que cette tempête autour de Kaïs Saïed prenne fin, afin qu'ils nous retournent de nouveau, avec leur ancien mensonge, comme étant le plus grand parti politique de la Tunisie, caché derrière un lobbyisme syndicaliste mafieux, antidémocratique et anticonstitutionnel.
Il faut absolument et expressément, encadrer le futur rôle de L'UGTT, dans son vrai rôle de syndicaliste des travailleurs tunisiens. Non pas des syndicalistes d'une Mafia politique, qui gère le pays derrière les coulisses vers le désastre, par ses chantages politiques d'un côté comme de l'autre. Il n'y aura jamais plus de rôles politiques pour L'UGTT. Il faut mettre fin à ce bluff de L'UGTT, qu'elle représente le peuple tunisien et qu'elle est en mesure de mobiliser la population tunisienne par un clin d'oeil, alors que les Tunisiens ne l'aiment pas du tout et n'ont aucune confiance en ses dirigeants.
Sans l'enfermement de L'UGTT dans son unique rôle de syndicat, n'étant responsable que de ses propres adhérents qui lui paient leurs cotisations, comme c'est le cas en Allemagne et partout dans les pays avancés, la Tunisie ne réussira jamais son élan économique ni sa transition démocratique.
Vive la Révolution tunisienne.
C'est eux qui sont responsables de la détérioration des conditions de travail .
Ils veulent une réforme du système qui leur permettrait de travailler moins et de gagner plus
Il demandent la criminalisation de l'agression des enseignants pas seulement dans les écoles où ils n'y sont que rarement , mais aussi ailleurs et dans les terrasses des cafés où ils trainent à longueur de journée.
Les pouvoirs se sont toujours monté frileux face à eux , si les parents d'élèves ne se mobilisent ,
s'en fini de l'école public .
Toutes les occasions sont bonnes pour ne pas travailler
Une partie du corps enseignant est une honte
Ils tiennent en otage les enfants
Aucun sens de la responsabilité