
La Dynamique féministe, regroupant plusieurs associations, a organisé, vendredi 7 octobre 2022 à midi devant le siège central de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), un rassemblement de protestation pour exprimer leur attachement aux acquis de la révolution et en particulier la parité et l'égalité des droits et des devoirs.
Cette initiative comprend une dizaine d’associations notamment l'Association tunisienne des femmes démocrates (ATFD), l’association Beity, l’association Aswat Nissa, l’association Tawhida Ben Cheikh, l'Association des Femmes Tunisiennes pour la recherche sur le développement (AFTURD), l’Association femme et citoyenneté du Kef, l’association Amal pour la famille et l'enfant, l’association Joussour de citoyenneté du Kef, l’association Calam et la Ligue des électrices tunisiennes.
Au cours de cette manifestation, plusieurs slogans ont été levés notamment : « Nous sommes des citoyennes à part entière, nous n'accepterons pas d'être de simples marraines », « Nous sommes des citoyennes à part entière, nous n'accepterons pas une législation qui nous exclut et des procédures qui nous bannissent », « Nous ne sommes pas des compléments et nous ne serons pas un décor de cette mascarade ».
Rappelons que ces associations avaient dénoncé l’éviction des femmes du processus électoral avec la non-imposition de la parité dans la nouvelle loi électorale. Elles ont réclamé la révision de la loi électorale afin de garantir la parité homme/femme dans toutes les prochaines étapes électorales.
Pour elles, l’adoption du principe de parité entre les deux genres a été décisive pour imposer la femme dans le milieu politique dans une société patriarcale, concrétisant l’égalité et l’équité des chances entre les deux sexes. Et l’abandon de ce principe à cause du scrutin uninominal, sans la mise en place de garanties permettant aux femmes une participation large et effective représente une grave violation des dispositions de l'article 51 de la nouvelle constitution, toujours selon eux.
Les signataires estiment que les femmes seront exclues et ne pourront pas être élues.
I.N



'professeurs' à l'exception de quelques uns (KHRAIFI, RSAISI,GAIDI,...) ne sont pas neutres ,ni idéologiquement ,ni politiquement ,et sont meme réactionnaires, ont été MUETS lors de la décennie NOIRE, et leurs LANGUES ne sont DENOUEES qu'après le 25 JUILLET.ET KAIS SAIED n'a pas le temps d'écouter leur bavardage vide, inutile et parfois hypocrite .
EL ARRAFA KHALTEK JANNET m'a téléphoné et m'a dit qu'elle a vu BILKARTA WO BILFINJAN que le pourcentages des femmes qui seront élues le 17/12/2022 dépassera celui de 2019. Moi je crois KHALTEK JANNET et je ne crois pas les professeurs de droit (Sauf KAIS SAIED, kraifi, Rsaisi et Gaidi,.....) et les associations Dynamique féministe, ATFD,ATIDE, ELBAWSALA ,MOURAKIBOUN,I WATCH et celle de la civilité de l'état.
Comme le disait la grande momie El G.33..r de Nida BCE : Mè illèhè illè Mra !
Pourquoi les femmes n'ont-elles pas compris que le chemin vers le pouvoir passe nécessairement par la création d'un parti politique principalement pour les femmes, après tout, les femmes ont une majorité certaine dans le pays. Mais il semble que nos femmes n'ont pas la confiance nécessaire et croient encore (quelle naïveté !) que les hommes feront de la bonne politique pour les femmes !
Le chemin de l egalite se batit pied a pied chaque matin dans la facon de se faire respecter quelle que soit sa tenue vestimentaie dans la facon d elever vos filles a l egal de vos garcons dans votre couple dans votre travail ne jamais courber l echine et bien sur faire corps toutes femmes confondues un parti des femmes pourquoi pas tous les moyens sont bon pour contrer la charia rampante de ks et acceder a la liberte toujours fragile