
La Confrérie des Frères musulmans a condamné, mardi 18 avril 2023, l'arrestation « du grand penseur islamique, président du Parlement tunisien et chef du parti Ennahdha. Rached Ghannouchi » et a demandé sa libération immédiate.
L’organisation transnationale islamique, dont Ennadhha se trouve être l’une des ramifications, a affirmé que l'acte de s'en prendre à une figure intellectuelle et politique de plus de 80 ans, pendant le mois de Ramadan, constitue un nouveau crime qui s’ajoute à la liste noire de ceux qui se sont retournés contre la volonté de leur peuple.
« Les pratiques répressives et autoritaires qui ont suivi les coups d'État dans la région arabe ne produisent que de tels crimes qui ne font pas de distinction entre musulmans et non-musulmans, entre vieux et jeunes. Le jour viendra où les peuples trouveront leur volonté et leur voie démocratique », indique la confrérie dans son communiqué.
Rappelons qu'une brigade sécuritaire avait arrêté le chef du mouvement Ennahdha, lundi 17 avril 2023, suite à un mandat d’arrêt émis à son encontre par le ministère public près le pôle judiciaire antiterroriste.
S.H

Fréros vous revez les yeux ouverts , ce jour ne viendra jamais , vous passer d'un echec vers un autre car vous avez du sang sur vos mains ; depuis 1920 vous n'avez réussi qu"à détruire l'islam et les pays musulmans. Vous êtes une création britanique vous n'avez jamais été des patriotes ou des musulmans vous êtes les pions de votre créateur britanique .
Tu es né terroriste, tu crèvera terroriste.
Allah yerham chouhadè el watan tombés sous la théocratie du kherriji & Co
Conférer à Ghannouchi le privilège, il n'y a pas d'autre mot, de "grand penseur islamique", est burlesque, ridicule, grotesque en sus d'être une insulte à la pensée.
Et à l'islam qui connut son heure de gloire, porté par la puissance des idées, la hauteur de vue en même temps que la recherche savante de véritables penseurs.
Cette confrère est une hérésie, une menace à la paix civile, une infamie pour l'esprit.
Il convient de l'interdire en ce pays.
Il faut regarder ce que disent et pensent les gens "du commun" i. e. les citoyens ordinaires à l'occasion de l'arrestation de ce minuscule pour voir clair.
Ils fêtent l'événement.
Moi, en citoyen, je goûte l'instant. Mesure le chemin parcouru.
Et ce qu'il reste à faire.
Mais, je ne bouderai pas mon plaisir, sans colère, ni haine.

