
Le dirigeant nahdhaoui et ancien ministre des Affaires religieuses ,Noureddine Khadmi avait entamé depuis, jeudi 18 août 2022, un sit-in à l’aéroport Tunis-Carthage en raison de son interdiction de voyage. Il avait expliqué que l'interdiction de voyage n'émanait pas d'un tribunal et qu'il contestait la légalité de la chose.
A la date du 21 août 2022, Noureddine Khadmi a indiqué qu'une interdiction de voyage avait été finalement émise par un tribunal judiciaire. « Un agent de police m'a annoncé aux alentours de 22h30 du soir que je faisais l'objet d'une interdiction judiciaire de voyager. Il m'a demandé de me présenter devant le ministère public », a-t-il écrit.
Noureddine Khadmli s’est interrogé sur le timing de cette annonce alors que depuis 37 jours aucune partie officielle ne lui a signifié qu’il y avait une procédure judiciaire le visant. De ce fait il a déclaré qu’il interagira avec cette décision selon la loi.
Le Nahdhaoui a aussi affirmé qu’on lui a intimé de quitter l’aéroport et que sa présence était illégale.
Il a ainsi indiqué qu'il avait le droit de rester dans l'aéroport puisqu'il s'était installé dans un café se trouvant à l'intérieur de l'immeuble et que ni lui ni sa famille n'avaient perturbé le fonctionnement de l'aéroport. Il a, également, affirmé que son état de santé s'était détérioré.
Samedi 20 août, le ministère de l'Intérieur a annoncé que l'affaire est liée à une interdiction de voyage judiciaire.
S.G
Lorsqu'ils prétendaient devenir la Suède et que je leur prophétais plutôt un Djibouti, j'avais alors douze années d'avance sur la "populace" instruite, que seuls Bourguiba et Ben Ali avaient su utiliser et en tirer quelque chose, allant jusqu'à en faire des célébrités scientifiques connues et reconnues dans le monde entier.
C'est l'ingratitude de ces derniers qui m'avait alors assuré le gouffre dans lequel allait s'enfoncer le pays; Dieu n'aimant pas les ingrats. Mais rien ne sert de vous rappeler tout cela, il suffit de lire, relire, et contempler mes écrits, ainsi que ceux de Feu John Wayne depuis 2011.
Douze années plus tard, les "anciens idiots" sont quasiment tous devenus des Léon(s), certainement la mort dans l'âme; eux qui avaient tant espéré dans la Sacro-Sainte et la Bénite "Révolution", comme ils avaient jadis l'outrecuidance de la qualifier.
Sans cette population de traitres et d'ingrats, le plan atlantiste aurait échoué, car la proximité de la vielle Europe n'aurait pas supporté que les américains détruisent la Tunisie, comme ils l'ont fait en Syrie; rien que pour satisfaire les déjections nerveuses de certains cousins, impatients de voir s'accomplir leur Grand Projet. Une fois Al Irak et Echam détruits, ils savent très bien que la résistance allait se dresser d'Al Fors, de Misr et d'Al Maghrib et à sa tête Ifriqya et sa capitale antique Carthage (sans oublier ses capitales musulmanes, Kairouan pour le monde sunnite, et Mahdia pour les Chiites). Je viens de vous tracer là, les frontières des arabes Libres et non des esclaves de Sykes-Picot.
Mais passons outre ces considérations géographiques et parlons plutôt de la lapidation systématique de Ennahdha et de ses dirigeants. Les tunisiens, qui avaient été injustes envers Ben Ali, jettent aujourd'hui leur dévolu, mais l'échec de leur révolution, sur les islamistes. Comme si c'était moi qui avait voté Ennahdha et pas eux. Comme si les "zéro virgule" ne savaient pas que leur appui inconditionnel à la démocratie n'allait pas faire émerger Ennahdha, comme si Yassine Brahim n'avait pas été le premier à féliciter le Cheikh pour la victoire écrasante de son parti pour les élections de l'assemblée constituante en 2012, comme si, comme si, comme si.....
Et si je cite Yassine Brahim, ce n'est pas que je lui reproche quoi que ce soit, mais tout simplement pour vous dire que, même le parti d'intellectuels et de technocrates, avait jadis accepté, avec un prétendu "esprit sportif", les résultats des urnes tunisiennes. Ces urnes où les tunisiens sont parti uriner sur notre sempiternelle Ifriqya. Leurs urines nauséabondes qui rappellent au fraichement soixantenaire que je suis, des odeurs qui marquent définitivement l'esprit, celles des urinoirs publics des années 70, lorsque je n'avais même pas dix ans.
Les partis islamistes ont de tout temps été utilisés par les ennemis de l'Islam et du monde arabe, et sortis du manche des atlantistes comme dernier recours pour faire chuter les états forts du monde arabe et musulman.
Ce qui s'est passé en Tunisie n'est rien d'autre que ce qui s'était passé en Iran en 79, à cette différence près: c'est que les islamistes tunisiens n'ont pas dressé des potences. Et dire que c'est un notable, profiteur ingrat de l'ancien régime (dont je ne citerai pas le nom par charité chrétienne, ou plutôt musulmane), et qui fut à l'origine de l'assemblée constituante, qui avait, d'une manière elliptique, appelé à dresser des potences. Dieu merci pour lui, personne ne l'avait écouté; pas même les islamistes.
Ennahdha est un fusible que l'on fait sauter dans le but de cacher les vérités. La haine excessive, souvent complètement injustifiée, des tunisiens envers Ben Ali a mené le pays dans la ruine actuelle. La haine de ces mêmes tunisiens (et j'étais sûr que cela arriverait un jour) envers les islamistes donnera les mêmes résultats. On ne corrige pas une erreur par une autre. Cessez donc de stigmatiser les gens pour justifier vos propres échecs et allez de l'avant; cela vaudra mieux pour tous. Léon s'était-il trompé une seule fois? Alors suivez mon conseil.
Ben Ali, à qui vous reprochiez jadis ses excès contre les islamistes, allant jusqu'à le qualifier de dictateur et demander son départ pour cette raison; applaudissant sa chute, en bon peuple de traitres, en même temps que BHL et que le congress américain, avait foutu la paix aux islamistes une fois la guerre civile algérienne terminée. Seriez-vous plus dictateurs que celui que vous traitiez de dictateur. Traitez, comme tout autre contribuable, ceux qui parmi eux ont des "affaires" pour les délits dont il sont responsables, et non pas en tant qu'adhérents pour un parti autorisé. S'il y a des choses plus importantes, comme l'envoi de nos enfants en Syrie, faites vos recherches avant de jeter la pierre. D'ailleurs où en sont les affaires Belaid et Brahmi?
Il y a des fois où je me demande ce que je fais dans un tel peuple. Des ministres en taule, des hommes politiques interdits de voyage, un pays déjà dans le mur..; mais où allons-nous Bordel de Merde? Ce qui s'est passé n'est ni l'échec de Ennahdha, ni de Afaq, ni de Al Jouhouri, ni de la gauche, ni, ni...., il s'agit de VOTRE échec collectif, aussi bien que votre trahison à votre pays fut collective!
Assumez et construisez sur des bases saines au lieu de passer votre temps à jeter la pierre aux autres. Arrêtez de construire sur de la haine, de la jalousie, du régionalisme et de l'ingratitude. Ils vous ont déjà fait assez de mal. Que Dieu vienne au secours de vos coeurs malades.
Léon, min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Et puis vint Kaissoune, notre intègre et patriote président sans peur ni reproche !!
Là, ce fut la panique.
Une grande partie des pingouins de la place avaient commencé à sortir "discrètement" du territoire.
Qui, me diriez-vous ?
Eh ben, ce sont les plus pourris des pourris, qui sont conscients de la gravité de leurs actes, durant la période anarchique ou ils excédèrent une activité politique.
Ils paniquent, ils balisent, ils saignent du nez et des oreilles.
Ils ne se font aucune illusion sur leur devenir s'ils ne s'exilent pas, , bi koudrite illéh !!!
Rabbi fi él oujoude, ya klébe, ya soukkate, yali mè tkhafouch mine Rabi, soubhanou wè ta3ala !!!!!
Vous allez en baver.
Il n'a pas la conscience tranquille.
Tous les torts qu'il avait causé à de pauvres gens et aux caisses de l'état, sont remontés à la surface.
L'heure de payer l'addition est là, ya klébe, yè soukkatte !!!!!!!!!!!!!!!!
Aller, un peu de courage.
Durant ton investiture, tu te croyais être devenu invincible, un Dieu en quelque sorte, n'est-ce pas !!!
Ca, c'est Rabbi qui t'avait aveuglé !!!!!
Rien n'est éternel, tout est éphémère ya tammé3e
Du jamais vu, en 2022, en Tunisie, on invente une nouvelle justice de l'ombre.
C'est incroyable, dans ce pays, on condamne un citoyen sans savoir ce qu'on lui reproche, sans qu'il soit présent à l'audience, sans qu'il soit représenté par son avocat,...
De surcroît, on ne l'informe pas du jugement ou de la condamnation.
Il peut même être recherché sans connaître le pourquoi du comment.
On appelle cela la justice SOUTERRAINE, INVISIBLE,...
C'est inadmissible et inacceptable.
La Tunisie n'est plus un état de droit où le citoyen est traité comme un vulgaire sujet voire un minable matricule pour les statistiques.
Depuis un an, le pouvoir transgresse les principes républicaines.
Le pire, le citoyen ne sait plus qui gouverne ni à qui doit s'adresser en cas de problème du quotidien.
Depuis un an, le pays est en arrêt.
Depuis un an, le pouvoir Kaiessien agit au nom du peuple mais en réalité il agit contre les intérêts, les attentes et les droits de ce peuple désabusé.
Mais le plus inquiétant dans tout ce flou et ses agissements intolérables c'est le fait que le pouvoir décide et condamne le citoyen à son insu.
Il peut-être même déclaré en prison voire décédé sans qu'il en soit au courant.
Quant à l'appareil policier, il a repris sa noblesse d'antan en défiant toutes les lois et les usages universelles.
Cela, est évident, la dictature s'est réinstallée à nouveau au détriment d'un mince espoir de renouveau et de démocratie.
Entre-temps, le pays se vide de sa jeunesse et de sa force vive.
Le pays est entrain d'être dépouillé de son capital humain le plus performant dans l'indifference totale.
La peur commence à s'installer dans la cité.
Il faut le dire haut et fort, la Tunise n'avance plus et la situation devient un calvaire pour tout ce qui constatent que la contre-révolution a balayé tous nos acquis de liberté et de dignité, produit d'un long combat contre la tyrannie et l'asservissement.
C'est ce que je crois que.
Saied doit accélérer la cadence s'il a bien la volonté de poursuivre ces criminels et ces escrocs .