Intervenu dans la Matinale de vendredi 17 juillet 2020 sur les ondes de Shems FM, Jaouhar Ben Mbarek, conseiller auprès de la présidence du gouvernement chargé du dossier El Kamour, est revenu sur la protestation sociale qui secoue, actuellement, la région de Tataouine.
Des sit-inneurs d’El Kamour ont, en effet, fermé la station de pompage sur le site pétrolier de la région en dépit de la présence de l’armée sur les lieux.
Les protestataires exigent l’application de l’accord d’El Kamour signé en 2017 par Imed Hammami – alors à la tête du ministère de l’Emploi – , le gouverneur de Tataouine, et le représentant des sit-inneurs d'El Kamour accompagné de Taher Sekrafi, père du jeune décédé, Anouar Sekrafi, après de longues négociations et une médiation du secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi.
Précisant que l’accord d’El Kamour avait été honoré à 70%, Jawher Ben Mbarek a souligné que cet accord de résoudrait pas les problèmes de la région. Le plan de développement a atteint ses limites et l’Etat n’a pas de vision pour le développement régional, selon Jaouhar Ben Mbarek.
Il a indiqué, dans ce sens, qu’il travaillait sur une nouvelle vision pour remédier aux problèmes d’El Kamour à travers des solutions concrètes et réalisables.
Le conseiller auprès de la présidence du gouvernement n’a pas manqué de tacler les gouvernements sortants avançant qu’aucun n’avait essayé de trouver des solutions en révisant le modèle de développement. « On n’a fait que gérer les crises sans trouver des solutions », a-t-il affirmé.
Rappelant qu’il s’est adressé aux sit-inneurs d’El Kamour pour leur signifier que l’escalade n’était dans l’intérêt de personne, Jaouhar Ben Mbarek a assuré que le plan du gouvernement était en cours de finalisation et que le conseil régional se tiendrait comme prévu, sans préciser de date.
« La politique de rafistolage n'est d'aucun intéret pour Tataouine », a-t-il noté appelant les sit-ineurs à faire preuve de compréhension de par la complexité de la situation économique et politique du pays.
N.J.
Il y a des régions totalement vertes en Tunisie et où les gens n'ont pas à manger. Mais enfin, élevez des lapins, faites un poulailler, plantez des tomates dans des pots à l'abri du soleil, plantez des amandiers, faites un coin composte comme enrichissant naturel.
Fabriquez des chaussure à la main, fabriquez des masques de protection d'une façon artisanale pour le marché de la semaine, prenez vos douches avec du savon à base de l'huile d'olive afin de réutiliser cette eau pour arroser vos plantes, ...
faites travailler ceux qui veulent pour la construction de pistes cyclables, minimiser l'importation des voitures et construire des fabriques de production de vélos (même avec les méthodes classiques de forgerons)...
construire des piscines en polyester à des prix dérisoire afin de permettre aux Tunisiens de se relaxer, et ceci finit par créer de l'emploie...
Je pourrais faire sortir la Tunisie en moins de 6 mois de la "merde" et redonner aux Tunisiens la joie de vivre...
Les amazighs n'ont jamais été un peuple unifié et encore moins une civilisation , ce n est tout juste qu un ramassis de ripoux qui vole ce qu il trouve au jour le jour
Durant la période de gouvernance de la maudite troika, la stabilité du pays avait été méticuleusement rangée dans la remise.
Les membres de cette coalition, insatiables affamés congénitaux, s'étaient exclusivement affairés à piller les caisses de l'état dans une frénésie jamais observée depuis l'apparition d'Adam et Eve.
Alors pourquoi la situation ne fait que se détériorer depuis, et cela à tous les niveaux?
Parce qu'il n'y a plus de patriotes au blédistan !!
Gagner les élections et profiter des largesses du pouvoir, est l'unique but de tous les gardiens d'étables et d'écuries, sortis du néant en 2011.
Le désordre est leur unique assurance vie
A chaque fois que quelqu'un osait s'attaquer à l'anarchie régnante, les parasites consanguins ayant massivement envahi la basse-cour nationale, sabotaient automatiquement l'initiative.
Y être complice, était synonyme de perdre des voix, lors des échéances électorales.
Casser du manifestant qui met en péril toute l'économie d'un pays, est devenu au fur et à mesure, un sujet tabou.
Plus l'état recule, et plus la ferveur des saboteurs prend de l'ampleur.
Tant que le bâton purificateur demeurera au congélateur, la force d'attraction du chaos ne cessera de s'amplifier.
Appelons un chat, un chat.
Nous sommes à des années lumière des vertus des droits de l'homme.
Nous ne savons pas encore ce que c'est.
Dans le schéma de l'évolution de l'homme, nous sommes encore perchés dans les arbres.
Inutile de se voiler la face. Les faits sont là.
Sans ligne rouge, l'animal à apparence humaine que nous sommes, aura tendance à devenir un prédateur sans foi ni loi.
Le bien de la NATION, prime sur tout le reste.
Honneur et respect à celui qui renversera la vapeur, en éliminant sans vergogne aucune, les instigateurs de cette anarchie rampante.
Et qu'ont fait ces coûteux militaires, ils ne peuvent même pas assurer une petite station de pompage
