
Le Conseil ministériel réuni, mercredi 1er juillet 2020, pour discuter de la situation des sit-inneurs d’El Kamour dans le gouvernorat de Tataouine, a décidé de recruter 500 personnes avant la fin de l’année en cours, de pallier les obstacles relatifs au fonds d’investissement de la région et de débloquer, via la Banque tunisienne de solidarité (BTS), des fonds supplémentaires au profit des institutions de microcrédit.
Le Conseil a également approuvé la tenue d’un conseil régional extraordinaire pour l’investissement au siège du gouvernorat de Tataouine dans les jours à venir.
Il a souligné, également, que l’Etat s’engageait à honorer ses promesses sur l’employabilité et le développement suivant une nouvelle approche basée sur les projets structurels et les opportunités qu’offre l’économie sociale et solidaire.
Des décisions qui n’ont pas su convaincre le comité de coordination d’El Kamour. Son porte-parole, Khalifa Bouhouech, a qualifié ces décisions de décevantes et a assuré, dans une déclaration à Business News, que le comité publierait un communiqué afin d’expliquer sa position.
Il a également indiqué, que les habitants de Tataouine tiendraient un sit-in du côté du champ pétrolier de Nawara pour exprimer leur mécontentement.
N.J.

D'autant plus qu'ils ont des rentrées dargent fixes à Tunis la maudite et massacrée capitale.
Trouver leur une solution pour "attiser le feu" et pour qu'ils vous élisent lors des mefoslatoves pour leur permettre dacceder à la caricaturale assemblée representative du peuple ( ARP) et de devenir des richards et des nababs par les diverses possibilités darnaques qui s'en suivront.