
Les autorités de la préfecture de police de Padoue (nord de l'Italie) poursuivent leurs opérations ciblant les personnes en situation irrégulière sur le territoire. Selon les médias locaux, 125 expulsions ont été exécutées depuis le début de l’année 2025.
Le 8 avril, deux citoyens tunisiens ont été arrêtés. Le premier, âgé de 46 ans, a été interpellé via Tommaseo pour trafic de drogue, avant d’être transféré au centre de détention provisoire de Turin. Le second, également en situation irrégulière, a été intercepté le même jour dans le centre-ville et conduit au même centre.
Sur les 125 expulsions recensées, 43 concernent des Tunisiens, ce qui place cette nationalité en tête du classement à Padoue. Suivent 25 ressortissants chinois, douze Nigérians, douze Marocains, six Algériens, neuf Moldaves, trois Albanais, deux Gambiens, deux Égyptiens et onze personnes d’autres nationalités.
Réagissant à ces chiffres, l’ancien député et activiste Majdi Karbai a souligné le paradoxe : bien que les Tunisiens ne figurent pas parmi les nationalités les plus présentes en Italie, ils restent les plus visés par les expulsions. Une réalité qu’il explique par « la nature des accords et mémorandums d’entente conclus entre la Tunisie et l’Italie en matière de reconduite forcée ».
M.B.Z

Il fait le poursuivre
Un sans papier doit être rapatrié
Ya Karbai, tu n'évolues absolument pas.
Tu ne cesses de voler, de plus en plus, en rase mottes.
Tu vas bientôt te crasher !!!
Ne crois pas que le fait de vivre en Italie en tant que réfugié politique, te protège absolument de tout rapatriement intempestif !!
Gare à la glissade. Elle ne prévient jamais.
Beaucoup plus probable: ce sont les pires en termes de délinquance et de violence.

