
L’ancien conseiller du président Béji Caïd Essebsi, Firas Guefrech a publié un statut ironique, vendredi 16 septembre 2022, pour épingler le nouveau Code électoral, notamment en ce qui concerne la représentativité des femmes dans la prochaine assemblée.
« Je constate plusieurs imprécisions et critiques du nouveau Code électoral, notamment, en ce qui concerne l’abaissement de la représentativité des femmes dans le prochain Parlement… C’est archifaux ! La représentativité de la femme ne sera pas réduite, mais elle sera complètement anéantie. Nous aurons le premier Parlement masculin au monde. Ceci est un exploit en soi, jamais réalisé même pas par les plus grandes démocraties. C’est le couronnement du militantisme des dizaines de générations d’activistes masculinistes et des associations de défenses des droits et des libertés des hommes… Félicitations pour nous, hommes de Tunisie et vive la démocratie. Cependant, nous ne devons nous reposer sur nos lauriers, au risque de voir une ou deux femmes s’infiltrer au prochains Parlement », indique Firas Guefrech, avec beaucoup d’ironie.
Rappelons qu’une dizaine d’associations a dénoncé, dans un communiqué commun, l’évincement des femmes du processus électoral avec la non-imposition de la parité dans la nouvelle loi électorale. Elles ont réclamé la révision de la loi électorale afin de garantir la parité homme/femme dans toutes les prochaines étapes électorales.
Ce point a été soulevé depuis la soirée d’hier par la présidente du PDL, Abir Moussi ayant estimé que le nouveau Code électoral réduit à néant les chances des femmes d’être présentes au prochain Parlement, tenant compte de la rigidité des conditions de candidatures et l’absence de mécanisme garantissant la parité.
S.H
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Pourquoi ?
Voyons, ... allez ... réfléchissez ... !
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Si la parité était exigée, cela EMPECHERAIT LA FEMME DE DEVENIR PLUS NOMBREUSE que les hommes, espece de cervelle a sens unique, que vous etes !
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Vous ne voyez pas les choses de facon objective, rationnelle.
Vous vous contentez juste de regarder a la limite du petit bout de votre nez.
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Bon sang, mais apprenez a maitriser une langue - et sa PARFAITE COMPREHENSION - avant de vous prononcer sur un texte dont - a priori - vous n'avez pigé que dalle.
Des Maya Jribi , il y en avait pas des tonnes , les autres on se souvient de leurs noms que parce
qu'elles étaient très en dessous de tout comme une certaine Toumia.
La Tunisienne a amplement sa place à tous échelons de la société à condition qu'elle y accède
par sa seule compétence et non pas pour féminiser le paysage .
Mabrouk 3linè El3èhdou Eljèdid, Wè Ecchaabou yourid!
à Tous les Zhéros (Héros) de la Tunisie post 25/7.......................
Que votre Dieu vous pardonne vos péchés d'émasculation contre les eunuques !
1/ Du temps de nos democrates", les députés se vendaient, au point qu'on a inventé une notion locale et spécifique, tourisme parlementaire;
2/ Du temps de nos donneurs de leçons, les chefs de Parti étaient élargis aussi vite su'incarceres, et sots obligation de se rendre aux exigences de Ennahdha.
Tel fut le ça de Karoui.... Et naquit la coalition Ennahdha/Kalb Tunis.
On voudrait d'autres exemples très des travaux et des jours de notre légende locale, Ennahdha et la démocratie, il y en a à la pelle.
Rappel general: les républicains, les vrais, ceux pour leurs idées donnèrent leur vie, avaient une haute idée de la République, de la démocratie, et parlaient de Vertu.
J'ai beau regarder, chercher, la vertu n'existe point.
La cohérence, aussi, notion qui n'a pas cours.
Ainsi, gens sans vertu, passez votre chemin.
Quand aux incohérents, il y a des structures pour les guider, soigner leurs blessures afin de leur éviter d'autres errements.
Ce n'est pas un discours à la con, comme durait un petit merdeux.
C'est propre, net, clair, et pas sale comme certains qui veulent jouer les propres, les mains dans la fange.
Saied énerve, met hirs de soi tous les excites du lucre, les compagnons des voleurs, des bandits qui ont fait fortune sur le dis de ce peuple victime de margoulins venus d'ailleurs, préparés sans doute pour servir des visées qui les dépassent.
J'arrête là par dégoût d'avoir à partager avec des obtus.
Mais, juste rappel.
Les voyous sont ceux qui crient au banditisme.
Cette absurdité de parité ferait bien de disparaître,c'est par sa valeur politique et ses qualités morales de citoyenne qu'une personne de sexe féminin devrait arracher la députation,tout autant que l'homme d'ailleurs,là est la vraie équité.
Cette zriba du putschiste ne sera pas représentatif de la diversité de la Tunisie, ni de celle du gendre, d'âge, de couches sociales, de métiers, de courants politiques, rien du tout, sauf les lahassas et la clique des riches entre autres les contrebandiers et les familles de la rente.
Mai qui veut être membre d'une chambre bidon.
Des élus sans pouvoir. Des élus qui auront le droit au mieux un avis .
Une gueguerre de fous.
Dans le nouveau Code électoral, il est dit que tout tunisien sous conditions identiques peut être électeur et éligible.
Je n'y ai lu aucune mention de nature à insinuer, disposer des exigences spécifiques pour les citoyennes.
Du reste, tout comme pour le cas des binationaux qui veulent laisser croire qu'ils seraient visés, alors que les dispositions les concernant peuvent se résumer à une exigence d'interdit de double allégeance.
Nonkbstant, les mêmes binationaux sont électeurs et éligibles, sous les conditions légales communes, dans les circonscriptions de keyrs résidences.
Ils sont électeurs tout court.
'?ligibles selon leur lieu de résidence, aussi.
De mon point de vue, il n'y a pas lieu d'inférer d'une ségrégation.
Ni à l'endroit des binationaux, ni des femmes.
Les parrainages exigés sans doute rendent la tâche ardue pour qui n'a oas de l'entregent.
Pas les moyens d'une puissance capable de rallier.
Mais, la bonne nouvelle, c'est la disparition du scrutin de liste.
Désormais, l'élu est réputé plus proche de ses mandants, avec l'obligation de résidence dans la circinsption où il concourt, il sera visible.
Un député, en principe est député de la nation, pas que d'une circonscription.
Et puis, c'est fini d'enfiler le populo sous l'étiquette d'un parti, d'une coalition, d'une idéologie..... Même si l'on peut se présenter sous le patronage d'une vision.
Ce qui est gênant dans ces oruses de position venues de gens qui n'ont pas plus défendu les femmes que d'autres, c'est la systèmaticité de l'opposition à tout ce que présente Kais Saied et l'absence totale ou presque de points de vue affirmatif, positifs en sa faveur.
Mais, ceci est une affaire ancienne.