
Le député et porte-parole du mouvement Ennahdha, Fathi Ayadi, a estimé qu’il est de son devoir en tant que représentant du peuple d’évoquer la situation par laquelle passe le pays ainsi que le parlement.
Intervenant sur les ondes de la radio Express FM le 8 septembre 2021, Fathi Ayadi a, également, expliqué que son collègue Oussama Khlifi et lui avaient été mandatés par le président de l’Assemblée des Représentants du Peuples (ARP) pour remplacer la délégation tunisienne qui devait participer à la réunion de l’Union interparlementaire.
Fathi Ayadi a considéré qu’il était libre de se déplacer et de s’exprimer. Ceci en réponse à l’hypothèse, présentée par Rebah Khraifi, qui estime que Rached Ghannouchi, Fathi Ayadi et Oussama Khlifi ont enfreint la loi et peuvent être poursuivis en justice. « Khraifi fait partie de ceux qui bloquent les horizons en Tunisie… Il procède à des interprétations qui déforment la réalité et en dehors de la Constitution », a-t-il précisé.
« Nous avions l’occasion d’y participer puisque nous nous trouvions à l’étranger… La délégation officielle ne pouvait pas quitter le territoire tunisien… La Tunisie est membre de cette union et a le droit d’y participer…. Cette réunion a porté sur des sujets importants tels que la participation des jeunes dans les parlements. Or, la crise en Tunisie résulte en partie de l’impossibilité aux jeunes de participer à la vie politique », a-t-il ajouté.
« La réunion a représenté une occasion pour expliquer au reste du monde ce qui se passe en Tunisie… Les autres délégations sont venues à nous puisqu’elles apprécient et respectent la Tunisie et son expérience dans la transition démocratique... Nous avons expliqué le gel des activités parlementaires et que nous trouverons une solution à travers les efforts fournis par les partis politiques et organismes tunisiens », a-t-il précisé.
Par la suite, Fathi Ayadi a critiqué l’appel au boycott de ce genre d'événement. « Décidons donc d’annuler l’adhésion de la Tunisie dans tous les organismes similaires ! Il ne faut pas aborder la chose comme si ça concernait uniquement le parlement actuel ! », a-t-il déploré.
Le député a, aussi, affirmé qu’ils n'ont peur ni des pays étrangers ni des autres acteurs nationaux. Il a estimé que la Tunisie doit conserver son ouverture à l’étranger et au reste du monde. Fathi Ayadi a, également, appelé l’élite tunisienne à engager un dialogue au sein d’elle-même. « Nous avons remarqué que le dialogue au sein de l’élite tunisienne est assez faible », a-t-il poursuivi.
Enfin, Fathi Ayadi a précisé qu’il ne comptait pas retourner en Tunisie pour le moment.
Pour rappel, les députés Fathi Ayadi et Oussama Khlifif avaient participé à la réunion de l’Union interparlementaire à Vienne
S.G
mais inchallah bientôt vous aurez le revers de la médaille, si l'un parmi vous était à ma place, il vendra le pays pour rien , vous savez les islamistes, vous avez sali l'image de l'islam aux yeux de monde entier
Avez-vous le minimum de dignité et du respect.
Il faut peut finir par des coups de pieds aux f.....
Vous devez rendre compte de vos faits et gestes tôt ou tard.
Hé hé hé tu n'as pas le courage sale bayo3, tu te caches derrière ta deuxième nationalité ya sbaihi lefransis ya mtoren.
Mais on se demande : pour combien de temps encore ?
On pensait les députés gelés, il nous annoncent le dégel et nous disent qu'il y aurait une voix, une loi plus haute dont ils s'autorisent.
Le président d'un parlement mis en congé aurait une légitimité plus grande que la Loi.
Avec les pervers, au sens psychanalytique, tout procéde d'eux. Ils sont la loi. Tout doit satisfaire leur propre loi.
On se rappelle la formule de Makhlouf face à la la Paf de Tunis-Carthage.
Ce commis chargé de faire la promotion et vendre un produit de confection douteuse dont la manufacture déclarée en faillite tente encore de survivre espérant des rentrées capables d'apurer le solde.
On ne songe pas liquider toute l'infrastructure. On promeut l'option de faire du neuf sans changer les machines, ni le staff des concepteurs.
Ce député affiche une foi sans nuance et parle de liberté. Il confirme tout ce que nous connaissons des partisans de cette mouvance.
D'ordinaire, un député a le souci de ses électeurs et plus globalement du citoyen, puisqu'il est dit député de la République.
C'est leur survie qu'ils tentent de garantir.
Pour réussir cette opération, tous les petites combines, les ruses, les calculs sont requis.
'? cette aune, nous savons qu'ils en savent un rayon, et les preuves de leur habileté à ces exercices ne sont plus à rapporter.
Leur erreur réside dans le principe même de leur choix. Ils ont louvoyé, ont appelé à la rescousse les amis puissants, répandant la rumeur que le pays serait sous la coupe d'un dictateur fou... Tout cela et bien d'autres ficelles n'ont pas suffi pour leur octroyer un retour au status quo ante, et ils demeurent interdits au sens extensif du terme.
Alors, ils jouent leur ultime carte. Légitimité contre légitimité. Ou formulé plus clairement, la guerre.
Certes, ils ne disposent plus de l'armada es premiers temps, ni de celle de leur ancienne grandeur. Alors, la guerre de tranchée ferait l'affaire. La guerre non conventionnelle.
On sait, aussi, qu'en cet art ils ont une certaine maîtrise. Des années durant, l'on mania la bombinette, fabriqué des armes et de main d'homme au sein de quelque repaire on s'était mis à l'assemblage de cocktails tueurs.
Cela forge l'expérience, soude les amitiés et forme le caractère.
De ce côté de l'amitié et de la solidarité, il semble que cela pèche par insuffisance de vertu. Les fissures sont de plus en plus voyantes, et les abandons font nombre. Quant aux hésitants, on saura...
Restent les "purs", les déterminés ou bien ceux dont le c.v. est en soi un réquisitoire.
Ceux-là forment le dernier carré, la garde prétorienne du voyou en chef qui ne partiront qu'avec lui et en même temps, dans la même fournée.
C'est pourquoi, ils sont commis. Leur style peut se réduire à manipuler le verbe. Tels les sophistes, ils ne parlent point pour dire quelque chose de ce qui est, ni pour partager une part de connaissance, ils pervertissent les mots, les tordent en vue non point de convaincre, mais pour gagner sur l'autre.
Ils faut le leur dire, nous autres sommes désormais affranchis.
Le spectacle de tant d'années nous a beaucoup appris sur les autres, surtout sur les islamistes.
Aussi, sur nous-mêmes.
Nous savons maintenant qu'ils nous y reprendront point.
Il faut le leur enseigner.
L'histoire vous jugera
Rien à dire, ces islamistes sont vraiment dans le déni le plus avsolu.
Meskina Tounes. Ses enfants en sont arrivés à la trahir
Pour Khelifi le problème est différent et plus grave.
Oups : il a quand même parlé trop vite ! Son Ouistiti de compagnie va l'accuser d'avoir mis par terre un pan entier de sa com', et de ses pleurs...
Une règle d'or à observer en toutes circonstances : ne jamais parler trop vite, surtout si on tient à se faire entendre !
Un assassin de la secte des assassins nous parle de "liberté" !!!
Qui a tué Chokri BELAID ?
ta présence en Autriche est une violation aux mesures prises par le président de la république
Votre absence a la reunion aurait donner un resultat positif qu avec votre presence Mais e mal est fait
Surtout avec cet exanimateur
d hotel qui fait de la politique de beni oui de son grand Sheikh


