
Le dirigeant nahdhaoui, Rafik Abdessalem a annoncé tard dans la soirée du jeudi 10 novembre 2022 que le chef du mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi, avait été laissé en liberté par le juge d’instruction à la suite de son audition en tant que suspect dans l’affaire Instalingo. Le juge d’instruction a, également, décidé l’interdiction de voyage pour le chef du mouvement.
« Libération de Ghannouchi alors que Kaïs Saïed est resté prisonnier des murs de son palais, rongé par sa haine aveugle et détruit par son isolement à cause de sa mauvaise foi », indique Rafik Abdessalem, gendre de Rached Ghannouchi en commentant la décision du juge d’instruction près le Tribunal de première instance de Sousse.
Rached Ghannouchi a comparu, en tant que suspect, devant le juge d’instruction près le Tribunal de première instance de Sousse dans le cadre de l’affaire Instalingo dont les suspects sont accusés d’attentat ayant pour but de changer la forme du gouvernement, d’inciter les gens à s’armer les uns contre les autres, à provoquer le désordre, le meurtre et le pillage sur le territoire tunisien, conformément aux articles 67, 68 et 72 du Code pénal.
Cette affaire a éclaté en septembre 2021 quand sept personnes employées par une société de production située à Kalâa El Kobra dans le gouvernorat de Sousse ont été arrêtées sur fond de suspicions d’atteinte à la sûreté de l’Etat. Six des prévenus avaient été placés en détention préventive, sur ordre du Parquet, puis ont été auditionnés et relâchés par le juge d’instruction. Trois autres suspects se trouvant à l’étranger ont, eux, été placés sur la liste des personnes recherchées.
S.H

Tout être humain possédant un minimum d'intelligence et de facultés mentales, pourrait leur identifier leurs faux pseudonymes à travers la subjectivité comportementale de leur langage. Un langage en contradiction totale avec la réalité qu'on vit tous, en Tunisie comme partout où on va sur ce globe terrestre.
A titre d'exemple, quel Tunisien aurait jamais vu un «islamiste» de toute sa vie, même dans les Mosquées?
Jamais, jamais et mille fois jamais. S'il y a ceux qui pensent pouvoir reconnaître les «islamistes» par la barbe, par le Kamis ou par le burqa, donc pourquoi ils appellent ceux d'Ennahdha et d'Al-Karama des «islamistes», bien qu'ils portent des costumes et des cravates, comme ceux que le Saffah Sissi d'Egypte les massacre et les emprisonne, afin que le peuple égyptien ne les élise pas de nouveau?
Regardez ce qu'ils font contre la réussite de la Turquie d'Erdogan, contre l'arme nucléaire d'Iran et du Pakistan et contre même la réussite de l'Indonésie et des 200 millions de Musulmans en Inde. Toujours le même scénario, toujours les mêmes sabotages et toujours les mêmes intrigues. Ils encouragent les Hindous à boire l'urine des vaches et à se baigner dans leurs excréments, alors qu'ils incriminent les Musulmans indiens, parce qu'ils se lavent à l'eau courante et qu'ils prient au Créateur Allah le Tout Puissant. Des injustices criantes qui ne pourront jamais perdurer. La guerre des Russes contre l'Ukraine, l'expansion de l'Islam et l'énorme probabilité d'une guerre nucléaire autour de leurs contrées, n'appartiennent pas au hasard. La sentence du Tout Puissant ne pourra encore trop tarder.
Allahou Akbar.
Dommage que BOURGUIBA n'est pas allé au bout de de ses convictions.
Le pardon et l'humanité ne font pas partie des valeurs de cette HORRIBLE secte.
Dommage que LA REVOLUTION 2011 DIGNITE ne soit pas allé au bout de de ses convictions en les jugeant définitivement. bzz bzz
Ni le pardon, ni l'humanité, encore moins l'honnêteté intellectuelle ne font pas partie des valeurs de cette HORRIBLE secte de complexé.e.s irrécupérables pour pas mal.
bzz bbz bzz à la ruche ouste !
Des islamistes mis en cause dans des affaires criminelles font l'objet d'investigations.
Or, presque dans tous les cas la même opération se déroule. On crie à l'injustice et on rameute les partisans, les gens qui ont partie liée avec la mouvance, pour mener la contre-offensive ne reculant devant aucun excès, aucune ruse, criant à l'injustice avant que celle-ci ne prononce la moindre sentence, dans le but évident de l'en empêcher puisqu'on déclare sans autre considération le mis en cause innocent.
Procédé en tous points opposé aux règles élémentaires en la matière, logique fallacieuse puisque l'effet devient la cause et le retournement aboutit à orienter l'attention sur tout autre chose que le motif de la poursuite.
L'événement ainsi fabriqué transforme, pervertit les faits faisant du mis en cause une victime et de la justice un instrument de puissance aux mains du pouvoir.
Et comme nos faussaires ne sont pas à une contradiction près, cette justice dont ils font leurs choux gras la "défendant" avec l'insistance de l'intéressé est insultée, niée, outragée afin d'en ternir l'image et y faire naître le soupçon.
Dans ces conditions, confier à un juge d'instruction résidant en un tribunal ordinaire de province la charge de requérir ressemble à une erreur de casting.
Ghannouchi et ses affidés doivent être présentés devant un tribunal spécial, composé de magistrats triés sur le volet à raison de leur expérience, leur capacité d'autonomie, leur courage si l'on a en tête de leur faire rendre des comptes de leurs crimes et forfaits.
C'est si évident que nous avons assez de preuves que cette institution est sous influence de cette mouvance.
Voilà des années que dure cette tragi-comédie.
Il est temps qu'elle cesse si l'on veut rétablir un semblant de paix civile et redonner à cette justice un peu de confiance.
Le marabout de Carthage: 0
Vivement le prochain match.
Bhama saffi.

