Dernières news
Droit de réponse de la famille de Ridha Grira

{legende_image}
Concernant l'article publié par votre journal le 13 janvier 2014 et intitulé: "Ridha Grira malade imaginaire ou cancéreux en stade final", il y a lieu de corriger certaines informations incorrectes parues dans cet article :
1) Concernant la "maladie imaginaire" de Ridha Grira, il y a lieu de mentionner que Ridha Grira a été ausculté dans sa cellule par plusieurs médecins spécialisés civils et militaires et son dossier médical est édifiant à ce sujet. Le fils de Ali Seriati n'a aucune qualité ni qualification pour apprécier l'état de santé de Ridha Grira d'autant plus que cette personne est connue pour son acharnement contre lui et sa haine profonde et exécrable. Il y a tout un dossier médical auprès des services pénitenciers et judiciaires. Il appartient maintenant aux juges de se déterminer sur la base de ce dossier médical. Nous estimons qu’au vu de l’état de santé de Ridha Grira, la propagation de telles rumeurs ne fait que porter atteinte au malade et aux membres de sa famille.
2) S’agissant des "rumeurs les plus folles... et les snipers le 14 janvier...et le climat de panique qui régnait sur le pays", Ridha Grira, en tant que Ministre de la Défense pendant ces faits, a assumé pleinement ses responsabilités pour protéger les personnes et les biens publics et privés et l'institution militaire est à féliciter pour le rôle qu'elle a joué et n'assume aucune responsabilité dans la propagation de certaines rumeurs. L’origine de cette manipulation remonte à la publication, fin 2011, d’un article dans un journal étranger (Mediapart) qui a fait une traduction fallacieuse des Procès-Verbaux d’instruction de la justice militaire. Il est à noter qu’il semble exister un certain lien entre le journal en question et la famille Seriati.
3) Enfin, en ce qui concerne le qualificatif selon lequel Ridha Grira "n'est pas révolutionnaire et qu'il cherche à se défaire de ses responsabilités", il faut préciser que Ridha Grira ne s’est jamais vanté d’être révolutionnaire. Il était ministre légaliste et responsable, et a toujours placé l'intérêt de la Tunisie et la sécurité des citoyens au-dessus de tout en assumant jusqu'au bout ses responsabilités sans jamais chercher à s'en défaire.
Il est à rappeler que Ridha Grira est en détention provisoire depuis près de 28 mois sans procès (soit bien au-delà de la période de détention provisoire légale de 14 mois) pour des affaires relevant des domaines de l’Etat et pour lesquelles Ridha Grira n’a fait qu’appliquer des instructions écrites de l’ancien Président de la République, instructions qu’il était obligé d’appliquer conformément à la Constitution et à l’Article 42 du Code Pénal. Il est également à noter que la Cour de Cassation a censuré à plusieurs reprises les décisions des juges de fond.
A lire également : Ridha Grira, malade imaginaire ou cancéreux en stade final ?
1) Concernant la "maladie imaginaire" de Ridha Grira, il y a lieu de mentionner que Ridha Grira a été ausculté dans sa cellule par plusieurs médecins spécialisés civils et militaires et son dossier médical est édifiant à ce sujet. Le fils de Ali Seriati n'a aucune qualité ni qualification pour apprécier l'état de santé de Ridha Grira d'autant plus que cette personne est connue pour son acharnement contre lui et sa haine profonde et exécrable. Il y a tout un dossier médical auprès des services pénitenciers et judiciaires. Il appartient maintenant aux juges de se déterminer sur la base de ce dossier médical. Nous estimons qu’au vu de l’état de santé de Ridha Grira, la propagation de telles rumeurs ne fait que porter atteinte au malade et aux membres de sa famille.
2) S’agissant des "rumeurs les plus folles... et les snipers le 14 janvier...et le climat de panique qui régnait sur le pays", Ridha Grira, en tant que Ministre de la Défense pendant ces faits, a assumé pleinement ses responsabilités pour protéger les personnes et les biens publics et privés et l'institution militaire est à féliciter pour le rôle qu'elle a joué et n'assume aucune responsabilité dans la propagation de certaines rumeurs. L’origine de cette manipulation remonte à la publication, fin 2011, d’un article dans un journal étranger (Mediapart) qui a fait une traduction fallacieuse des Procès-Verbaux d’instruction de la justice militaire. Il est à noter qu’il semble exister un certain lien entre le journal en question et la famille Seriati.
3) Enfin, en ce qui concerne le qualificatif selon lequel Ridha Grira "n'est pas révolutionnaire et qu'il cherche à se défaire de ses responsabilités", il faut préciser que Ridha Grira ne s’est jamais vanté d’être révolutionnaire. Il était ministre légaliste et responsable, et a toujours placé l'intérêt de la Tunisie et la sécurité des citoyens au-dessus de tout en assumant jusqu'au bout ses responsabilités sans jamais chercher à s'en défaire.
Il est à rappeler que Ridha Grira est en détention provisoire depuis près de 28 mois sans procès (soit bien au-delà de la période de détention provisoire légale de 14 mois) pour des affaires relevant des domaines de l’Etat et pour lesquelles Ridha Grira n’a fait qu’appliquer des instructions écrites de l’ancien Président de la République, instructions qu’il était obligé d’appliquer conformément à la Constitution et à l’Article 42 du Code Pénal. Il est également à noter que la Cour de Cassation a censuré à plusieurs reprises les décisions des juges de fond.
La famille de Ridha Grira.
A lire également : Ridha Grira, malade imaginaire ou cancéreux en stade final ?
sur le fil
Commentaires