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Détenus politiques, Aïd Esseghir, Mohamed Boughalleb… Les 5 infos de la journée
04/04/2024 | 23:29
3 min
Détenus politiques, Aïd Esseghir,  Mohamed Boughalleb… Les 5 infos de la journée


Il est presque minuit, voici le récapitulatif des informations les plus importantes ayant marqué la journée du 4 avril 2024.  


Refus de libération des détenus politiques

La demande de libération de Jaouhar Ben Mbarek, Ghazi Chaouachi, Khayam Turki, Issam Chebbi, Abdelhamid Jelassi et Ridha Belhaj a été refusée, jeudi 4 avril 2024, apprend Business news. Pour rappel, la liste des détenus comporte les noms de Khayam Turki, Ridha Belhaj, Ghazi Chaouachi, Jaouhar Ben Mbarek, Issam Chebbi, Abdelhamid Jelassi et Kamel Letaïef. Ils ont été emprisonnés à la suite de mandats de dépôt émis le 25 février 2023. La liste des accusés comprend, également, Lazhar Akremi et Chaïma Issa


Trois jours de congé à l'occasion de l'Aïd Esseghir

Les agents étatiques, des collectivités locales ainsi que des établissements publics à caractère administratif bénéficieront de trois jours de congé à l’occasion de l'Aïd Esseghir et cela les 9,10 et 11 avril courant. C’est ce qu’a annoncé, jeudi 3 avril 2024, la présidence du gouvernement dans un communiqué.


Le ministre des Affaires religieuses commente l'affaire Boughalleb

Le ministre des Affaires religieuses, Brahim Chaïbi, a déclaré, en marge de la tenue, jeudi 4 avril 2024, que « la calomnie, le mensonge, l'injure et la diffamation ne rentrent pas du tout dans le cadre de la liberté d’expression ». Il a ajouté que le ministère a eu une première fois recours à la justice à la suite d’une campagne de diffamation ayant visé une cheffe de service qui a été l’objet des « pires calomnies », d’après ses dires. Brahim Chaïbi s’est aussi dit étonné de la solidarité qu’expriment « certains » envers les « diffamateurs ».


Stade d’El Menzah : résiliation du contrat de rénovation conclu avec la société tunisienne

Le ministère de la Jeunesse et des Sports est en train de parachever les procédures de résiliation du contrat de rénovation du Stade olympique d’El Menzah conclu avec une société tunisienne. C’est ce qu’a affirmé, mercredi 3 avril 2024, le directeur des constructions et de l’équipement à la Direction générale des Services Communs, au ministère de la Jeunesse et des Sports, Noufel Belhaj Rhouma. Et de préciser à la Tap que le projet sera confié à une entreprise étrangère, précisant qu’une entreprise chinoise spécialisée dans la construction d’infrastructures sportives a présenté une proposition mais que le projet sera accordé à la meilleure offre.


Mostafa Abdelkebir : une force libyenne conjointe a été déployée à Ras Jedir

Le président de l'Observatoire tunisien pour les droits de l'Homme, Mostafa Abdelkebir, a indiqué que le ministre libyen de l’Intérieur, Imed Trabelsi, avait décidé de déployer des forces sécuritaires au niveau du passage frontalier de Ras Jedir ce qui a provoqué de la colère et des tensions avec les milices présentes sur place. S’exprimant le 4 avril 2024 durant « Expresso » de Wassim Ben Larbi sur Express Fm, Mostafa Abdelkebir a précisé que les autorités tunisiennes n’avaient pas pris de mesures exceptionnelles quant à la gestion du passage frontalier de Ras Jedir. 



04/04/2024 | 23:29
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Commentaires
Le Fouineur
Questions en suspens
a posté le 05-04-2024 à 10:56
Les premières questions qui se posent : Qui a instauré la loi qui permet d'incarcérer un individu durant quatorze mois, alors qu'il pourrait s'avérer par la suite qu'il est innocent ou qu'il mérite une peine moins lourde ? A ma connaissance ce n'est ni Bourguiba, ni Ben Ali et ce n'est pas Kaïs Saïèd non plus. Pourquoi les médias, la soit disant société civil, les partis politiques et les activistes n'ont pas à l'époque alerté sur les dangers d'une telle loi ? La justice n'a fait qu'appliquer une loi applicable contre ses propres instaurateurs. Concernant l'affaire, en tant que tunisien lambda averti, je soupçonne qu'il y ait anguille sous roche. Sinon pourquoi, tantôt on cite le nom de Kamel Létaïef, tantôt on ne cite pas ? D'ailleurs dans cet article son nom n'est pas cité avec les prisonniers qu'on demande la libération alors qu'il est cité parmi les détenus impliqués dans l'affaire du complot. Létaïef est-il coupable et est-il le seul coupable ? Alors pourquoi a-t-on libéré Chaïma Aïssa et Lazhar Akremi et pas les autres? Pourquoi a-t-on libéré Akremi et Aïssa ? Sont-ils les seuls innocents ou leur rôle ne mérite pas une lourde peine ou ont-ils aidé la justice en ce mettant à table ? L'avenir proche nous révélera des vérités et peut être l'avenir lointain la vérité, toute la vérité et rien que la vérité. Cela dépendra de la conscience professionnelle de nos medias.