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Le SNJT appelle à un sit-in de soutien à Chourabi et Guetari, vendredi 9 janvier à 13h
Le Syndicat national des journalistes tunisiens a appelé à un sit-in devant son siège, demain vendredi 9 janvier 2015, pour soutenir les journalistes tunisiens Chourabi et Guetari retenus en otage en Libye. Le SNJT rappelle, par ailleurs, aux participants qu’il est possible de se réunir à l’avenue Habib Bourguiba dès 12h.
On rappelle qu’à l’heure de la rédaction de ces lignes, aucune source officielle n’a confirmé les rumeurs de l'exécution des deux Tunisiens, par une partie terroriste en Libye. La cellule de crise se réunit actuellement avec des représentants des ministères de l’Intérieur, de la Défense et des Affaires étrangères et aucun communiqué n’est venu encore corroborer cette hypothèse.
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LA TUERIE DE CHARLIE HEBDO : 6 QUESTIONS A UNE ANCIEN FLIC DE BEN ALI
JOHN WAYNE
| 09-01-2015 10:41
LA TUERIE DE CHARLIE HEBDO : 6 QUESTIONS A UNE ANCIEN FLIC DE BEN ALI
Q-1 : La carte d'identité oubliée dans la voiture. Erreur d'amateur ou signature de combattants kamikazes ?
JW : Aucune opération de ce genre ne peut se dérouler sans erreurs. Il s'agit à mon avis d'une erreur. Ces deux hommes ont eu besoin de leurs pièces d'identité afin de se rendre à un périmètre avoisinant les locaux de Charlie Hebdo. Ils anticipaient un contrôle de police dans une rue ou un boulevard auquel ils auraient fourni leurs pièces d'identité afin de ne pas mettre en danger le succès de leur opération. Ils sont du enfiler les cagoules et les gilets pare-balles en s'arrêtant dans une rue proche des locaux de Charlie Hebdo. La carte d'identité est une erreur d'attention. L'autre explication peut-être une espèce de signature kamikaze provoquant les forces de police tout en sachant que cette opération va se finir par la mort de ces deux frères. Je pense à la première option puisque ces deux hommes portaient des cagoules ce qui indique qu'ils ont tout fait pour ne pas se faire identifier.
Q-2 : Selon les dernières dépêches, les deux frères sont encerclés et ont pris des otages. Comment se finira ce siège d'après-vous ?
JW : Par un carnage. C'est une situation qui était prévisible. Ces hommes ont pu échapper aux forces de police à Paris et sur ses autoroutes périphériques. Ils disposent donc de reflexes de survie et de combat très valables. Leur but est maintenant de mourir en faisant le maximum de victimes. Il faut se rappeler qu'ils ont agi non pas pour dérober de l'argent ou pour des raisons matérielles, mais au nom d'une idéologie. Leur idéologie est de faire le maximum de victimes en cet occident qui leur a nui en touchant à leur sacré et en ayant nui à leurs frères combattants de DAECH au Moyen Orient. Ils vont maintenant agir comme s'ils étaient des combattants de DAECH dans une ville Chrétienne d'Irak. Ce siège va probablement se finir par un massacre.
Q-3 : Comment faire pour essayer de sauver les otages ?
JW : Il existe de nombreuses techniques comme celles des grenades lacrymogènes ou assourdissantes. Celles-ci sont efficaces sur des individus isolés et non un commando et surtout sur des groupes n'ayant pas d'otages en leurs mains. Les snipers du GIGN sont parmi les plus efficaces au monde avec ceux des Russes. Le premier réflexe de ces hommes lorsqu'ils sentiront que leur dernière heure est venue sera de massacrer leurs otages comme cela a été fait lors de la dernière prise d'otage dans un café à Sydney en Australie. Je pense que le GIGN ne va pas pourvoir agir à temps. Ces hommes ont déjà planifié de tuer leurs otages dès le début de l'assaut. Il ne s'agit pas d'amateurs mais de professionnels qui ne se hasarderont pas aux fenêtres. La technique des snipers ne sera pas à mon avis utile.
Q-4 : Pensez-vous que ces hommes vont se rendre ?
JW : Se rendre ne correspond pas à leur idéologie. Il faut se rappeler que ces hommes sont encouragés par des leaders d'Al Qaeda en lesquels ils projettent une image paternelle et même divine. Je visite souvent les sites web d'Al Qaeda ou Amen Al Zawahyri parle. La barbe et l'âge des leaders d'Al Qaeda sont des facteurs importants d'endoctrinement. Ces hommes projettent une image paternelle et même de Sainteté ou Divine et qui a pour but d'endoctriner et d'enrôler des jeunes comme les frères Kouachi qui sont sociopathes et sans repères dans des sociétés comme la société Française, surtout si leurs parents Algériens sont inadaptés et n'ont comme repères que l'Islam. Ces hommes encerclés sont maintenant en mode martyr. A mon avis il n'y aura aucun survivant a ce siège et je pense même qu'ils pourront faire des victimes au sein des forces de l'ordre surtout s'ils disposent de lance-roquettes.
Q-5 : pensez-vous que ce siège durera longtemps ?
JW : Je ne pense pas. Les deux frères sont jeunes et même s'ils ont bénéficié d'un entrainement d'Al Qaeda au Yémen, ils pourraient décompenser mentalement et procéder a des exécutions des otages ce qui forcerait le GIGN à intervenir.
Q-6 : Quelles sont vos plus grandes craintes ?
JW : En ancien membre du Ministère de l'Intérieur Tunisien qui a grâce à l'intelligence et aux directives du général Ben Ali a vaincu les islamistes en Tunisie par une victoire militaire, je m'inquiète quant au mot « Yémen ». Al Qaeda au Yémen possède une grande tradition de fabrication de bombes très sophistiquées grâce à ses ingénieurs en génie chimique. Les frères Kouachi pourraient se faire exploser au moment de l'assaut du GIGN ce qui signifierait des dizaines de morts au sein de mes collègues des forces de l'ordre Françaises.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien élève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
Q-1 : La carte d'identité oubliée dans la voiture. Erreur d'amateur ou signature de combattants kamikazes ?
JW : Aucune opération de ce genre ne peut se dérouler sans erreurs. Il s'agit à mon avis d'une erreur. Ces deux hommes ont eu besoin de leurs pièces d'identité afin de se rendre à un périmètre avoisinant les locaux de Charlie Hebdo. Ils anticipaient un contrôle de police dans une rue ou un boulevard auquel ils auraient fourni leurs pièces d'identité afin de ne pas mettre en danger le succès de leur opération. Ils sont du enfiler les cagoules et les gilets pare-balles en s'arrêtant dans une rue proche des locaux de Charlie Hebdo. La carte d'identité est une erreur d'attention. L'autre explication peut-être une espèce de signature kamikaze provoquant les forces de police tout en sachant que cette opération va se finir par la mort de ces deux frères. Je pense à la première option puisque ces deux hommes portaient des cagoules ce qui indique qu'ils ont tout fait pour ne pas se faire identifier.
Q-2 : Selon les dernières dépêches, les deux frères sont encerclés et ont pris des otages. Comment se finira ce siège d'après-vous ?
JW : Par un carnage. C'est une situation qui était prévisible. Ces hommes ont pu échapper aux forces de police à Paris et sur ses autoroutes périphériques. Ils disposent donc de reflexes de survie et de combat très valables. Leur but est maintenant de mourir en faisant le maximum de victimes. Il faut se rappeler qu'ils ont agi non pas pour dérober de l'argent ou pour des raisons matérielles, mais au nom d'une idéologie. Leur idéologie est de faire le maximum de victimes en cet occident qui leur a nui en touchant à leur sacré et en ayant nui à leurs frères combattants de DAECH au Moyen Orient. Ils vont maintenant agir comme s'ils étaient des combattants de DAECH dans une ville Chrétienne d'Irak. Ce siège va probablement se finir par un massacre.
Q-3 : Comment faire pour essayer de sauver les otages ?
JW : Il existe de nombreuses techniques comme celles des grenades lacrymogènes ou assourdissantes. Celles-ci sont efficaces sur des individus isolés et non un commando et surtout sur des groupes n'ayant pas d'otages en leurs mains. Les snipers du GIGN sont parmi les plus efficaces au monde avec ceux des Russes. Le premier réflexe de ces hommes lorsqu'ils sentiront que leur dernière heure est venue sera de massacrer leurs otages comme cela a été fait lors de la dernière prise d'otage dans un café à Sydney en Australie. Je pense que le GIGN ne va pas pourvoir agir à temps. Ces hommes ont déjà planifié de tuer leurs otages dès le début de l'assaut. Il ne s'agit pas d'amateurs mais de professionnels qui ne se hasarderont pas aux fenêtres. La technique des snipers ne sera pas à mon avis utile.
Q-4 : Pensez-vous que ces hommes vont se rendre ?
JW : Se rendre ne correspond pas à leur idéologie. Il faut se rappeler que ces hommes sont encouragés par des leaders d'Al Qaeda en lesquels ils projettent une image paternelle et même divine. Je visite souvent les sites web d'Al Qaeda ou Amen Al Zawahyri parle. La barbe et l'âge des leaders d'Al Qaeda sont des facteurs importants d'endoctrinement. Ces hommes projettent une image paternelle et même de Sainteté ou Divine et qui a pour but d'endoctriner et d'enrôler des jeunes comme les frères Kouachi qui sont sociopathes et sans repères dans des sociétés comme la société Française, surtout si leurs parents Algériens sont inadaptés et n'ont comme repères que l'Islam. Ces hommes encerclés sont maintenant en mode martyr. A mon avis il n'y aura aucun survivant a ce siège et je pense même qu'ils pourront faire des victimes au sein des forces de l'ordre surtout s'ils disposent de lance-roquettes.
Q-5 : pensez-vous que ce siège durera longtemps ?
JW : Je ne pense pas. Les deux frères sont jeunes et même s'ils ont bénéficié d'un entrainement d'Al Qaeda au Yémen, ils pourraient décompenser mentalement et procéder a des exécutions des otages ce qui forcerait le GIGN à intervenir.
Q-6 : Quelles sont vos plus grandes craintes ?
JW : En ancien membre du Ministère de l'Intérieur Tunisien qui a grâce à l'intelligence et aux directives du général Ben Ali a vaincu les islamistes en Tunisie par une victoire militaire, je m'inquiète quant au mot « Yémen ». Al Qaeda au Yémen possède une grande tradition de fabrication de bombes très sophistiquées grâce à ses ingénieurs en génie chimique. Les frères Kouachi pourraient se faire exploser au moment de l'assaut du GIGN ce qui signifierait des dizaines de morts au sein de mes collègues des forces de l'ordre Françaises.
F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien élève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.
la soirée du jeudi 8 janvier
Le Journalisme en Tunisie
| 09-01-2015 09:50
1- la nouvelle n'est pas confirmé, tant mieux, mais j'ai l'impression que certains personnes attendent la mort des deux journalistes pour agir, hélas ça sera trop tard. 2- j'ai zappé désespérément entre les principales chaines Tunisienne, pour choisir laquelle je vais regarder pour mieux m'informer de ce qui se passe concernant cette affaire. ma surprise était énorme : aucun plateau spéciale, rien, nada, que dal.... des sitcoms déb****, des émissions populiste, et rien, aucune émission dédiée à cet évènement..., ils sont sereins nos journalistes...
La Tunisie insultée,humiliée et menacée,doit réagir.
muma
| 09-01-2015 09:10
Toute la Tunisie attend les bonnes (?) nouvelles de nos 02 tunisiens,kidnappés et retenus de force en Libye.Si par malheur,ils leur arrivent du mal alors nous devons répondre avec fermeté et détermination aux preneurs d'otages,aux terroristes et à la Libye qui devait assurer leurs vies,leurs intégrités physiques et leurs séjours dans ce dernier pays.
Assez de paroles,assez de manifestations et attroupements sans effets,assez de discours vides de sens,REAGISSONS ET PRENONS DES DECISIONS audacieuses et fermes.
PAS DE PARDON,PAS D'OUBLI,PAS DE NEGOCIATION.
Assez de paroles,assez de manifestations et attroupements sans effets,assez de discours vides de sens,REAGISSONS ET PRENONS DES DECISIONS audacieuses et fermes.
PAS DE PARDON,PAS D'OUBLI,PAS DE NEGOCIATION.
