Jalel Hammami, avocat de l'ancien porte-parole du ministère de l'Intérieur, Mohamed Ali Aroui, est revenu, mardi 20 juin 2023, sur le dossier Instalingo et le lien qu’aurait l’ancien chef du gouvernement Hichem Mechichi avec cette affaire de complot contre la sûreté de l’État.
Dans une intervention sur Diwan FM, il a indiqué que plusieurs rencontres avaient eu lieu en France et à Sousse pour expliquer le revirement de Hichem Mechichi alors qu’il avait été nommé par Kaïs Saïed à la tête du gouvernement et son rapprochement du mouvement Ennahdha.
L’avocat a ajouté que plusieurs arrangements avaient été mis en place lors de ces rencontres notant que des transferts de sommes d’argent colossales depuis le Qatar et la Turquie avaient été interceptés.
En septembre 2021, le ministère public a ouvert une enquête visant l’entreprise Instalingo, implantée à Kalâa Kebira et spécialisée dans la création de contenu et la communication numérique, pour attentat ayant pour but de changer la forme du gouvernement, d’inciter les gens à s’armer les uns contre les autres, à provoquer le désordre, le meurtre et le pillage sur le territoire tunisien, conformément aux articles 67, 68 et 72 du Code pénal.
Le nom de Hichem Mechichi est apparu après de longs mois d’investigations. L’instruction a d’ailleurs été clôturée dans la matinée de mardi et l’ancien chef du gouvernement traduit devant la chambre des mises en accusation.
Au total 26 personnalités sont mises en cause : Mohamed Ali Aroui, Rached Ghannouchi, Mouadh Ghannouchi, Soumaya Ghannouchi, Rafik Abdessalem, Adel Daâdaâ, Lamia Jendoubi, Mariem Daâdaâ, Mohamed Hajfi, Abdelkarim Ben Slimane, Riadh Bettaïeb, Said Ferjani, Lotfi Jendoubi, Haythem Khili, Yahya Khili, Karim Khili, Rania Zouari, Sabrine Laâtiri, Safinez Ben Ali, Rania Belâfia, Hichem Mechichi, Mohamed Béchir Arrouj, Hilel Kourachi ainsi que trois autres personnes dont deux de nationalités étrangères.
Hichem Mechichi a, rappelons-le, été désigné chef de gouvernement le 25 juillet 2020 et limogé un an plus tard le 25 juillet 2021 dans le cadre de l'entreprise de Kaïs Saïed.
N.J.
C'est pour cela que je n'arrive pas à réaliser cette défaillance flagrante, autour du vrai rôle requis de notre armée nationale, de nos forces de l'ordre, de notre Justice tunisienne et de l'ensemble des Institutions républicaines tunisiennes, dans tout ce marasme d'illogique autour de l'Etat constitutionnel de la République tunisienne.
Allah yostir Tounes.
Est ce que ce pays n'a que les combrioleurs et traîtres
? Voler,voler,voler... pour aller où Ils volent et puis s'envolent.
Du coup, ils ne se sont pas gênés.
C'est l'open bar à profusion.
Un ji3ane restera à jamais un ji3anne, même si on lui donne toutes les richesses de la planète.
Ces ploucs n'ont aucune mémoire.
Ils n'ont tiré aucune leçon de l'épisode des trabelssi !!!!
Rabbi, soub7anou wè ta3ala, les a aveuglé.
