
Plusieurs stations-service risquent d’être en rupture d’approvisionnement ce soir, suite à une grève illégale et imprévue des chauffeurs transportant les produits pétroliers. En fait, la rupture de stock dépendra de la taille des réservoirs des kiosques.
En effet, les chauffeurs des transporteurs de produits pétroliers sont entrés en grève inopinée, ce jeudi 13 décembre 2018. Ils ont usé de leurs camions pour bloquer la zone pétrolière de Radés, le tout sans avoir prévenu ou avisé leurs patrons.
Contacté par Business News, le président de la Chambre de transport des produits dangereux relevant de l'Utica, Mohamed Fethi Zouari, a affirmé qu’il s’agit d’une «grève inattendue», qui n’est pas orchestrée ni par l’Utica, ni par l’UGTT.
Les chauffeurs réclament d’être soumis à la convention du pétrole (qui englobe les multinationales Shell, Total) et non pas celle du transport de marchandise : la différence leurs salaires vont doubler pour ne pas dire tripler.
Pour sa part, l’UGTT avec toutes ses corporations n’a pas voulu intervenir en expliquant qu’elle n’a pas été prévenue et donc c’est aux chauffeurs d’assumer seuls leur responsabilité
Actuellement, le gouverneur a pris l’affaire en main. Il est en train de négociation avec des représentants des chauffeurs.
Affaire à suivre.
I.N
Commentaires (10)
CommenterChantage recurrent des chauffeurs hors de tout contexte syndical
grève des transporteurs
les chauffeurs doivent assimiler seuls les conséquences de leurs mouvement : j'espère que ça soit le dernier avis de l'UGTT.
republique bananiere!!!
Un gouvernement très faible !! des politiciens amateurs!!
Nous, les citoyens, l'avons permis.
Nous avons renforcé leur pouvoir avec l'aide de complices corrompus de notre milieu de plus en plus.
Nous leur avons permis de nous aliéner et de nous précipiter les uns vers les autres.
Nous leur avons permis de semer la haine et même un racisme scandaleux à notre encontre.
Nous leur avons permis de détruire notre patrie, notre culture, nos valeurs et notre éthique, notre liberté, notre identité, notre belle et diverse langue, notre instinct de survie et nos enfants - et donc notre avenir.
Et nous le permettons toujours. Restant immobile. Silencieux. Observez de manière inactive notre asservissement, notre privation, notre exploitation et notre meurtre.
Sans notre paresse, notre confort, notre décadence et notre égoïsme, ils n'y seraient jamais parvenus.
Seuls nous pouvons mettre fin à notre asservissement et à notre extermination.
En fait, même immédiatement. Sans trop de calligraphie.
Nous devons juste le faire.
vivement le communique n 1 !!!!!!!!
La loi
Méprise
Hélas pas d'homme à poigne
Voyous
pas d'economie sans juger ennahtha...

