
Face à la recrudescence des moustiques et aux risques sanitaires associés, le ministère de la Santé a publié, dimanche 25 mai 2025, une série de recommandations visant à prévenir la prolifération de ces insectes et les maladies qu’ils peuvent transmettre.
Le ministère appelle les citoyens à éliminer les eaux stagnantes, qui constituent des foyers idéaux pour la reproduction des moustiques. Il insiste notamment sur la nécessité de vider, couvrir ou nettoyer régulièrement les contenants d’eau, tels que les pots de fleurs, les vases, les pneus usagés et autres récipients pouvant retenir l’eau de pluie ou d’arrosage.
Le ministère recommande également de fermer hermétiquement les réservoirs d’eau, les canaux d’évacuation, les toilettes extérieures et les bacs à ordures, et d’éviter l’accumulation d’eaux stagnantes autour des climatiseurs ou dans les contenants non couverts.
Par ailleurs, les autorités sanitaires encouragent l’utilisation de moustiquaires et de produits répulsifs, afin non seulement de prévenir les piqûres, mais aussi de se protéger contre certaines maladies virales potentiellement transmises par les moustiques.
S.H
De nouvelles espèces invasives ultra dangereuses ( Moustique tigre moustique du Nil) font partie du quotidien
Elles génèrent fièvres mortelles paludisme encéphalites etc
Le traitement de la prolifération des moustiques est une question de santé publique
Le ministère de la Santé a publié le 25 mai 2025 une liste de conseils pour lutter contre les moustiques. Il demande aux citoyens de vider les pots de fleurs, couvrir les vases, jeter les pneus usagés et utiliser des répulsifs. Il insiste sur l'importance d'éviter toute eau stagnante.
Ces recommandations peuvent avoir du sens, mais elles semblent déconnectées de la réalité. Dans beaucoup de quartiers, les caniveaux sont bouchés, les ordures ne sont pas ramassées, et l'eau sale stagne partout. Ce sont des lieux parfaits pour la reproduction des moustiques, et pourtant, rien n'est fait pour les nettoyer.
Les municipalités ne remplissent pas leur rôle, mais le ministère préfère pointer du doigt les habitants. Il est plus facile de parler de pots de fleurs que de reconnaître les manquements dans l'entretien des infrastructures publiques.
Si on veut vraiment lutter contre les moustiques, il faut commencer par régler les problèmes de saleté, de gestion des déchets et de drainage dans les rues. Tant que ces points ne seront pas pris en charge, les moustiques continueront de proliférer, peu importe combien de vases seront vidés chez les particuliers.
Et ils ont le culot de nous donner des recommandations ? Commencez par gérer les déchets d'une façon efficace et par traîter les oueds et les étangs et autres endroits que les autorités municipales connaissent et devraient traîter au début de chaque saison estivale !
Mais bon, les deux litres d'insecticides, ils l'ont déjà utilisé contre les insectes pèlerins. Quel dilemme ! On est à court d'insecticides, comme à l'époque du délire collectif et l'angoisse démesurée qui s'en suivit, on était à cout de vaccin antirabique.. une "prise de conscience" éphémère par ce petit peuple d'errants et d'abondonneur de félins et de canins..
Quelle misère et quelle pauvreté ! Et on continue de nous parler de batailles, Rmada et je ne sais quoi encore, des sionistes, de la Palestine et de quelques kilos de viandes importés depuis l'Europe de l'Est !
Quel gâchis !

