
Selon Moez Hadidane, la Tunisie dispose de plusieurs pistes dont la restructuration de l’écosystème de production. Il a dénoncé, dans ce sens, l’arrêt de l’exportation du phosphate et l’absence d’un accord sur l’Open Sky. « Il est intolérable que des gens bloquent l’exportation du phosphate alors que ce produit permet d’avoir des revenus qui couvrent une partie du déficit (…) Il n’y a aucune raison qui explique qu’une entreprise publique déficitaire bloque l’Open Sky alors que cela permettrait de doubler les recettes en devises du tourisme », a-t-il souligné déplorant la nonchalance du gouvernement.
La situation des entreprises publiques tunisiennes est grave. Déficitaires, celles-ci sont un véritable fardeau pour l’économie nationale et l’État. Leur restructuration représentera un grand pas vers l’assainissement des finances publiques tunisiennes et permettra de relancer l’économie nationale sur de bonnes bases pour une croissance pérenne.
L’économiste a précisé que, contrairement à ce que l’on pense au sujet de la nécessité de lever les subventions comme condition sine qua non à l’obtention d’un prêt auprès du FMI, il suffirait d’engager des réformes dans ce sens pour effectivement orienter les subventions vers ceux qui en ont le plus besoin, pour ainsi donner des signaux positifs au FMI. « Le FMI s’attend à des progrès mais malheureusement rien ne se fait pour avancer. Il y a des programmes mais sur le terrain il n’y a rien de concret. Le gouvernement semble avoir les mains liées », a-t-il expliqué notant l’absurdité de la situation dans les entreprises publiques. « Il est intolérable que quatre ou cinq entreprises publiques prennent en otage l’avenir de tout un pays ».
Le gouvernement de Najla Bouden a obtenu un accord préliminaire avec les experts du FMI en octobre 2022. Cet accord qui devait permettre au pays d’obtenir un financement de 1,9 milliard de dollars pour engager les réformes structurantes nécessaires est tombé à l’eau après que le conseil d’administration du FMI a ajourné sine die l’examen du dossier.
Cela fait craindre le pire aux économistes. Certains estiment que le gouvernement sera dans l’obligation de solliciter le Club de Paris, ce qui risque de faire basculer la Tunisie dans le scénario libanais.
N.J
Il faut changer d'instruments de diagnostic... pour mieux dignostiquer!
D'ailleurs les entreprises publiques sont régies par quelle loi?!
Je cite le THEATRE NATIONAL c'est une entreprise publique; TUNISIE TRADE-NET est aussi une entreprise publique....
Ou encore SOCIETE PROMOGOLF DE CARTHAGE...
La porte qui fait enter le sirocco il faut la fermer
Qui ose toucher a ces entreprises
MARGARET TATCHER a ose
Le visionnaire dit: Attention la poutre est mal placée, le toit va tomber dans moins de deux ans. L'exécutant ne bouge pas, en attendant les ordres, puis dit: "Ah tiens, le toit est tombé, c'est grave". Trop tard mon grand!
Votre serviteur a appelé depuis 2012 à cesser d'exécuter les ordres du FMI et à emprunter une politique souveraine. Et si vous ne savez pas faire, il vous invitait à demander conseil à Mohamed Ghannouchi, à Ahmed Friaa, à Nouri Jouini.. Mais votre orgueil de merdolutionnaires ne vous le permettait pas; bande de traitres!
Vous avez placé votre orgueil au dessus de la Tunisie.
Vous avez obéi aux atlantistes qui chantaient aux incapables que vous êtes que la Tunisie allait redémarrer avec une forte croissance.
Vous avez vendu le Pays et, aujourd'hui à court d'idées, vous présentez vos postérieurs nus à la sodomie FMIste. Vous n'êtes que des perroquets à diplômes bien dressés et vous n'avez aucune conscience d'état. Vous en êtes tous dépourvus.
Votre serviteur avait lancé des "j'accuse" cinglants depuis 2013 concernant vos choix économiques d'irresponsables dictés par vos économistes de talents, ces perroquets issus de la machine à diplômes, où on leur a appris à travailler des intérêts bien particuliers. Vos fameux "Meilleurs Gvnts au monde successifs". Laissez-moi rire, bande d'incapables!
Quel est le parti qui ne s'est pas plié à ces règles de traitres, sinon le PDL, parti Historique de la Souveraineté et de l'Indépendance. Sa cheffe, la Lionne de Carthage, est la seule capable de dire "non" au remboursement de certains prêts (seulement les prêts de bonne intention) car elle est la seule à incriminer les vrais criminels. Ceux que vous, bande de traitres, aviez pris pour des "sauveurs" et qui vous ont rempli d'argent jusqu'à vendre votre pays. Ceux qui vous ont offert la "démocratie", quelle belle jambe!
J'avais envoyé un post sur ce valeureux journal vous retraçant en sept chapitres(!), l'Histoire de la chute aux enfers du pays rayonnant que fut l'Argentine, afin que vous en tinssiez compte. Je pensais jadis que vous pouvez avoir un minimum de bon sens. Je me trompais bien sûr! J'avais lancé des appels à tous vos ministres, prétendument technocrates (en réalité "merdocrates") pour qu'ils cessent de faire ce qu'ils font car le seul et unique but atlantiste était de leurrer les tunisiens afin qu'ils ne regrettent pas Ben Ali avant plusieurs années. Le temps qu'il faut pour que l'âne qui sommeille en les tunisiens merdolutionnaires, se réveille.
Je vous enverrai, à titre de rappel, à nouveau mon ancien post sur l'Argentine publié il y a plus de sept années.
Et vous osez parler de compétences dans le pays dévasté. Ce ne sont que des minables voulant améliorer leurs CV d'une ligne importante pour mieux trahir leur pays.
VIVE LA TUNISIE, VIVENT LES PATRIOTES (ne les cherchez pas parmi l'élite)
VIVENT CEUX QUI ONT FAIT DE LA TUNISIE UN JOYAU (Nouira, M. Ghannouchi, A. Friaa, N. Jouini, T.Hadhri et quelques autres)
VIVENT LES MEMOIRES DE BEN ALI ET BOURGUIBA;
VIVE ABIR.
LEON, Min Joundi Tounis Al Awfiya,
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.