
« Dégage Saïed », « à bas le putsch », « le pouvoir est au peuple » … C’est ce que des sympathisants d’Ennahdha ont scandé, mardi 19 juillet 2022, lors d’un rassemblement devant le pôle judiciaire anti-terroriste.
La première vice-présidente de l’Assemblée, Samira Chaouachi, était parmi les manifestants.
Les Nahdhaouis manifestent en attendant l’arrivée du leader du mouvement islamiste Rached Ghannouchi pour être auditionné, en tant qu'accusé, par le juge d’instruction en charge de l’affaire de l’association Namaa Tounes. Celle-ci est soupçonnée de financement du terrorisme et de blanchiment d’argent.
Plusieurs autres personnalités sont sur la liste des suspects. L’ancien chef du gouvernement Hamadi Jebali a, d’ailleurs, été interpellé, dans le cadre de cette même affaire, par la brigade antiterroriste d’El Gorjani le 23 juin sur ordre du parquet près le pôle judiciaire antiterroriste. Après son audition, il a été relâché.
N.J.

" le courage qui a hérité de l'humiliation".
Se qu'ils veulent c'est Tunis pour le reste ils donnent même leurs âmes à nahdha qui leur donne des avantages inespérés. ***
Cette bande de dégénérés continuent de beugler dans le vide pour leur Gourou déchu de son perchoir
Ils étaient 150 rassemblés devant le pôle anti-terroriste selon les journalistes de l'AFP;
Il est bien connu que les gros plans ne donnent aucune idée de l'importance d'une manifestation et en l'occurrence cet appel au soutien de RG a bien l'air d'avoir fait pschitt....
La Constitution de 1959 sera abolie et remplacée manu militari par le Texte de Dieu, la Chari3a Islamique.
Le seul à ce moment là, selon la Constitution de 1959 (retapée en 1975) qui pouvait remplacer le Président de la République était le Premier ministre.
Les services secrets voulaient un passage pacifique et constitutionnel de la Tunisie, territoire hautement stratégique au coeur de la Méditerranée.
Et ce fut le "Coup d'Etat médical" de Ben Ali du 7 novembre, quelques heures avant que Ennahdha (à l'époque Mouvement à Tendance Islamique) ne passe à l'action.
25 juillet 2021. Rached Khriji projette un "passage en force" à partir de sa position de Président du Parlement (grâce à Nabil Maqrouna) : Kaies Saied fut averti par son entourage (à ce stade on ne sait pas si des services secrets étrangers ont intervenu, mais on le saura un jour ou l'autre) : il prit le pouvoir Total par la force en se basant sur sa "légitimité" et l'article 80.
Ce fut un soulagement, pour tout le monde (moi compris).
Mais, quelques semaines après, on a compris que c'était un Coup d'Etat PERSONNEL et qu'il n'avait AUCUNE intention d'organiser des élections anticipées, ni de changer quelques articles scélérats dans la constitution islamiste de 2014 ni d'apporter des rectifications au code électoral ou au pouvoir judiciaire pro-Ennahdha.
Il a pris 1 an, dans un pays en crise, pour nous pondre une "constitution" pire que celle des islamistes de 2014, sans queue ni tête, et a enfin révélé sa vraie nature, son "jeu caché" : plus qu'un hyper conservateur, ce type s'avère être un danger pour la Tunisie et son futur et va nous emmener en enfer.
Alors, oui, vous entrez dans une "nouvelle République" (Ben Ali nous disait la même chose, dans une "nouvelle ère") ....mais pas celle que vous croyez.
depuis la venue du facho malade mental la Tunisie vit un isolement sans precedent.
La Tunisie avait tous les atouts et avantages pour abriter cette institution
et au final elle arrive 3eme après le le Rwanda.
Et ils viennent nous parler d'efforts du ministère AE à sa tète un malade mental et un ministre parmi les plus nuls que la Tunisie a sorti.
Cette institution permet le travail des milliers de tunisiens de rang supérieur en pharmacologie.
Ca ne passe pas comme ça cet erreur ,on a marre de ce malade mental qui prend la Tunisie comme propriété familiale.
ALLAH LA TRABAHHOM .AMINE.On a rien à foutre de sa constitution.
Il enferme ses opposants pour faire passer ce torchon .