Le dirigeant du mouvement islamiste Ennahdha et président du Parlement, Rached Ghannouchi, comparaît mardi 19 juillet 2022, devant le juge d’instruction du pôle judiciaire anti-terroriste en charge des investigations dans l’affaire de l’association Namaa Tounes.
Peu après son arrivée au pôle antiterroriste pour son audition en tant qu’accusé, le parti a publié une déclaration écrite de son chef alors que les craintes d’une éventuelle arrestation ne cessent de s’amplifier.
Dans cette déclaration Rached Ghannouchi a rappelé qu’il avait été opprimé et arrêté sous les régimes de Habib Bourguiba et Zine El Abidine Ben Ali et qu’il avait même été condamné à la peine capitale pour avoir guidé une mouvance islamiste alors indésirable.
Il a assuré qu’il n’avait point de craintes pour sa personne mais qu’il avait plutôt peur pour la Tunisie et pour les droits socio-économiques des citoyens face à la montée de discours haineux et violents.
« Je n’ai guère peur de ce qu’ils manigancent contre moi, ni de craintes pour Ennahdha tant qu’il défend la liberté, la démocratie, l’islam modéré et les intérêts du pays, tant qu’il cherche le renouveau, la réforme et le développement », lit-on dans le communiqué du parti islamiste.
« Il n’y a point d’avenir pour la Tunisie sauf dans le respect de la liberté, de la démocratie et de ses institutions légitimes (…) Moi et Ennahdha en sommes conscients et poursuivrons la lutte pour y parvenir en collaboration avec tous ceux qui croient en un État civil, démocratique et au service du peuple », a-t-on ajouté.
N.J.
Et cet imbécile de Madhioub devrai le savoir, et cesser d'en faire trop pour son maudit gourou maudit, qui est à l'abri sous l'aile protectrice de Saied !
Les "cuistots" du pôle anti-terroriste t'ont mitonné des petits plats bien épicés dont tu nous diras des nouvelles...
Tu vas en avaler des couleuvres, une plus indigeste que l'autre...
Ce criminel coupable, tout le monde le sait à partir des faits, doit être empêché de faire son théâtre.
Il n'est pas besoin d'être un fin limier pour lui trouver quelques casseroles.
Ou alors.....
Article 54.- Le juge d'instruction peut ( doit) procéder ou faire procéder, par les officiers de police judiciaire visés aux 3° et 4° de l'article 10, à une enquête sur la personnalité des inculpés ainsi que sur leur
situation
matérielle,
familiale ou sociale.
Il peut également faire procéder à un examen médico-psychologique de l'inculpé.
"L'examen médico-psycho...."
Le jour où Rached EL Ghannouchi disparaîtra de la scène publique sera une véritable catastrophe pour les Bourguibistes/RCDistes et Kaissounistes : comment alors expliquer les échecs sur tous les plans et leur haine à la population ?
La disparition d'El Ghannouchi va à elle seule poser un redoutable problème aux dictateurs : Soudain le roi est nu !
L'heure de la vérité ne tardera pas et n'oublions pas que les « Islamistes » - avec El Ghannouchi ou sans lui - resteront « Islamistes » !
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